Nicolas Zepeda-Contreras

Le thème de Nicolas Zepeda-Contreras ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Narumi ) a une inconnue ( au moins ), c'est son heure de naissance...



Je me suis proposé de lui en assigner une et...

...comme on peut lui supposer une certaine " opiniatreté " ( dans sa défense aux assises en premiere instance ) , je lui ai accordé ( pour voir ) un ASCendant Taureau. Il se trouve qu'en Taureau, on y voit Vesta. ...hein, pas mal, Vesta à l'ASCendant : une revendication à une certaine pureté, non dénuée d'arrière-pensées religieuses... ...est-ce le fin mot de son extraordinaire résistance face à un monceau d'indices accablants pour sa culpabilité dans l'affaire sus-évoquée, je ne sais, mais ça me plait !

Ca donne ça :



J'ai pris pour heure de naissance 18 heures après quelques essais-erreurs et je tombe sur un ASCendant à 15°52', ça me va...

On note une maison particulière assez chargée, une Vesta acendante donc et un Pluton au DEScendant, moi, je trouve que ça le fait, qu'est-ce que vous en pensez ?

Si vous voulez tenter votre chance avec un autre choix d'heure de naissance... et en finalité, on pourra peut-être la lui demander...

J'ai visualisé sur Astroariana sa répartition RET ( prononcer "êreté" )...



..et on note un E ( grand e ) et P ( grand p ) de plomb ! 9.1 et 9.2 /10 à la louche.

E : Une éfficacité opérationnelle et un attachement au concret pouvant tous deux tourner à l'excès, c'est l'évidence,

P : la dominance sur, et le controle de, son environnement vécus à leur maximum

p : En contrepartie, une souplesse d'attitudes trés minorée ( le petit p est microsopique ).

Jusqu'ici, Si on accorde crédit à une entreprise de vengeance ( quasi-planétaire ) dirigée contre une blessure d'égo, je pense qu'Astroariana ne dément pas mon choix horaire.

Le grand r ( R ) trés en dessous de la moyenne, le R étant le souci de l'image de soi ( et une forme de théatralisation de sa personne ) peut poser probleme dans le choix de " blessure d'égo " comme motivation à la vengeance, mais à contrario, on peut considerer que c'est pour sauver ce R faible ( et semble-t-il bunkerisé dans un abord personnel trés étanche voire hermétique ) que s'est déployé l'extraordinaire face-à-face aux Assises !

On peut noter aussi dans ce thème une Venus quasi- et hyper-solticiale ( 29°28' du Sagittaire ). Elle est dite ultra-paradoxale dans le jargon conditionaliste. C'est en somme, et pour simplifier, un comportement ( ici dans le domaine amoureux ) tellement extreme qu'il en arrive à son contraire. Dont acte !

Les trois planètes dominantes du thème ainsi monté de Nicolas Zepeda-Contraras, sont, dans l'ordre , et selon la hierarchisation proposée par Astrosoft ( toujours sur Astroariana ). En gros, ce sont les planetes les plus proches des angles en privilégiant les angles du thème dans le sens horaire, ASC, MC, etc

Marsien, Nicolas zepeda ? Je pense qu'on peut lui accorder ce point ! Mars, c'est le duo/duel, le vécu à bout portant, le concret, le corps à corps avec la matérialité de la vie, le désir brûlant d'agir... PLuton, desséchant, analytique, froid d'une part et relié aux forces instinctives et à la marée du sous-jacent ( l'inconscient )... Jupiter, le désir de remonter le vécu dans des principes intangibles, une forme d'enracinement et d'historisation acharnés de son histoire dans l'ordre des mots... la hierarchisation des planètes primo-dominantes me semble correcte.

A noter, la planète aveugle, celle dont on ne s'attend pas à son expression, Uranus en l'occurence, antépénultième de la hierarchie planétaire, déploie sa souveraine éruption dans les faits qui lui sont reprochés ( en conjonction à dans son thème ).

On peut essayer de voir les maitises des planètes dans ce thème ! A noter que je n'utilise pas un schéma de maitrises des plus classiques ( -> http://cura.free.fr/2015/1704matrix2.html )

Lune : rien
Soleil : rien
Venus : chute, ah !
Mercure : chute, mince alors !
Jupiter : exalté en Lion...
mars : rien
Saturne : en domicile, ok !
Uranus : exalté en Capri, ok !
Neptune : rien
Pluton : en domicile
Cerès : Cerès chute en Balance, c'est ballot !
Chiron : exilé en Cancer

D'accord... on ne se rend pas compte en survolant un thème mais au final, on a 2 planetes en domicile :   et ,   et   toutes deux exaltées,   ,   et Cerès, excusez du peu, chutent et est en exil...

J'ai aussi un schéma de maitrises pour les maisons que je me suis bricolé, il faudra que je revienne là-dessus :

: rien
: exil
: rien
: rien
: en chute
domicile
: rien
: rien
: rien
: rien à noter que ces deux dernières sont en reception mutuelle !
Cerès : rien
: rien

Finalement, exalté en chute en maison, mars prend un peu de poids étant en domicile ( pour le meilleur mais aussi pour le pire ) et le Soleil s'exile au milieu d'une foule d'autres planètes.

et , respectivement dominante et aveugle ,deux planètes par ailleurs du niveau but " r " ( petit r ) sont donc aussi valorisées comme étant en exaltation en signe.

Le petit r est réputé comme étant un niveau d'autorité, de rigueur, de commandement.

Coté RET, prend sa source au niveau E et au niveau T,

et on se souvient d'un E démesuré ( que vient renforcer   exalté et   en domicile ) et un T ( guidé par en domicile ) renforcé par   exalté.

On a donc un " canal " , , de niveau " r " qu'on peut dire fort voire omnipotent , ( mais partiellement contradictoire au niveau de leur hierarchie respective )...

...puisant sa source dans du lourd voire du trés, trés lourd ( E et T )...

...et se deversant dans un pâlot,   rendu plus médiocre encore par un niveau R faible ( lesté par ailleurs par et en chute en signe ! ), cedant la place dans ce tableau aux lourdes et pour caracteriser le " t ", ( le petit t -> analyse, esprit critique ).

Je crois qu'on tient là une sorte de dynamique du thème, avec une attitude générale d'inflexibilité alimentée par un désir fort de concrétisation sans faille voire de puissance sur son environnement et reactivée sans cesse par un sentiment d'infériorité en rayonnement et en capacités personnels !

...hein, non ??

Pour mieux comprendre le post précedent, on pourra se reporter au schéma ci-joint :



On y voit les trois niveaux RET  : tout en haut ( à la ligne du   ) le niveau Représentation dit R, à la ligne de  le niveau Existence dit E et à la ligne de le niveau Transcendance dit T !

le R est le niveau de la Représentation (apparence, langage, image, consensus..), le E celui de l’Existence (expérience, émotions, vécu..), le T celui de la Transcendance ( inconscient, mystère, inconnu, invisible..).

Je pense que Jean-Pierre Nicola, l'inventeur ( génial ) du système et dont l'eclectisme ne fait plus secret ( en tout cas pour moi ) s'était fait un petit shoot de cybernétique à cette époque parce qu'on retrouve dans ce systeme 2 notions clés de l'automatique : l'observabilité d'un systeme et sa commandabilité !

En bref, le niveau représentation, c'est l'univers du codage : les choses sont ce qu'elles sont, mais elle retentissent en nous pour une part à un niveau de représentation dans lequel nous nageons au quotidien. Tout notre vécu, notre film intérieur donnant sens à ce vécu est modélisé en somme selon des filtres et prismes que nous utilisons, sciemment ou non ! Si je conduis une voiture, par exemple, qui au niveau vécu est le déplacement d'un engin dotés de roues avec une certaine énergie de rotation, je modélise à différents plans, mais en premier lieu pour diriger le véhicule sans rencontrer d'obstacles matériels et ma prise d'information est pertinente par rapport à ce but ! c'est le niveau Représentation !

Tout notre vécu se résume finalement à ce codage qui découle d'une pratique apprise ! Notre communication en particulier s'appuie sur ces représentations qui sont d'autant plus apprises qu'elles doivent être communes pour communiquer !

Naturellement, il existe un niveau Existence  : il est pour une part intangible, car accessible qu'au travers de nos représentations, mais, d'où la dualité immanente de ce niveau du reel , on pourrait dire aussi hyper-tangible, car il semble moteur, referent de ce qui se passe reellement, et car il est indépendant pour une part de nos représentations. On arrête pas une expérience de chimie par des mots, mais en plaçant en amont un certain protocole pour en provoquer l'arrêt. Ce niveau est supposé observable et commandable d'où les 2 fonctions   et   qui les relient au niveau représentations.

On pourrait en rester là, mais un troisieme larron s'invite dans notre rapport au reel, c'est le niveau Transcendance... ...fondamentalement, ce niveau est ni observable, ni commandable où alors trés partiellement ou de façon chaotique, c'est en quelque sorte l'ultime face cachée des choses, d'où une difficulté d'abord et à circonscrire. On y puise une intuition ( fonction neptunienne ) d'abord et avant tout par un ressenti ( ). La fonction Saturnienne, donc de commandabilité improbable est le préssentiment que quelquepart, le niveau Existence non seulement s'aligne ( fonction neptunienne ) mais aussi ordonne le niveau Transcendance en l'enserrant dans le temps ( fonction Saturnienne ), notamment !

En fin de compte, pour chaque niveau en interaction avec un autre , ce qui est commandable pour l'un est observable pour l'autre. Pour exemple la fonction Neptinienne, l'intuition perçue par peut être vu comme une commande envoyée par le niveau T dont l'observabilité passe par ...   on ne sait où est le centre prédominant à priori...

Ces 3 poles étant reperés, le classement des planètes a fonction de déterminer quelles sont les preferences, en terme de fonctionnement, dérivées du thème de quelqu'un et il y a une part de choix selon des facteurs extra-astrologiques, evidemment ! Notamment les carrés et les oppositions donnent lieu à des choix soit conscients, soit vécus... ... en esperant qu'avec le T ( plus ou moins inobservable à priori ), ce sont des choix... !

Ce même environnement extra-astrologique peut avoir forcé certains choix qui ne sont pas forcement irreversibles, l'art de l'astrologue étant, en cas de malheur, de déterminer d'autres façons de vivre son thème et les moyens eventuels pour y parvenir... ... c'est en tout cas le voeux pieux de l'astrologie conditionaliste, mais on peut supposer qu'il y a loin de la coupe au lèvres !

Dans le cas de Nicolas Zepeda-Contreras,   primo-dominante envoie sa trame du vecu à   de force sensiblement égale, mais qui lui retourne peu de ressenti avec un   faible. Par contre, sous l'effet de la fonction aveugle ( ),   peut imposer sa tessiture cumulée à un   plus faible ( sous-dominant dans la hierarchie ).

En amont, un problématique n'a pas pu compenser les effets de    dans le chargement emotionnel de   par   mais pour eviter les exces uraniens,   pourrait représenter une alternative en direction du   , mais un   exalté dans sa maison d'election peut-il faire piece à  une fonction aveugle exaltée elle aussi prenant le sujet à revers au niveau R, en somme : c'est selon de quoi est faite cette fonction jupiterienne qui va en décider... ...ça depend aussi des sollicitations que va subir   servi ( à l'écoute ) de façon critique par une   excessive et en chute !

En somme, on " voit " qu'un eventuel pétage de cable a pu avoir lieu et c'est en maison qui va en decider !

Et pour observer ce , il faut d'abord le regarder de plus près et le mettre en rapport avec d'une part et ultérieurement se mettre d'accord sur les maisons, ce qui n'est pas mince non plus ! ( car je n'ai pas un systeme de maison classique )

Pour moi, chaque triplet signe/planete/maison joue comme un circuit ( une boucle simple ) avec son générateur ( le signe ), son impédance interne ( qui " module " plus ou moins le signal du générateur ) c'est-à-dire la planete et enin, la charge, finalement en serie avec les deux autres élements qui est la maison du sujet !

L'impédance ( ou plutot les impédances ) , c'est-à-dire la planete est ce qu'elle est, dans tous les themes de chacun, plus ou moins forte relativement, selon les themes que l'on rencontre, mais dépend aussi du signe ( le générateur d'énergie d'où la nécessité à mon sens des maitrises ). Elles constituent à elles toutes la trame du theme, incontournable, et du fonctionnement subsequent de chacun d'entre nous. Les planètes sont le quoi, identique, à la puissance relative près, pour tous.

Le signe, le générateur dit quelle energie l'impédance va faire transiter, en terme de force, faiblesse, d'excitation ou d'inhibition, en terme de vitesse ou d'inertie des mêmes qualités d'excitation ou d'inhibition et en terme dit de phase ( sens des ensembles, des dosages ou des contraires ), c'est le comment ou à quelles sollicitations l'impédance va être soumise !

Enfin, la charge, c'est le domaine de vie qui va être excité par le couplet signe/planete et c'est evidemment trés important pour en connaître les effets !

On peut faire un pas de coté à ce stade et le but est de montrer la capacité du systeme R.E.T à proposer une grille de lecture de la " personnalité " sur un versant plus psychiatrique.

On a vu au travers du thème de Nicolas Zepeda-Contreras l'interêt de hierarchiser les planètes pour les replacer dans le schéma RET ( que j'ai au préalable expliqué dans sa signification globale ) pour ensuite en déduire sa dynamique la plus probable dans le cas d'espece. Mais bon, si la visualisation dans le RET des planetes leur assigne un role, elle n'en rend pas compte d'une maniere autre qu'abstraite et c'est un peu la faiblesse de ce dispositif R.E.T de devoir avoir au préalable une " intuition " de ce que représentent les planètes.

En revanche, le système R.E.T déborde largement quant à ses fondements, à ce qu'il paraît, la généralisation des significations planétaires et permet de rendre compte d'autres modélisations, ici, du fonctionnement psychologique d'une personnalité.

Je me propose donc de rendre compte avec le R.E.T des états du moi de l'Analyse Transactionnelle à condition de suivre quelques regles simples propres au R.E.T ( notamment grilles de codage unique/double/multiple et simple/duel/pluriel ) .

Les 3 états du Moi principaux de l'Analyse transactionnelle sont l'état du Moi Parent, l'état du Moi Adulte et l'état du Moi Enfant. Ces 3 états du Moi diffèrent des 3 instances connues de la psychanalyse, à savoir, le Surmoi, le Moi, et le Ca en cela qu'ils sont psychiquement conscients à la différence de ces dernières, même si ils y touvent probablement leur prolongement.

En trés gros et pour faire simple, l'Etat du Moi parent fonctionne comme un énorme réservoir d'enregistrement à injonctions, qu'elles soient positives ou négatives, caractérisées par leur transmission générationnelle et leur acceptation et emploi sans plus d'esprit critique parce qu'elles sont ( les injonctions ) le plus court chemin à une adaptation  ( une imitation ? ) lors de notre éducation. Elles charrient donc règles, normes, opinions, valeurs, préjugés, modèles de comportement et attitudes vis-à-vis des autres ( et de soi ) mécaniquement reproduits en somme.

L'état du Moi Enfant est la source de nos pulsions, desirs, sentiments et affects ( attirances ).Il nous caracterise intimement et se rapproche de l'ouverture exploratoire et inventive de l'enfant, même s'il agit encore à l'âge adulte et de ses réponses plastiques, vécues, parfois novatrices et pleines de sens. C'est un état du Moi enraciné et à large spectre d'emploi.

L'état du Moi Adulte agit comme un intermédiaire entre les 2 précedents et tranche par raisonnement en pesant le pour et le contre après avoir soupesé les tenants et aboutissants des situations et des décisions à prendre. Il déploie des préoccupations concrêtes, objectivées et le plus souvent en relation. c'est aussi l'outil privilégié du compromis et de la négociation .

La tentation est forte de comparer ces 3 états du Moi aux 3 niveaux du R.E.T que ce soit selon la grille de codage unique/double/multiple, ou simple/duel/pluriel qui caracterise les 3 niveaux Représentation/Existence/Transcendance. On peut jouer aussi avec le contenu sémantique de chacun des états du Moi en vue de la construction de la persona, et il se dégage que

- le niveau Représentation avec son empire du modele colle bien avec la notion de modele integré dans l'état Parent

- l'état Adulte, à la double jonction des deux autres états et de l'altérité est bien le moteur vecu de la construction notre Moi

- la primarité et plasticité de l'état Enfant va comme un gant au niveau Transcendance par l'amplitude et la totalité de son enracinement

; l'état Parent, en figure d'autorité, de dominance, de parole forte, centralisée, dès nos premiers pas l'état Adulte comme le lieu de la délibération et du choix dabord quasi-instinctif puis qui s'élabore pour décider de nos explorations et , comme source et fond intemporel de renaissance à nous-même , voilà l'architecture des états du Moi mis en forme par le R.E.T .

Que l'on pense au tout jeune enfant  que l'on a été jouant dans la cour de récréation, enserré d'abord dans un réseau d'injonctions patiemment assimilées, dans le rapport à autrui, dans les limites imposées au jeu, dans les règles des jeux de la cour de récréation ( état Parent ) , mais laissant libre cours à notre appetit de jeu, d'expression corporelle, de choix de compagnon de jeu ( état Enfant ) et délibérant à chaque instant de se tourner vers un nouveau groupe, de changer d'activité, de se comporter de telle façon ou de telle autre en regard de l'évolution du jeu et de son " rendement " ( état Adulte ) et on aura un bonne image de l'interpénétration et des rapport de hierarchie entre ces 3 état du Moi !

Le jeu peut être stoppé à tout instant, il a ses regles internes et externes ( la sonnerie de fin de récré... ), mais l'envie de jouer, de s'éssoufler, de se retrouver est la toile de fond inexpugnable de l'activité et entre les deux, il y a le vécu, la micro-histoire avec ses choix immédiats, à bout portant, ses jugements instantanés puisant aux 2 sources précedentes et se materialisant dans la page de temps de la récré...

Bien sûr, le tableau n'est pas toujuors si iddyllique, il y a les désaccords, les rappels au reglement,  les exclusions, les micro-vengeances, les harcèlements, les pleurs,  les réconforts aussi, les rapports dominants-dominés, les isolés vivant leur bohème, le groupe des calmes qui devisent...

...car les états du Moi se subdivisent par leur source, mais aussi par leur but, tout comme le R.E.T .

L'état Parent peut prendre ou le visage de la fermeté, de l'intransigeance, du doigt tendu et de la sourde menace moraliste, il est dit alors Parent critique  ( ou Parent normatif ), il rappelle, brutalement et de manière répprobatrice qu'une limite ( même imaginaire ) a été franchie et que le consensus doit être retrouvé dans le duo/duel de l'activité, il édicte la règle enfreinte ou alors il invite, il batit une appartenance, il cimente dans la participation à un jeu, il protège ( c'est déjà un peu plus élaboré et là s'y dinstinguent les leaders des jeux ).

C'est dû à la connection d'un état du Moi à un autre auquel il est fait appel, on lui passe une commande en somme. Quant l'état du Moi parent " fait l'enfant "  ( et connecte l'autre à son état du Moi Enfant,... il voudra ou ne voudra pas..., on dit aussi qu'il lui envoie " une transaction " d'où le nom de cette methode d'analyse qu'est l'Analyse Transactionnelle ), il est alors sans borne ( mais dans la ilmite des comportements autoritaire " appris ", inflexible, vengeur. Au contraire, la bâtisseur de jeu qui prend en quelque sorte l'engagement de le superviser est dans un état du Moi dit Parent donnant ( ou Parent bienveillant ) .

A ce stade, il est peut-être bon de se souvenir du schéma du R.E.T :



L' état du Moi Parent qui envoie une commande à l'état du Moi Enfant, dit Parent critique ( ou normatif ) prend la place de . Ca se produit quand " l' Enfant " de l'autre est interpelé en référence au sien propre corseté par son Parent normatif propre. c'est un dialogue intérieur en somme projeté sur autrui qui prend sa source dans l'état Parent et qui vise l'Enfant. Mais on peut dire aussi que le Parent " fait l'Enfant " ( au sens propre et figuré d'ailleurs ) dans le sens figuré qu'il y a eruption dans une forme Parent ( niveau source ) du sentiment d'une insupportable déviance et qui est visée ( niveau but )...

Quand le Parent dit bienveillant batit ou reglemente le jeu de manière fluide, impliquée, consciente, en établit la fourchette de rythme et de permissions, le Parent fait l'Adulte et se situe au niveau de !

" L' Enfant " ou plutot l'état du Moi Enfant se subdivise également ( et se resubdivise ) en état du Moi Enfant libre, état du Moi Enfant adapté et état du Moi dit petit profresseur ( ou petit inventeur ) :

L'état du Moi Enfant libre est un état du Moi qui ne subit plus le joug des autres niveaux du Moi, atteint d'ailleurs par une ascèse dédiée sur soi ( ou une prédisposition naturelle ), on peut penser aux artistes, aux peintres, ou à toute autre personne ayant un recul sur une culture vivifiante et respectueuse pour soi et pour les autres. Il est en dehors du R.E.T symbolisé par la fonction lunaire, je l'ai laissé ( elle s'est défendue d'être éffacée ) sans l'avoir fait exprès dans le .png précedent ! Des methodes éducatives ont voulu " fabriquer " de telles personnalités, on songe à " Libres enfants de Sommerhill " par exemple...

L'Etat du Moi petit professeur est trés interessant, original comme l'est l'Enfant donnant, et a lieu lorsque l'Enfant passe commande à l'Adulte qui est en lui (   ) : il puise à un niveau personnel, trés protegé de toute interaction sociale et le socialise pour présenter une solution, de fait créatrice et inédite, au probleme posé. C'est un état trés recherché de germination d'idées neuves, mais qui, on s'en doute, peine parfois à émerger dans l'océan des préjugés Parents... ... mais il est pratiqué même parfois à notre insu, lorsqu'on se met en connection avec soi et que l'on veut " sentir " une situation, percer à jour ses inconnues, on le nomme aussi banalement l'intuition...

Enfin, on trouve l'état du Moi Enfant adapté, ce qui suppose un niveau source déjà constitué, donc Adulte, qui se subdivise dans 2 directions. Dans l'état du Moi soumis, celui qui respecte les feux rouges de la vie, l'Adulte se connecte au Parent ou " fait du Parent ", (    ). On pourrait qualifier cet état de beniouioui s'il devient excessif, de " moraliste avec son missel sous le bras... " et à l'opposé, il y a l'Adulte qui fait son Enfant (   ), qui chougne, qui se réfugie dans un état victime ( on nomme d'ailleurs cet état " état Enfant adapté victime " ), c'est Calimero...

Ces deux états prennent leur source dans l'état Adulte, car c'est vrai que " faisant fonctionner son Adulte " dans le jugement que l'on porte sur une situation quelconque, on se doit de ne pas tanguer de Charybde en Scylla, soit en se raliant comme un toutou à l'opinion dominante et lucrative, soit en sortant le joker victime pour s'attirer D. sait quelle bonne grâce...

Quand non plus l'Adulte, mais l'Enfant passe commande au Parent, là, c'est plus éruptif, c'est la puissance du NON dans toute sa sinistre splendeur, la forme est Enfant, et la revendication est Parent ( c'est-à-dire autoritaire ) , tous les débordements peuvent avoir lieu et on trouve naturellement   à l"oeuvre ! C'(est le black bloc balançant un pavé sur la gueule du flic...

Deux autres états n'ont pas été cités, parce qu'il représentent des excès d'autres déjà cités, c'est l'état SS ( Surprotecteur-Sauveteur ), excès du parent bienveillant qui vit et jouit par procuration en somme au détriment de l'autre sous couvert de protection et l'état PD ( Persécuteur-Dévalorisant ), excès notoire du Parent adapté normatif, qui fait tous les harceleurs et autres psychopathes qui se donnent bonne conscience...

On pourrait y voir Cerès pour le Parent Surprotecteur-Sauveteur, le mythe colle bien avec Demeter punissant toute la Terre pour proteger sa fille, et la fleche empoisonnée de pour le parent Persécuteur-Dévalorisant, la douleur indicible et eternelle d'avoir voulu rééduquer ses centaures... ( c'est pas faux, 'ailleurs, les psychopathes parents ont les meilleures intentions du monde, dont l'enfer est pavé, dit-on... )

Au final, on a construit le schéma R.E.T suivant, qui retranscrit tous les états du Moi dans lesquels on se trouvent de façon volontaire ou involontaire au cours de nos interactions avec soi ou les autres :



J'ai omis Cerès et car le R.E.T ne s'y refère pas !

Et si on retourne maintenant au thème de Nicolas Zepeda-Contreras, la question que je me posais d'une alternative possible ou non de choix entre et ( ou d'une possibilité que subjugue bénéfiquement  ) se voie formulée maintenant de la façon suivante à la lumière de l'Analyse Transactionnelle : Est-ce que l'état Enfant adapté soumis de Nicolas Zepeda-Contréras a été suffisamment constitué pour déjouer le flux de son Enfant adapté rebelle ? ou en quoi son Enfant adapté rebelle s'est montré le plus fort  ( ou son Enfant adapté soumis ponctuellement mis à mal ) terrassant ainsi toute vélléité de contre-feu ?

Maintenant qu'on a mis des mots sur le type d'impédances auxquelles on a affaire dans un thème éclairé sous le jour du comportement psychiatrique, on va s'interesser aux énergies mise en ouvre pour les alimenter puis aux maisons qui seront concernées pour répondre à cette question délicate.

Au passage, on peut noter que le R.E.T a une belle capacité à nouer les symboles, il n'y a pas un faux pas dans le parallèle entre ce qui est dit " la macro-structure R.E.T " et le vocabulaire de base des états du Moi de l'Analyse Transactionnelle, j'en reste pantois, car si j'avais déjà fait cette analyse en amont, de façon un peu superficielle, force est de constater, à le détailler et le justifier ( le parllèle ) que ça matche assez bien !

D'ailleurs on peut jouer un peu à nouveau au cybernéticien amateur et constater quelques points interessants :

Quand on envoie une transaction Parent bienveillant, c'est-à-dire que l'on passe une commande ou que l'on connecte l'état Adulte à partir de son ( état ) Parent, et que l'on l'adresse aux autres ( ou à un autre ) à partir de cet état, on s'attend à avoir une réponse ( on s'atend à observer tendant l'oreille ) l'Enfant adapté soumis, c'est-à-dire qu'on s'attend à voir naître une participation acceptée ! De même si l'on fait son adapté soumis, ce qu'on s'attend à observer comme message de retour est un état Parent bienveillant de la part de son vis-à-vis...

Il en est de même des autres couples qui ferment la boucle, on se portera avec toute la mansuétude et le désir ardent de trouver une solution inédite ( petit professeur ) à la personne qui se plaint d' être au fond du trou tout comme on déploiera notre Parent normatif, dans toute sa vigueur face à l'expression débridée d'un Enfant adapté rebelle ou qu'à contrario, les comportements Parent normatif, prenant des allures de 49.3, ont tout pour faire naître des comportements adapté rebelle bruleurs de Rotonde...

...hein, non ??

...comme je l'ai déjà dit, quand on veut se connecter à son Adulte a partir de son état Enfant, mobilisant dès lors son petit professeur ( j'ai oublié precedemment ce cas ), au profit d'un autre ( ou de soi ), on voit parfois un peu, beaucoup, passionnement, à la folie un retour Enfant adapté victime rejetant la solution proposée pouvant tourner à l'accusation pure et simple ( Parent normatif ) attaquant l'Enfant coupable de ne pas adopter les bonnes pratiques, car les transactions retournées ne sont pas toujours celles attendues...

Avant de poursuivre, je voudrais éditer la carte du ciel de la nuit du 4 au 5 décembre 2016 vers 3h 20 au moment où des cris ont été enendus par les résidents du CROUS de Besançon à proximité de la chambre que y occupait Narumi Kurozaki...



Ca ne s'invente pas et j'en ai pris connaissance la nuit dernière dans ma quête de dénouer le mystère !

Comme on peut le voir, le match se joue dans le ciel de Besançon aussi cette nuit-là !

Apex de cette opposition à l'ASCendant-DEScendant, à 7° de l'anté-méridien du lieu ( Fond du Ciel )  envoie un carré trés précis ( 21 minutes d'arc d'orbe ) à Cerès natale de Nicolas Zepeda-Contreras en conjonction à 1° d 'orbe de Jupiter de cette nuit-là .

Cerès de cette nuit-là est, elle, en conjonction serrée à Uranus de cette nuit-là à 24 minutes d'arc d'orbe, toutes deux rétrogrades. ( Cerès céleste et la Cerès natale de Nicolas Zepeda-Contreras sont donc en opposition )

On pourrait encore ajouter que , à moins de 2° de l'axe des noeuds lunaires ( elle y sera surement en conjonction le lendemain ou les jours qui suivront ) ,  encore en chute en cette nuit-là, est à 4 ° du Fond du ciel elle aussi , que qui n'a pas encore terminé sa première révolution sidérale rencontre le natal de Nicolas Zepeda-Contreras pour la première fois de sa vie le lendemain, que fait un carré à son natal à 19 minutes d'arc d'orbe, sans parler du qui sera en conjonction à sa lune Noire le lendemain...

...à l"heure où j'"écris ces lignes, c'est celeste, après sa demi-révolution sidérale qui est en conjonction à 6 minutes d'arc d' de la nuit du 4 au 5  décembre 2016 avec un soleil en opposition exacte à de cette nuit-là ( 32 minutes d'arc d'orbe )... ...puisse-t-il nous éclairer...

one_lith a écrit:

...à l"heure où j'"écris ces lignes, c'est celeste, après sa demi-révolution sidérale qui est en conjonction à 6 minutes d'arc d' de la nuit du 4 au 5  décembre 2016 avec un soleil en opposition exacte à   de cette nuit-là ( 32 minutes d'arc d'orbe )... ...puisse-t-il nous éclairer...

...comme si l'Enfant adapté soumis de Nicolas Zepeda-Contraras voulait me montrer le coupable et le Parent  montrer son opposition maximale avec le perdant du match !

Suite à cete synchronicité jungienne pas piquée des hannetons, on va attaquer le dur ! Attachez-vos ceintures, ça va décoiffer ! Il s'agit de déterminer quelles sont les énergies particulières qui alimentent et dans le thème de Nicolas Zepeda-Contreras, quelles sont celles qui animent ces mêmes impédances dans la nuit du 4 au 5 dcembre 2016 et quel rapport on peut établir entre elles le cas échéant ! ( http://www.astroariana.com/Le-zodiaque-reflexologique-humain.html#les-inductions-11 ).

On s'attaque là à un gros morceau, le zodiaque reflexologique humain !

Mais d'abord, brievement, puisqu'on dit   aveugle dans le thème étudié, car la dernière planète dans l'ordre de la hierarchie planétaire conditinaliste, qu'y a-t-il d'aveugle dans la planète dite aveugle ? En 2 mots, ce serait selon moi, le lieu de notre extreme attirance, mais aussi celui notre extreme incompétence ( ou plutot l'inverse ) ! C'est un peu le " je t'aime, moi non plus " de la chanson de Gainsbourg ou le vers de Racine " présente, je vous fuis, absente, je vous trouve " dans Phèdre ! Ce pourrait être la " compulsion d'évitement " chère à Gurdjieff qui revient indéfiniment en boomerang... ( http://www.astroariana.com/La-fonction-aveugle-et-le-S-O-R-I.html ).

Et puisque l'on parle d'Ennéagramme, on pourrait se demander quelle est la compulsion d'évitement de Nicolas Zepeda-Contreras et je me suis demandé s'il ne pourrait pas s'agir de celle du type 6 : eviter l'autorité imprévisible et donc éviter la déviance... ...à voir ce jeune homme si poli dans ses chemises tirées à quatre épingles, à l'abord poupin et aux préventions oratoires marquées, prenant toujours soin du recul sur le recul dans ses prises de paroles, je me demande s'il n'y a pas la demande que " l'on soit reglo avec lui " et la peur archaïque d'être trahi ( notament visbles dans une video où il assigne Narumi Kurozaki de " respecter un certain nombre de conditions... " ) caracteristique du type ! Mais n'étant pas un expert, je resterai prudent !

Il ne veut pas " envoyer un pavé sur la gueule du flic ", il ne veut pas ! Mais tout cela n'est pas si simple, ça se saurait !

Revenons aux choses sérieuses et cette planète, est-elle inadaptée ( conditionalisme ) ? Adaptation et inadaptation caracterisent l'emploi d'une fonction planétaire dans un thème, son fonctionnement, découlant des expériences où on l'a mis en oeuvre, est fluide, disponible, en synergie avec la situation où on l'a requiert ou au contraire, elle agit à contre-emploi, se déploie à contre-temps, on la tient avec des pincettes, semble toujours nous échapper et est constamment désynchronisée... Les fonctions planétaires non-dominantes agissent dans ce registre et en l'occurence est la non-dominantes des non-dominantes, donc là, on est tuujours aux abois dans sa necessité !

Dans le thème, mis à part la conjonction serrée avec , rien de prime abord ne la signale comme devant être particulierement inadaptée, mais les conjonctions ne sont pas forcement signe de faveur des planètes l'une envers l'autre d'autant que est le contrepoint au niveau des fonctions planétaires de . De plus avec un dominant et un sous-dominant, c'est qui envoie des commandes plus souvent qu'à son tour dans la boucle et de qu'on y attend le plus souvent l'observation des résultats. Las, où est exalté,  est en chute et est un piètre informateur, le risque étant d'être toujours un peu à coté et d'être en proie à la réduction et simplification uranienne !

On va dire inadaptée et ça va compter dans la caracterisation des energies du signe pour dire comment la planete est employée le plus souvent !

Pour ce qui est de , le probleme semble plus plud facile encore que... est dominante, donc en principe adaptée, mais elle fait un carré à une autre dominante de rang superieur : ! En principe, le sujet a choisi, sans trop d'exclusion mutuelle, ou alors elle sont integrée l'une à l'autre, c'est possible ! Et ça peut être interessant... qu'est-ce que peuvent faire ces deux fonctions planétaires integrées ? ( http://www.astroariana.com/Jupiter-Pluton.html )

On note dans cette description  un accent de recul, voire jusqu'à amusé sur les choses et les gens, une perspicacité pourrait-on dire qui ne se dément pas, mais aussi un vrai fond d'obésité, pas forcément égoïste, le trop-plein pouvant se deverser sur d'autres ! Exaltée en , peut-être peut-il exister non pas la vantardise, mais le fait accompli de l'assouvissement de besoins primaires dans sa monstre générosité. De toute façon, exaltée, elle a, cette fonction planétaires, des accents d'exubérance !

Uranus agirait donc en faiblesse d'excitation et en vitesse d'excitation inadaptée et Jupiter en force d'excitation et en inertie d'excitation ( excitation persisitance ) et là, il faut s'expliquer ! !

Faisons déjà un peu d'astrométrie :

La terre tourne sur elle-même en 24 heures, c'est le jour dit solaire moyen, car ce serait vrai si elle allait en ligne droite mais pas que ( le chiffre exact est de 23 h 56 min 4,1 s ), or du fait de la révolution de la terre autour du soleil, le meridien d'un lieu ( grand cercle Pole Nord - verticale du lieu - dit Zenith - en passant par le centre de la terre ou orthogonale à la surface du lieu- on suppose que la terre est une sphère, ce qu'elle n'est pas - Pole Sud et retour par l'anté-méridien ) ne rattrape le Soleil qu'un peu plus tard et ce " un peu plus tard " ( ou un peu plus tôt d'ailleurs, c'est selon ) dépend de la vitesse ( variable ) de la terre à ce moment de l'année ( donc du parcours apparent qu'à fait le soleil sur le fond étoilé (C) et aussi.. et aussi, du fait de la dissociation du plan de rotation terrestre  ( dans lequel est inscrit l'équateur ) et de son plan de révolution ( dans lequel est inscrite sa révolution autour du soleil ) inclinés de l'ordre de 23.5°, parce que la distance à parcourir par le meridien en rotation depend des saisons pour remettre le soleil - qui lui suit l'écliptique : notre perception terrestre du plan de révolution - sur le meridien ( R )! Elle est nulle ( cette durée ) aux équinoxes et maximale aux solstices !

[ndlr (C) et (R) : voir suite de l'article... ]

Bon, mais on en a un peu rien à foutre, je faisais simplement mon crâneur !

Non, pas tout à fait, car on a appris plein de choses, mais avant, photo :



Ca, c'est la superposition de plusieurs photos prises tout au cours de l'année à heure fixe pour chacune d'entre elles, la figure dessinée par le soleil s'appelle un analemme !

Qu'a-t-on appris : D'abord qu'on peut projeter, dans l'espace environnant la terre, l'équateur terrestre. Et que pour une latitude d'habitat donnée, ce cercle reliant horizon Est et horizon Ouest est perpetuellement le même de jour comme de nuit.

On pourrait, regardant l'horizon Sud, tracer en imagination une ligne courbe en pointillé dans le ciel. La hauteur en degré maximale de cette courbe est de 90° - la latitude du lieu ( en valeur absolue ) , autrement dit habitant à l'équateur, elle passe par le Zenith et habitant pile sur le pôle Nord, elle raserait l'horizon !

Ensuite que les deux plans représentant l'un celui dans lequel est inscrit l'équateur celeste et l'autre celui dans lequel est inscrit l'orbite terrestre, sont dissociés ( ils ne partagent qu'une droite ) d'une angle de 23°26' . Quand la terre se trouve sur cette droite au cours de sa révolution, on est aux équinoxes et le soleil est vu pile sur l'équateur celeste depuis notre lieu d'observation. Mais vu de la terre, ce plan de révolution - dit ecliptique, c'est à dire les endroits où se trouve le soleil par rapport à notre reference qui est l'équateur celeste  -varie en plus haut ou plus bas que l'équateur celeste : c'est ce qu'on voit dans l'analemme aussi !

Mais il ne faut pas se méprendre en regardant un analemme, les plus hauts et plus bas du soleil par rapport à l'équateur celeste ne représentent pas les excursions maximales du soleil au jour des photographies *, il faudrait pour cela prendre les photographies à l'heure locale du meridien du lieu, donc justement l'heure en temps universelle corrigée du fuseau horaire, donc l'heure civile ( sans tenir compte du passage aux heures d'été ) et corrigée par la réduction au centre (C) et la réduction à l'équateur (R) c'est-à-dire l'équation du temps (E).



* et c'est d'ailleurs pour cela que dans nos thèmes astrologiques, le MC ( Milieu du Ciel ) " se balade " plus ou moins penché par rapport à l'axe ASCendant-DEScendant ( du moins dans les domifications prenant en compte un MC vrai !

Et là, on ne verrait pas du tout un " 8 " mais un segment de droite avec son centre posé sur l'équateur celeste avec, à l'heure meridienne locale donc corrigée de l'équation du temps, une excursion du soleil en degré au cours de l'année de valeur égale vers le haut et vers le bas.

L' aspect quant à lui plus ou moins penché à gauche ou à droite ou de l'analemme à une heure non-méridienne ( ou de mon analemme " réduit " à son heure locale non meridienne ) résulte que la variation en angle de la course du soleil, déjà sujette à variation en fonction de l'équation du temps dans le premier cas se traduit par une course apparente plus ou moins grande du soleil selon la hauteur du soleil atteinte au jour de la photographie, l'analemme penchant à gauche quand on photographie vers l'horizon Est et à droite quand on photographie l'horizon Ouest.

C'est logique !

Encore une chose : l'écliptique à savoir la courbe que suit le soleil de début Belier à Fin Poissons par rapport à l'équateur celeste à l'heure locale meridienne, c'est-à-dire son excursion maximale en degré décrit une période de sinusoïde dont l'excursion s'appelle la déclinaison, celle du soleil au cours de l'année et à laquelle, il faut ajouter, pour connaître sa hauteur, la hauteur de l'équateur celeste au meridien du lieu comme déjà vu .

Pour finir, je dois avouer  que j'ai pas une pédagogie classique, au lieu d'aller du simple au complexe comme c'est la norme, je cherche à aller du complexe au simple, et on verra que c'est trés Uranien, malheureusement, fonction planétaire que j'ai en VII et qui caracterise - pour le meilleur mais surtout pour le pire - mon rapport à autrui.

Cependant, si vous avez suivi sans encombre ce violent exposé, vous êtes paré pour le zodiaque reflexologique qui me donne encore du fil à retordre !

NB : Je me suis un peu viandé en disant dans l'artice précedent " Elle est nulle ( cette durée ) aux équinoxes et maximale aux solstices ! ", à la fin du premier paragraphe, la courbe (R) démontrant qu'elle est nulle et aux soltices et aux équinoxes, ça s'explique, mais le verbaliser est une autre paire de manche, mais si vous vous en sentez le courage, n'hésitez pas !

Donc, le zodiaque dit des déclinaisons, c'est mesuré en déclinaisons ( écart en degré entre l'équateur celeste et l'écliptique à l"heure locale sur le meridien du lieu ) c'est-à-dire le plus haut point qu'atteint le soleil ce jour-là en prenant pour reference l'équateur celeste.

Au cours de l'année du début    à fin   ,on a une periode de sinusoïde parfaite .

Il en est déduit un zodiaque dit photopériodique à savoir un temps d'insolation du lieu tout au long de l'année qui dépend, hors la position zodiacale du soleil ( ou tout autre objet planétaire ), de la latitude de ce lieu. Cet arc pour le soleil ( ou une autre planete ), qu'on pourrait dire arc diurne vrai, au cours de l'année suit aussi une période de sinusoïde entre début    et fin   ( à l'équation du temps près, négligeable car l'avance ou le retard du soleil ne dépasse pas 30 s par jour solaire : rotation complete de la terre ramenant le soleil au meridien du lieu ). Il est dit que par 45° de latitude, c'est 8 h de présence solaire au solstice d'hiver contre 16 h au solstice d'été ! Aux équinoxes l'arc diurne " vrai " est de 12 h pour 12 heures d'arc nocturne " vrai " .

Le zodiaque de déclinaisons est purement géométrique, en somme, et géocentrique ( il prend pour reference le centre de la terre ) et celui photopériodique est dit topocentrique, il considere les hauteurs ( en degré ) du soleil ( ou d'un autre objet planétaire ) sur l'horizon du lieu en suivant le meridien à l'heure locale qui retentissent de facto sur la durée des arcs diurnes vrais de la position zodiacale considerée ( de même pour l'arc nocturne ).

Regardant un theme astrologique, il faut bien comprendre que pour une position zodiacale donnée, l'arc diurne vrai  ( sa durée ) au dessus de la ligne ASCendant-DEScendant et l'arc nocturne vrai ( en dessous de la ligne ASCendant-DEScendant ) n'ont pas du tout la même durée sauf debut et début , ou si l'on veut, lorsque l'objet planétaire consideré a une position dite équinoxiale, donc.

Considerant que ce sont les positions planétaires en raison de ce zodiaque photopériodique qui sont agissantes, pour des raisons qui restent largement mystérieuses ( certains se sont essayé à des explicatives thermodynamiques en lien avec la lumière et la théorie du corps noir ), et le zodiaque des déclinaisons en donnant une réduction géocentrique, c'est sur le zodiaque des déclinaisons que va s'appuyer le zodiaque reflexologique de Jean-Pierre Nicola, inspiré des travaux de Pavlov mais en ayant en vue les arcs diurnes ou nocturnes vrais ( en durée ) quand on parlera de leur croissance en durée ou de leur décroissance !

C'est important !

Considérant la de Nicola Zepeda-Contreras, sa position trés solsticiale fin , là où la déclinaison ( négative ) en degré est maximale, son arc dit diurne, au dessus de l'horizon en topocentrique c'est-à-dire prenant en compte la latitude du lieu, est minimal, et c'est son arc nocturne en durée qui est maximale. On dira qu'elle est hyper-solticiale, trés proche de la position zodiacale correspondant au solstice ( sil s'agissait du   ), mais on doit avoir en tête pour expliquer la faiblesse de son " alimentation " ( pour reprendre mon analogie elecrique ) en signe reflexologique, la durée d'arc diurne et consequemment nocturne que cela induit  !

Il y a tout de même un point craignos, à tout ça, c'est que la latitude de Santiago du Chili, c'est 33° 26' Sud... donc, si je ne m'abuse, en zodiaque des déclinaisons, on est bon, se trouve bien à 29° 28' , elle est bien hyper-solticiale mais, en durées d'arcs dit diurnes et nocturnes, donc concernant le zodiaque photoperiodique basé sur le lieu de naissance ( topocentrique donc ), c'est une position zodiacale portant à présence dans le ciel diurne maximale et un arc nocturne minimal... ...à cette position, le étant bien au solstice d'été ( pour l'hémisphère Sud ) !

Le juge de paix étant bien sûr l'analyse de la personnalité, l'analyse clinique en somme et il me semble avoir lu qu'elle corrobore un zodiaque prévu pour l'hémisphère Nord, mais ça porte un sérieux coup au zodiaque photoperiodique tout de même, ce qui fait que moi, je privilégie l'hypothèse gravitationnelle pour jauger des influences planétaires !

En bref, le zodiaque de déclinaisons dans l'hémisphère Sud reste bien le zodiaque des déclinaisons dans le sens que les planètes ( sauf rétrogradation) parcourent bien au cours de l'année le ciel dans le sens des signes , , ... et d'Ouest en Est comme dans l'hémisphere Nord ( en topocentrique ), par contre effectivement un objet planétaire sous l'équateur celeste dans l'hémisphère Nord sera vu au-dessus de ce même équateur celeste dans l'hémisphère Sud et par conséquent son arc diurne ( au dessus-de l'horizon ) sera en durée le complémentaire de celui de l'hémisphère Nord !

Je pense qu'il faut donc considerer ce fait dans l'application du zodiaque reflexologique en conséquence inverser par rapport à l'axe équinoxial la signification des signes : ainsi, la  deviendrait une  et nous aurions donc un en force d'inhibition, vitesse d'inhibition ( donc en induction négative ) et un passant en alimenté ici par une energie de type faiblesse d'inhibition, inertie (ou lenteur ) d'inhibition inadaptée...

Et là, ça prend une autre tournure...

Le rE, la fonction planétaire qui écrit le roman de Sa Vie et manie son adapté soumis reste placide et esquive comme un champion d'Aïkido, mais l'ethique risque d'être laissée au vestiaire, petites compromissions ou grands dévoiements pouvant rester menu monnaie et laissée derrière soi, car le sujet regarde au loin...

An contrario, rT, l'adapté rebelle, la fonction planétaire aveugle qui fascine, mais restant comme une épine plantée dans le pied, agit comme un kaléïdoscope, syncopant à bas bruit fantasmes de totalité et plans machiavéliques...

L'inhibition n'est pas l'absence d'excitation, c'est son opposé de force au moins égale. L'énergie qui nous anime est faite d'inhibition et d'excitation. Dans toute action, dans toute démarche, on écarte, on évacue, on se détourne, on bloque une idée, un mouvement, une sensation ( inhibition ) ou au contraire, on les enserre, on se porte à leur suite, on les accompagne dans une attitude d'amplification ( excitation ). On module le plus souent les deux et on dirige inconsciemment la relexion, l'action, le sentiment selon nos notre volonté, notre désir, nos attentes.

Un signe dont l'arc diurne est dominant ( donc dont la durée est superieur à l'autre ) porte en lui une énergie forte, tandis qu'un signe dont l'arc diurne est non-dominant porte en lui une énergie faible. Autrement dit les signes du à la lorsque un objet planétaire y est situé l'alimente d'une énergie forte et les signes de la au au contraire l'alimente d'une énergie faible.

Lorsque l'arc dominant ou non-dominant ( et diurne ou nocturne ) croît, c'est donc le cas, par exemple, pour les signes d'hiver et de printemps où les journées ( d'insolation dans le cas de l'objet planétaire ) grandissent, c'est-à-dire entre le solstice d'hiver et le solstice d'été, l'énergie est dite d'excitation et naturellement c'est l'arc associé, inverse dans sa dominance ( et donc sa force/faiblesse ), qui recule et confere aux signes concernés une énergie d'inhibition.

Du coup, au printemps, , , , arc diurne dominant = energie forte, arc qui croit = excitation, on obtient pour ces signes une force d'excitation. Au même moment, l'arc inverse, ( la nuit, donc ), non-dominant ( la durée de nuit est infériure à celle de jour ) donc faiblesse, décroît , donc d'inhibition !

Tout comme pour les signes d'hiver, , , , l'arc diurne est non-dominant, donc faiblesse mais il croît = d'excitation... ...alors que la nuit dominante, est en force, car le jour est non-dominant, d'inhibition, car elle décroît.

Pour l'été : , , on a un arc diurne dominant = force, qui décroit, d'inhibition. Au même moment, l'arc nocturne en faiblesse, puisque l'arc diurne est dominant, croit, donc ce sont des signes en faiblesse d'excitation et à 'lautomne, , , l'arc diurne en faiblesse, cette fois-ci décroit toujours, donc d'inhibition, et l'arc nocturne est en force, à contrario, d'excitation, car il croît.

Il faut jongler un petit peu avec ça et ça finit par le faire