Nicolas Zepeda-Contreras

Brievement, il me vient un souvenir de ce que j'ai lu du rapport de l'enquêteur sur l'emploi du temps de Nicolas Zepeda-contreras à Besançon : à un moment, je ne sais plus lequel, [ndlr : 13h55 ], Nicolas Zepeda-contreras est au centre-ville  où la telephonie revele que Narumi Kurozaki et Arthur Del Piccolo y sont aussi ! ! Et puis vient à l'idée de Nicolas Zepeda-contreras d'acheter des vetements dans une boutique.

S'il est un représentant rE (  ), c'est bien le souci vestimentaire... ...en somme, le E, l'aspect matériel, la capacité d'acquérir et la proximité même d'une matière vestimentaire brute donnée reflete, définit et re-assure l'image que l'on a de soi dans ce que ( r ) la qualité de l'habit et son accord avec des valeurs esthétiques peuvent évoquer et que l'on a eventuellement urgemment besoin de maintenir en l'occurence !

Au souvenir, il me semble que dans l'article, ça avait étonné la cour et Nicolas Zepeda-contreras ne s'y était pas arreté quant aux motivations instantanées laissant tomber une réponse badine. ( le genre de réponse badine qu'on a appris à décoder quant à la " garde rapprochée " en Extinctif )

Rien ne permet d'affirmer que Nicolas Zepeda-contreras ait filé le couple Narumi-Arthur et souhaitait avoir un contact visuel avec la réalité des faits, bien sûr, mais le visuel, dans ce genre d'affaire, où d'évidence, on ne veut pas se rendre à l'évidence, ça compte... ...c'est un element E qui permet de poser les faits et de s'assurer d'une réalité convoyant un certain nombre de fantasmes, de contre-sens, d'emportements syllogistiques dont on est averti de se méfier ! ( Et là, les phases vont être interessantes, car elles vont nous apprendre avec quel niveau de discriminations et accords entre les faits, leurs réalités et la fermeté, la netteté de leurs représentations, Nicolas Zepeda-contreras entretient un rapport avec le reel ).

Le E qui s'active, c'était prévisible, que Nicolas Zepeda-contreras rencontre un probleme de " fidélité " ( je mets fidélité entre parenthèse car normalement, leur rupture est consommée à ce moment-là, au moins pour Narumi ) de Narumi, c'est patent, mais surtout, on voit que serait en train de se défendre...

Bon, là, on est sur terrain plus factuel et en plus, la question de la détermination du scénario qui s'ensuit se pose au détriment de l'accusé, donc, c'est à prendre avec des pincettes !

J'ai cheminé pour répondre à la question de l'apparente valeur symbolique allouées aux types d'Excitations et d'Inhibitions et cheminant, j'ai découvert ou plutot j'ai affiné la complexité d'un certain nombre de problématiques astrométriques ( en rapport avec la présentation du zodiaque reflexologique ) que je peine d'ailleurs encore à rassembler de façon synthétique. Et j'ai aussi trouvé à agreger d'autres notions déjà évoquées ( comme l'Adaptation/Inadaptation ) à ces considérations astrométriques ! Comme se posait la question de leur présentation, dans un souci de simplification, mais qu'une présentation choisie, orientée pour une compréhension assurée risque d'être en quelque sorte monolithique, trop ajustée et sembler comme artificielle , je vais plutôt m'orienter vers une présentation qui en montre aussi la genèse, le cheminement !

Jusqu'ici, on a ajusté les Forces, d'excitation ou d'Inhibition, à la lemniscate de Bernouilli, qui apparait dans la composante Obliquité de l'analemme solaire en lien avec la Réduction à l'équateur de l'Equation du temps ! Il est entendu qu'on se détache de l'analemme solaire en cela qu'on considere que le point de reference sur l'écliptique " rattrapé " par le méridien de l'observateur n'est plus le soleil, mais le point d'application du vecteur déplacement de la terre. Ce vecteur est naturellement dans le plan de l'écliptique et ce point d'application parcourt l'écliptique tout au long de la révolution d'une année de la terre autour du soleil. Et on prend ce point de reference parce qu'on sait à ce stade que la porteuse, une onde sinusoïdale de pêriode constante, due à la rotation de la terre et qui se traduit par une vitesse variable de l'observateur dans le sens du déplacement de la terre, modulant cette vitesse, c'est-à-dire la diminuant et l'augmentant sur la periode d'une journée et qu'on suppose perceptible à nos sens, est modulée cette fois-ci en periode ( on dit en frequence ) du fait du déplacement multi-causal du point d'application du vecteur déplacement de la terre sur le grand cercle de l'écliptique dessiné à la surface de la terre !

Citation :

multi-causal

: On a vu l'effet de l'inclinaison de la terre, l'obliquité, sur la variation de déplacement de ce point d'application du vecteur déplacement de la terre et cela a conduit à isoler ce qui est convenu d'appeler une Force dans le signal zodiacal et à la placer dans la composante qui lui revient, la lemniscate de Bernouilli !

On avait fait le rapprochement aussi, entre la vitesse conditionaliste et l'augmentation/diminution de l'accélération de la terre au cours de sa révolution autour du soleil. J'avais prudemment choisi ces vocables d'augmentation/diminution d'accélération dans le cas du mouvement de révolution et de croissance/décroissance en accélération dans le cas du mouvement de rotation pour ne pas soulever d'autres problématiques car stricto sensu, on ne peut pas parler " d'accélération tangentielle ", pour un corps à la surface de la terre dans son mouvement de rotation . Pour le même corps, soumis ( et à cette rotation ), et à la révolution de la terre autour du soleil, on pourra parler de composante tangentielle de l'accélération car à la différence de la rotation, on se trouve non sur un cercle, mais sur une ellipse et que la force d'attraction du soleil se décompose en une composante tangentielle d'accélération ( ou de décélération ) et une composante normale à cette tangente !

( Je souligne d'ailleurs que je me situe toujours dans le cadre d'une révolution en forme d'ellipse à vitesse constante ( contrairement à la réalité ), en tenant compte de l'inclinaison du plan de rotation équatorial de la terre sur l'écliptique tel que dans la réalité et avec, à la différence de la réalité, un soleil central à l'éllipse ! )

Citation :

on ne peut pas parler " d'accélération tangentielle "

: On ne peut même pas parler d'accélération du tout ( du fait de la rotation de la terre ) , On ne le peut que si on change nommement de referentiel , ce que j'ai fait jusqu'ici sans le dire !

Pour rendre compte de cette accélération sensible à l'observateur en fait ( c'est ma thèse ) , on parle plutot de " repere " galiléen " ou non ! Par exemple, le referentiel du laboratoire, soit un lieu quelconque à la surface de la terre , délimité par le laboratoire, est supposé galiléen, si on lui suppose un mouvement ou de repos, ou de mouvement à vitesse constante ( donc à accélération nulle, ce qui suppose aussi que le mouvement ne change pas de direction ). C'est vrai sur terre pour une éxpérience qui dure par trop longtemps et d'étendue tres réduite au regard de la dimension de la terre , le laboratoire en somme ! Dans ce cas-là, le bilan des forces mécaniques qui s'appliquent dépend de l'experience sans tenir compte d'une force induite découlant de l'équation fondamentale de la dynamique rendant compte et de l'accélération due à la rotation de la terre ( qui va découler de prendre un referentiel " plus grand " ) et de la masse des objets considerés ! f vectoriel( force ) = m. a( vectoriel )

Maintenant, , si on élargit maintenant le referentiel à celui de la terre en prenant pour origine son centre, on peut evoquer l'accélération d'un corps à la surface de la terre ( on considere alors que pour l'experience, le referentiel du laboratoire n'est pas galiléen c'est-à-dire , n'est pas en mouvement de translation uniforme voire nul, mais subit au contraire une accélération et que c'est alors le referentiel terrestre qui est galiléen, en mouvement de translation uniforme, même le cas échénant nul ! ) , mais on ne peut pas parler d'accélération " tangentielle ", dans le mouvement qui est celui de rotation , car la composante tangentielle est nulle, et pour cause, l'accélération a pour direction l'orthogonal ( on dit aussi la normale ) à la tangente au déplacement de l'observateur ! L'accélération " projeté " sur la direction de la vitesse n'a pas d'extension et selon cette direction ( la tangente au déplacement qui est circulaire pour un corps à la surface de la terre ) est égale à 0 !

Pourquoi l'accélération est-elle normale à la tangente au mouvement de rotation ? C'est interessant ! En effet, pour un petit déplacement d'un corps de fait en rotation dans le referentiel terrestre, au cours d'un infiniment petit d'angle de rotation de la terre, le vecteur vitesse appliqué à ce corps va changer imperceptiblement de direction, et que donc, la variation de vitesse ( définition de l'accélération ) est dirigé alors vers le centre de la terre, origine de notre referentiel !

On va vite voir que le referentielle terrestre n'est pas plus galiléen que le referentiel du laboratoire, car non seulement le geoïde se déplace sur une ellipse, mais en plus à vitesse variable ( quand on le prendra en compte, ce qui n'est pas encore le cas ) ! Donc on prend comme referentiel celui du centre du soleil qu'on suppose à nouveau galiléen ce qui serait étonnant mais l'astrologie notamment conditionaliste, je pense, s'en tient là ! Et le fait que la terre se déplace sur un plan incliné ( de la valeur de l'obliquité ) selectionne le mouvement circulaire d'un observateur terrestre ( qui est une rotation circulaire ) projeté sur le plan écliptique donc selon à nouveau une ellipse : ( un cercle projeté sur un plan qui ne lui est pas parallele donne une ellipse )

Pour dénoter, par exemple, le referentiel du laboratoire et le referentiel terrestre, parlons de notre poids ! Dans le referentiel du laboratoire, le poids est la force developpée par l'attraction terrestre du fait de la masse de notre corps ! C'est le fameux P (vectoriel, le poids) = m (la masse ).g( vectoriel, dirigée vers le centre de la terre considerée comme spherique ) ! identique au TFD ( Théoreme Fondamental de la Dynamique sus-évoqué ) !  l'attraction est verticale, perpendiculaire à la surface condiderée comme plane,  donc le poids, la force qu'on subit aussi ! Dans le referentiel terrestre, la terre tourne, selon un axe polaire, et de fait, un corps à la surface de la terre subit une accélération dans un plan perpendiculaire à cet axe, dirigée selon une perpendiculaire à cet axe polaire, en plus de la force d'attraction et il faut, poiur définir la direction de la force subie, composer les deux forces precedentes. Dans les faits, plus on s'approche des poles, plus l'écart angualire entre le poids proprement dit et l'accélération angulaire du fait de la rotation de la terre grandit et plus l'on pencherait vers le Sud   , ça peut faire rire, mais c'est vrai.

( Il n'ya que placé sur l'équateur qu'on est vraiment vertical ( dans une direction normale à la un plan tangent à la surface de la terre ) et de plus, notre poids est plus faible ! en effet : )

Ceci dit, si la vitesse angulaire d'un corps à la surface de la terre est partout la même, la vitesse tangentielle ne l'est pas, elle dépend de la distance parcourue et plus on se rapproche des poles, plus la circonference parcourue est faible, donc l'intensité de cette vitesse étant plus faible, l'accélération dirigée perpendiculairement vers l'axe polaire l'est aussi ! Cette accélération " ressentie " provoque une force centrifuge ( en effet, on est pas attaché à la terre ). Et composée au poids proprement dit , rend cette correction de moindre importance quant à la résultante quand on s'approche des poles !

Ceci sur une terre sphérique, ce qu'elle n'est pas en raison de sa déformation par projection ( du fait de la force centrifuge ) vers l'extérieur des masses plus forte dans la bande équatoriale que plus près des poles ( entre 21 et 22 km quand même de renflement équatorial ! ! ). L'intégrale triple sur une une ellipsoïde en fait des df(force vectorielle )/dm conduit en fait à une gravité plus faible à l'équateur qu'aux poles, donc aux pôles on penche plus du fait de l'écart angulaire entre l'attraction et la force centrifuge, encore que du fait de la forme ellisoïdale, la variation de station verticale soit plus sensible tout proche de l'équateur quand on s'en éloigne que se rapprochant des pôles, le poids proprement dit augmente en se rapprochant des poles et et la force centrifuge faiblit et donc rétablit en sens inverse la verticalité !

Il semble que je me sois un peu éloigné du sujet  que j'examinais avec cet exemple mais ce n'est pas en vain, car ça rode en somme à une finesse de discrimination qui doit être mise en oeuvre dans l'analyse du mouvement spatial de la terre et qu'on s'aperçoit aussi que ce type de considérations a agité historiquement le monde scientifique !

Le procès en appel de Nicolas Zepeada-contreras a débuté en début de semaine aux assises de Vesoul et on s'aperçoit, notamment, que sa relation dans le journal local ( https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/narumi-kurosaki/affaire-narumi-kurosaki-tous-nos-directs-du-proces-en-appel-de-nicolas-zepeda ) paraît plus précise et apporte des éléments laissés en arrière lors du premier : stratégie minorée au premier procès des avocats fourbissant leurs armes dans la perspective probable d'un appel ou volonté de la rédaction de mettre en lumière des faits nouveaux ou vus sous un autre angle, je ne saurais le dire, mais la semaine a été riche en enseignements !

On a pu comprendre par exemple que la témoin Rachel Hopes ait pu " tomber " potentiellement dans la cuisine sise au quatrième étage du bâtiment Rousseau du CROUS de Besançon sur un Nicolas Zepeda-contreras ( ce qu'il nie, soyons exhaustif ) en proie pleine et entière aux affres du crime ( supposé ) fraichement, si je puis dire, commis ! Ce qui expliquerait son état pitoyable révélé par la témoin qui a ému par son auto-révélation d'un mouvement irrépressible, auquel elle est sujette de façon constitutive, de se porter au secours du (futur-) prévenu ! Je pense que le bénéficiaire de cette offre n'a eu aucun mal à la décliner, il a aussitôt bifurqué sur un gros mensonge ( un malaise ) rendu plus facile encore par le problème de la langue, et sans doute aussi pour ne pas se mettre en danger dans cette situation périlleuse...

Plus encore, le détail des débats et notamment de la déposition à la barre du directeur d'enquête, un certain David Borne, a permis de subodorer que l'hypothétique filature de Narumi Kurosaki qu'aurait exercée le chilien Nicolas Zepeda-contreras après un voyage de 14000 km et que j'avais évoquée à mots couverts pétri d'une retenue toute équanime est ( et était déjà sans doute ) totalement validée par la téléphonie, puisque dès que Nicolas Zepeda-contreras met le siège devant le bâtiment Rousseau, il accompagne en somme cette dernière matitunalement jusqu'au CLA ( Centre de Linguistique Appliquée, bien connu des bisontins, car sachez que l'on s'honore ici et qu'on bénéficie de la filiation institutionnelle d'un professeur de la Faculté de Lettres ayant édité le dit Gaffiot du nom de son auteur, dictionnaire de référence du Latin ) situé aux abords du centre-ville depuis la résidence excentrée au Nord-Ouest du site de la Bouloie.

Je crois, sinistrement, que Nicolas Zepeda-contreras est alors lui aussi dans la validation d'une hypothèse dont il craint la brutale et potentiellement irréversible révélation... ...le E ( grand E ) du personnage le pousse à s'assurer de la matérialité des faits, à leur indubitabilité voire même toute sa réflexion est faite de falsifiabilité garantie à vie par les réflexes pavloviens dont j'étudie la teneur astrologique !

On apprend aussi, à contrario du premier procès, que l'ouverture et la fermeture des portes de son Scenic de location, leurs horaires mêmes, ont été soigneusement notés par l'électronique de bord, réduisant encore la fourchette de corrélation chronologique avec l'apparition inopinée et clairement lunaire d'un " rôdeur " potentiel et notoirement noctambule, s'intéressant à la façade et aux fenêtres du bâtiment Rousseau qui n'est pas le dénommé Nicolas Zepeda-contreras selon lui-même car il ne se reconnait pas ( sic )... ...c'est mieux que le déni se fasse encore entendre sur le sujet car l'évocation même de Jean-Jacques, dissertant jusqu'à plus soif sur la bonté et l'influence sociale aurait dû arrêter net l'un et( de fait )/ou l'autre. Notons tout de même que Nicolas Zepeda-contreras n'a aucun scrupule à jeter le discrédit sur toute une agglomération en l'occurrence...

Mais avant, cette facilité qu'il a à s'observer comme de l'extérieur, de façon médiatisée comme s'il ne s'agissait pas de lui, ou comme si on lui demandait d'être le témoin d'une scène dans laquelle il n'a pas parti pris est tout à fait troublante... il faudra porter analyse là-dessus !

...et d'ailleurs, et d'ailleurs, vu l'immensité et la méticulosité des investigations qu'ont à la fois saluées en raison de l'admiration qu'elles suscitent par le travail qu'elles nécessitent ,et l'avocat général en la personne d'Etienne Manteaux , et le président de la cour d'assises de Vesoul, je me souviens d'un détail assez personnel dans les années de l'enquête de m'être fait arrêter de manière récurrente par des forces de l'ordre à la fois municipale et nationale, car je suis le conducteur occasionnel d'une Clio grise, type de véhicule repéré par la diligence de la défense de Nicolas Zepeda-contreras sur les bandes de vidéo-surveillance, ce qui a sans nul doute conduit à procéder à un ratissage des fichiers ad-hoc pour identifier tous les propriétaires de voiture de ce type sur le secteur . Il s'est avéré, après des vérifications sans nombre que le véhicule appartenait à une petite main assidue et laborieuse du CROUS venant faire le ménage des locaux et devançant de loin, aux aurores, leur ouverture aux étudiants ! Un pâle reflet de la désolation qu'expriment la diligence servile et dévouée des uns au regard de la débauche de moyens dont d'autres font la prédation élevant ainsi une véritable statue au Déni...

J'ai bien apprécié aussi la courte note d'un directeur de la maison d'arrêt où Nicolas Zepeda-contreras a pu constater les frimats de notre région somme toute montagneuse ( c'est pas moi qui le dit, c'est Stendhal dans l'un de ses romans ) et qui pourrait valoir qu'il se soit transporté à Orléans au climat plus océanique, notant sa nature " égocentrée , victimaire, se disant persécutée et subtilement manipulatrice " , on y reconnait dans l'ordre la démarcation nette entre 2 systemes en une seule personnalité, le quintette Hyper-T et le quatuor Représentation-Existence, un   sous-dominant qui ne se lasse pas de chougner, le chargement paranoïde d'un   dominant et last but not least, ce sentiment de prestance arrogante qu'il dégage par une forme de droit irréfragable à la main-mise sur autrui que lui confere le quintette Hyper-T masqué pernicieusement par son quatuor !

On y voit d'ailleurs, sous la plume de ce directeur, un Nicolas Zepeda-contreras assez sélectif dans ses élections, sifflant les gardiens pour la fin de la promenade comme de vulgaires clébards ( oui, je l'ai déjà dit, ça peut cailler par ici ) mais faisant le toutou, et tourner à fond son adapté soumis avec la gente gradée du milieu pénitentiaire, en étant alors policé, disponible et responsable ( capable de réponses ), caractéristique du signe d'ailleurs (   sous-dominant en   ), concrêtement, selon Richard Pellard ( site astroariana ),



Enfin, on a pu voir l'axe philosophique appuyé par un certain positivisme chevronné et un peu anachronique dans les exigences qu'a énoncées son pauvre père en demandant l'impensable, comme pour faire pièce à l'impensé, à savoir des preuves scientifiques et telles que personne ne puissent en émettre le moindre doute ( qui, rappelons-le, profitent par tradition judiciaire française toujours à l'accusé ) ! Outre qu'on soit passé depuis belle lurette à une conception systémique plutôt que classique dans l'analyse scientifique en sciences humaines, le principe même des juridictions est de rendre humainement tangibles des faits par nécessité passés et par nature inobservables et replacés dans une perspective d'ensemble validés par la logique dans la perception qu'on peut avoir des actions humaines ! Son exposé sans concession à un quelconque recul devant l'objet demandé de sa déposition ( à savoir un témoignage bienveillant sur la personnalité de son fils, semblant aller de soi mais que l'avocat de la défense n'a pu qu'arracher brièvement ), l'obsession même de mécanicien acharné à objectiver et démonter pièces par pièces un entrelacs de faits s'étant déroulés à 14000 km de lui ( tout en niant aujourd'hui avoir ignoré le déplacement planétaire de son fils )  a pu à la marge prouver la peine d'un père, d'où la patience et la mansuétude du président de séance, mais a éclairé d'une lueur blafarde et lugubre la morgue, le mot n'est pas trop fort en présence des proches de la victime, acharnée, âpre et ne servant pas l'accusé en mettant en joue la justice d'une erreur judiciaire, qui en serait connue urbi et orbi tout comme elle jette un éclairage éducatif qui fait frémir sur le caractère acquis de Nicolas Zepeda-contreras, je suis désolé de le constater...


C'est vrai, je ne suis pas tendre, mais j'oscille, plus souvent positivement que négativement ! Des fois, je me demande comment sauver ce qui reste de ce triste drame voire les contributions par lesquelles  l'astrologie pourrait y concourir à contrario des dithyrambes, des panégyriques à la science dure de Zepeda-contreras père, confinant aux délires avinés d'un témoin produit les jours suivants. Comment sauver ce gamin, tel que l'a confié Maitre Cormier ? Comment apporter la paix dans le coeur des proches de Narumi et asseoir la prise en charge de l'accusé lui-même sur des faits pourtant irréparables, mais qui  ne propageraient pas plus loin leur dévastatrice nocivité ?

En somme, comme je l'écrivais  : comment faire piece à

Citation :

la dépendance dans laquelle  Nicolas Zepeda-contreras se trouvait vis-à-vis de Narumi, lui faisant placer sa relation au niveau d'une question de vie ou de mort de l'être! De l'opérabilité entre le plan d'expression sociale de Nicolas Zepeda-contreras et son plan d'expression psychique.

Et là, j'ai monté le thème pour une première fois, je crois , de Narumi Kurosaki, entaché comme pour Nicolas Zepeda-contreras de l'absence d'heure de naissance, heure que j'ai donc rectifiée, selon l'expression consacrée, à partir des indices évoqués de sa personnalité et j'ai vu qu'elle bénéficiait, dans ce thème hypothétique d'une dite " réceptivité plastique " tout à fait bouleversante ( le terme même n'est pas sans rappeler l'intertexte dont à fait état Nicolas Zepeda-contreras pour expliquer les cris de la nuit fatidique : la réceptivité... ...espérant conquérir l'adhésion d'un public judiciaire ? ). Cette " réceptivité plastique ", en somme une capacité multiforme à capter et globaliser une réponse adéquate en toute circonstance, axée à la fois sur une analyse fine, ancrée et une synthèse marquée par la globalité surplombant quantitativement tout le thème, est à mettre en relation avec le p ( petit p ) qui en est l'abréviation, microscopique de Nicolas Zepeda-contreras et qui en aurait fait par transfert l'assoiffé Nicolas Zepeda-contreras signant par là sa dépendance extrême à Narumi Kurosaki et l'intuition que j'ai eu qu'il plaçait sa relation au niveau de la mort d'une être qu'il s'était découvert.

Il le dit d'ailleurs lui-même dans un message révélé devant la cour entre lui et Narumi Kurosaki où il l'accuse d'avoir décidé de le détruire ", les mots sont forts...

L'absence drastique de liant, d' "huile dans les rouages " , de laisser-vivre au fil des jours en palpant le lien entre toutes choses, l'insoutenable légèreté de l'être selon le titre d'un film impérissable, , ne serait-ce pas à la fois le mobile sordide d'en être privé et la voie ouverte en en tissant les contours et le goût de paradis perdu pour une possible rédemption dans des aveux libérateurs ?

Cette seconde semaine de procès aux Assises de Vesoul confrontant au cours de dépositions fleuves les principaux acteurs du drame ou leur famille a été d'une très haute intensité : lundi et mardi se sont succédées les jeunes soeurs, de Narumi Kurosaki , Kurumi, je crois et Honani, d'une fidélité à la mémoire de l'ainé dévouée faisant chavirer le coeur de l'assemblée, puis vint la déposition de Taeko Kurosaki, la maman, frêle ombre en deuil dans un cauchemar de 7 années, dépeignant dans un récit homérique et digne d'un discours de Fidel Castro par sa longueur le fond du malheur d'une mère étranglée de douleur par l'étendue du rêve brisé ! C'était clairement insoutenable, lecteur que je suis du " live " de l'Est Républicain, je devais retenir des larmes dans les spasmes ponctués de mon émotion, jûré, j'aurais sans nul doute dû sortir de la salle d'audience, et c'est la gorge sèche et les yeux brûlants que j'ai égrainé le rapport par salves saccadées et toujours plus étreignantes du portrait brossé de Narumi Kurosaki, fleuron de l'ardeur et fierté assidues de sa famille !

Mercredi, Arthur del Piccolo est apparu, avec une sérénité aiguisée comme une lame et un exposé si percutant dans sa clarté et authenticité qu'il a renversé de sa cérébralité massive et la limpidité du propos toute velléité de mise en cause dont la métaphore avait été filée en son absence la semaine dernière , Maitre Portejoie (ou Maitre Cormier je ne sais plus,),  n'ayant pas eu l'heur de relever le gant en tentant de fissurer la puissante cuirasse d'innocence avérée de l'intéressé : tout au plus a pu surnager la singularité, assenée et explicitée comme une pique de Torrero malsaine, de l'accueil que Narumi réserva à Nicolas Zepeda-contreras, pour le moins consensuel avec cette visite impromptue d'une Saline d'Arc-et-Senans fermée, un restaurant excentré dans l'ombre noirâtre de la Loue à cette heure et saison et un accompagnement de Nicolas Zepeda-contreras dans la chambre même de la victime, non-élucidé pour cause et improbable de fait et qui n'a posé aucune difficulté oratoire à un amant compréhensif au vu de la fragilité aux suppliques par la personnalité empreinte d'entraide de Narumi Kurosaki.

Je dois dire que j'attendais et qu'on pouvait logiquement s'attendre minute après minute que Nicolas Zepeda-contreras s'écroulât, mît fin à ce supplice absurde et cruel, d'abord, lors des dépositions des deux premières journées, sourçant d'abord dans un lien  fraternel et chavirant de Kurumi et Honani Kurosaki , déchirant qui, goutte à goutte, s'est mué en un torrent d'émotions retenues, dans l'évocation d'un lien d'une dimension incantatoire, d'une fidélité jurée à la disparue et sa mémoire, et de l'hommage journalier et perpétuel au modèle que représentait le grande soeur pour Kurumi et Honani. Puis, ensuite, par le torrent , prenant les allures annoncées d'un Typhon sous les traits d'un fantôme émacié, accablé par l'indicible,  qui a renversé la cour, s'engouffrant et submergeant comme les eaux gonflées d'une fonte consécutive à une éruption volcanique, l'étroite salle d'audience boisée et feutrée du Tribunal de Vesoul : les portes du ciel se sont comme ouvertes déversant un flot ravageur d'émotions, de sanglots, de cris de douleur étouffés, de hurlements d'indignations couverts par les mots, transperçant tous les témoins du récit de cette tragédie jusqu'au traducteur de japonais, pleurant silencieusement, la gorge nouée et finalement relevé pour une suspension de séance de son harassant effort de dignité !

Seul, dans ce cénacle de désolation, où se jouait à un degré inhumain la révélation de la dévastation d'une famille japonaise, trainant un deuil impossible, dans la morsure acide de l'irréversible et de l'impunité longtemps repoussée, placée sur la sellette rugissante de la foultitude et de la vox populi, mué en statue de sel, frôlant le non-être, diaphane et impénétrable, Nicolas tenait bon à bout de bras l'image sculptée  de son visage indiffèrent, manquant même le tumulte de toute la cour, décidant de son évacuation subite, provoqué par un malaise de la mère de Narumi Kurosaki en poursuivant le filet inoxyable d'une brève réponse au Président, embullé, dévidant comme un automate des réponses convenues, inaccessible à la dimension vivante dans son blindage d'égocentrisme, et finalement emporté dans la certitude de tout l'auditoire de son absence...

Jeudi, c'est-à-dire ce jour même, un moment que j'attendais pour valider les propos que j'ai tenu touchant le fonctionnement de Nicolas Zepeda-contreras, les psychiatres ont fait étalage de leur connaissance affirmée de l'âme humaine, bardés d'expérience et d'arcanes théoriques. Une dialectique psychologue a tenté de chapeauter in fine deux sommités, sans doute, ayant croisé le fer par avocats interposés, sur la véracité du portrait psychique de Nicolas Zepeda-contreras
!

Lequel a finalement dressé sa biographie, sous la pression du Président, d'un ton confident et dégagé, insaisissable et espiègle, élégant comme le tic-tac discret et régulier d'une horloge comtoise, éperdu de son amour du voyage, faisant rappel de sa capacité relationnelle d'écoute pour venir à bout de toute adversité dans le monde concret du travail ( alors que la précision de son opération sur Besançon sur lequel il a fondu s'apparente clairement à une action du Mossad, l'atrocité en plus ) , " manipulant les pions de la socio-culture ", comme dirait l'autre," étendant le champ des possibles à l'infini abstraitement ", mettant de façon sciente et ciselée, une subite dialectique, tombant comme la foudre, entre la mirage rêvé d'une participation sociale accorte dans un ciel sans nuage et sans procès, condamnation et sanction, dépeint avec force fol amour de disciplines artistiques plurielles et déclinées jusque dans sa geôle sordide et brutalement, l'injuste révocation de cette pureté idyllique patiemment admonestée, de cette démonstration amassée d'une atteinte inacceptable à un destin doré,  mais bien inopportunément et indécemment mis à mal, selon lui, par des conditions de détention se jouant qui dans l'isolement qui la rivalité, en proie offerte à la brutalité des gardiens, à l'indigence des moyens humains et du bâti décrits au niveau de la hauteur d'un chef d'entreprise ( objet des études de Nicolas Zepeda-contreras ) et à la moiteur humide sans doute, été comme hiver, d'une promiscuité bassement bestiale parfois !

Comme un script scrupuleusement déroulé, après une théâtrale, à ces rendus édictés sous le sceau d'une réserve pudique pour épargner toute sensibilité devant " l'édifiant " ( sic ) , crise de larmes de l'orateur visé par l'accusation, pétillant la seconde d'avant, Humberto Zepeda-contreras père se levant sous l'indignation, a fait usage de sa geste pour souligner le résultat inadmissible de l'état soudain de son fils comme une fielleuse mise en cause de l'inanité de l'action judiciaire, secondée ( ou precedée, je ne sais plus ) par une inattendue militante des Droits de l'Homme en la personne de Zepeda-contreras mère, fustigeant la France entière dans sa prétention au regard de la matérialité pénitentiaire de son fils, poursuivie dans la foulée d'une invective par un doigt tendu de Humberto Zepeda-contreras en direction de l'avocat général, Etienne Manteaux, du coup brusquement insurgé, après que celui-ci ait rabroué vertement Madame Zepeda-contreras mère sur l'esprit et la lettre de la Déclaration des droits de l'homme protégeant primordialement la VIE, dans la vision de ce dernier !

" Qu'est-ce que c'est que ce doigt tendu ? " a-t-il rugi !

Bref, la seconde semaine s'est terminée dans la confusion, le bougonnement, la macération des rancoeurs envers les officiers judiciaires portant charge de l'accusation par une menace sourde et indistincte, l'irascible agressivité des soutiens consumés et meurtris de l'accusé, repoussanr les journalistes chiliens mêmes, prédisposés et accoutumés à leurs ébruitements-choc des délibérés et leurs recadrages nationalement estampillés de leurs constats sur la réputation de la Justice française ! !  

Le chic des mots, dont on s'était laissé bercé, de Nicolas Zepeda-contreras contre le choc des menaces, voilées et avides de vengeance préméditées, impulsives et dévoyées ! ! Un bien triste exemple éducatif de surcroît et précédés d''antécédents à ce stade, de plus en plus marqués par le syndrome de Stockholm pouvant hypothétiquement peser sur Nicolas Zepeda-contreras et dont l'implicite hypothèse a plané aujourd'hui dans la bouche des spécialistes de la psychologie sur ce père courroucé et, de façon larvée, médisant et démontrant visuellement volonté de vengeance !

Bon, j'avais prévu dans ce post de relativiser les forces en présence, de façon toute critique, en tachant de m'en tenir à hauteur de mélodrame, et de tenter de  les placer à un niveau même symbolique, mais je me suis laissé emporter par l'ardeur d'un discours traduisant la dimension tragique de l'enchainement des causes dans un summum de l'horreur et de la cruauté !

La pesanteur de Nicolas Zepeada-contreras n'était-elle pas à toute force de figer la scène, par un contrôle exacerbé, pour tenter que la légèreté ne soit pas, la contenir, ôter ce qui fait la substance même de la vie, une suite de hasards, menant eux-mêmes à la pesanteur ? Et sa pesanteur n'était-elle pas, au fond, de vouloir échapper à sa propre pesanteur dans un équilibre avec la légèreté que lui apportait Narumi Kurosaki re-actualisant sa propre pesanteur du contrôle ? Sa pesanteur s'alimentant elle-même de son besoin de légèreté de la part de Narumi Kurosaki pour échapper à la pesanteur de supprimer toute légèreté n'a-t-elle pas été cette injonction contradictoire, ce déséquilibre même de rechercher un équilibre par le contrôle, conduisant au point de rupture par son impasse ?

Venons-en au coeur du propos avec les éléments dont nous disposons à ce stade au niveau astrologique ( souvenons-nous qu'il y a encore à valider astrométriquement les types d'excitation/inhibition par exemple, on en était là ), des fois en anticipant un peu ( comme pour la " motricité " d'inhibition du Sagittaire conférant un comportement dit " raffiné " dans un post précédent ).

Citation :

« Le manipulateur qui perd le contrôle sur l’objet de son contrôle, c’est une catastrophe. C’est très dur à supporter. L’autre doit être un esclave. L’autre n’a pas à avoir d’existence. »

est-il rapporté par le journal local à 10h sur ce lien lors de l'audition de l'expert psychiâtre Dr Canterino.

Outre que le PN ( Pervers Narcissique ) soit aujourd'hui un thème archi-rebattu, galvaudé ( ce qui en masque certainement aussi la probable validité sur le plan des théories psychologiques, tout le monde maniant ce terme avec plus ou moins d'à propos et notamment quand ils sont eux-mêmes impliqués dans un conflit ), force est de constater que la littérature du PN se heurte à la définition même de la Réalité et en conséquence de la Vérité, donc des thèmes philosophiques, et force aussi est de constater que tout un chacun, dans la moindre de ses réalisations et contact avec autrui tend à imposer ses définitions et notamment dans les organisations où le rapport vertical est central, les entreprises par simple exemple modeste.

Moi, j'ai pris l'habitude de considérer que l'individu est comme un champ de force qui modèle, voir crée une véritable distorsion de la réalité envers lui-même et son environnement, et c'est tout naturel ! La moindre relation journalistique, le moindre texte est tout entier pris dans un réseau de prismes qu'il a sur le réel et je crois qu'il faut surtout apprendre à les décoder en acceptant ce fait, et rester modeste et finalement calme ! Tout le monde pratique, plus ou moins consciemment, une façon de présenter les choses dans les situations qui l'occupent, et qui plus est, des manuels et plus généralement une certaine socio-culture axée sur le culte de " la performance " et surtout mesurée en valeur d'échange économique y pousse !

Citation :

Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j’y trouverai de quoi le faire pendre.

, maxime attribuée à Richelieu ( , mais il y a discussion là-dessus ). Non, qu'on fasse disserter Nicolas Zepeda-contreras sur ce qu'on voudra et qu'on y observe ses prismes, conscients ou inconscients, il y a les deux en général, à charge au lecteur de les distinguer ! Je crois que la psychologue lui a demandé un exercice de ce genre !

Donc, au final, une forme d'hypocrisie d'accuser quelqu'un de " modeler " le réel, et notamment à un ex-étudiant en administration des entreprises, qui, à tort ou à raison ont institués un langage en somme, auquel elles n'ont même pas le choix de ne pas y souscrire puisque la compétition s'instaure sur ce terrain-là ! C'est un peu comme si vous vouliez écrire un livre en refusant les règles de la syntaxe...

Après, il faut nuancer : si vous avez conscience contre votre propre vérité même d'enfumer l'autre et d'user de subterfuges, ou d'utilisation consciente des faiblesses repérée d'autrui pour des buts d'intérêt personnel nuisant en conscience notoirement à autrui, et que vous êtes prêt envers et contre tout de monter les prix par des représailles, diverses et avariées, alors soit vous êtes PN... ... mais c'est un peu l'écume des jours et un certain prix à payer en société où comme je l'ai dit, d'une part, c'est un peu racine chez l'être et notamment dans un système vertical de dominance !

Où placer le Rhétorique, par exemple, est-on un PN haut de gamme en somme en l'employant ?

Donc, globalement déçu du rapport de ce psychiatre, maniant un concept convenu parce qu'il n'avait rien à se mettre sous la dent au niveau psychiatrique !
Rendons-lui gràce qu'il n'emploie pas le terne " pervers narcissique " mais personnalité manipulatrice avec un abord jouxtant la mythomanie ( affection, elle, psychiatrique ) ...

L'astrologie conditionaliste dira dans ce contexte que le " Pouvoir extensif " P ( grand p ) est très représenté par le hiérarchisation planétaire qui place et en dominante, une Pesanteur particulière donc, qui tend à exercer un pouvoir, donc en somme mesurer l'écart entre l'observé ( les résultats ) et les objectifs recherchés et mettre en place les mesures correctives ( par un pouvoir ) nécessaires en cas d'écart. et sont en bisbille chronique dans son thème, Force d'excitation ( F+ ) pour le second, Force d'inhibition pour le premier ( F- ), Motricité d'excitation pour , Motricité d'inhibition pour   , excitation dépense pour    donc une réponse marsienne pour renforcer les comportements d'autrui, masquée avec pour bloquer des comportements ne concourant pas au résultat recherché... ou l'inverse, peu importe mais ce qui est clair, c'est qu'il met dans l'équation quelque chose de masqué (   ) qui n'est pas forcément en cohérence avec ce que fait le vis-à-vis (   ) , d'où cette impression de manipulation : le sujet en est-il conscient ? Comprend-il qui de   ou de   a remporté l'enjeu ?

est non-dominant donc une certaine étanchéité de Nicolas Zepeda-contréras à son " petit professeur ", ne répondra guère pour mettre en place un correctif à son plan d'action (   ) , Nicolas Zepeda-contreras va peu inventer de solution novatrice ( et quand il voudra le faire sous la commande de ,  n'aura d'autre choix que se dire pour lui-même ; - l'enfer, c'est les autres " ),  son ( enfant adapté victime ) va gonfler son par ces commandes sans cesse réitérées et non-opérantes et les réponses appauvries de   . Ca, c'est un mécanisme psychologique intéressant, parce que en proie à un débordement pourra peut-être aller chercher ( l'enfant adapté rebelle ).

La réponse uranienne est normalement l'apanage d'une commande de   mais   n'a rien pour lui, en force d'inhibition exctinctive en   , dans un trio R décadent, et en chute qui plus est en   , il adresse peu   . Il est notamment conjoint à   , donc une certaine confusion entre les deux fonctions , en fait c'est   qui tient le manche sous la poussée de   ( Calimero... ) qui supplante   .

Cet   qui blesse en plus le sujet par sa position de planète aveugle, Nicolas Zepeda-conreras, en proie à une crise de couple aggravée, mais dans laquelle   déborde, va provoquer un sursaut dans le marasme dans lequel il s'enfonce en septembre 2016 !

Ouuuiiiin, Ouuuiiiin, j'ai franchi les océans ( j'ai tout quitté, j'ai tiré un trait sur mon pays, etc ) pour te retrouver Narumi ( lui demandait-elle ? non, apparemment, l'accusé pointe " un certain nombre de malentendus dûs à la distance " qu'il décide de résoudre en allant la rejoindre et fracasser la distance culturelle, il n'y a aucun sacrifice : c'est pas comme si Narumi lui avait dit qu'elle allait tout planter pour venir s'installer au Chili, et qu'alors Nicolas Zepeda-contreras se " sacrifie " en disant, - non, ne change rien, c'est moi qui fait l'effort ! " ) et Narumi le laisse tomber ( toujours dans cette perspective Ouuuiiiiin, Ouuuiiiinn ) comme une vieille chaussette en se tirant en France et en refusant qu'il vienne la rejoindre !

Je sais pas si Nicolas Zepeda-contreras est manipulateur, il a un couple     qui fonctionne à contretemps certes, mais en tout cas, ce que je sais, c'est qu'il est sourd comme un pot, le gars qui entend ça en tire forcément la conclusion logique : pour un amour réciproque, il faut être deux à aimer l'autre, ni 1, ni 0... ...et il met les voiles ! Ca manque pas de japonaises au Japon...

Ah oui, mais " il l'aime, elle, Narumi ", c'est ce qu'il dit sans sa vidéo menaçante : " Narumi doit apprendre qu'elle ne doit pas se comporter comme ça avec quelqu'un qui l'aime ! et même payer un petit peu pour ce qu'elle a fait  " : Là, c'est très fort ! En effet, l'amour est une sollicitation vénusienne, une commande en somme d'un ensemble de symboles parent donnant, ou parent bienveillant pour solliciter la fonction marsienne, c'est-à-dire, le ressenti, l'implication vitale de son vis-à-vis, et qui va susciter en retour l'affection ( ) donc une forme de désarmement, de bouffée d'expression de reconnaissance et magnifier l'autre ( ) . Mais la de Nicolas Zepeda-contreras est hypersolticiale, déjà qu'elle est en excitation associative, donc un peu quémandeuse, en chute en Sagittaire, elle est dans une forme d'ubris et de monologue, elle exclue les réponses jupiteriennes, donc il prend clairement les vessies pour des lanternes sur le sujet : " Narumi était très fière d'avoir un boyfriend aussi beau " dira-t-il à la psychologue qui l'interrogeait... Toute les photos où il apparait avec Narumi le montre bouffi d'orgueil et en rajoutant dans les preuves photographiques d'une pure idylle démonstrative avec une Narumi où qui suit ou un peu dégoutée par tant de témoignage de tendresse, il la tient comme un trophée, il monologue : il prend sa propre réponse jupiterienne pour celle de narumi. Plus tard, quand elle s'envolera pour la France, ce sera ouuiiiinnn ouuuiiiin nuit et jour, des témoins des amis du couple en ont attesté.

Non, s'il y a réponse jupiterienne de Narumi, ce sera sur une commande de type Ceres, c'est-à-dire la part sombre de , le chantage affectif ( " doit apprendre qu'elle ne doit pas se comporter comme ça avec quelqu'un qui l'aime " ) , oui, parce que c'était un peu son mentor, vous comprenez, Narumi, selon lui et fort de son " expérience ", ne savait pas ce qu'était un couple " patati patata alors qu'il est au fraise avec sa ultra-paradoxale et complètement immature sur un plan affectif ! Doté de plus de gros moyens, le chantage, c'est " tu m'aimes, sinon, tu vas crever la dalle ", ce a quoi justement Narumi a mis fin en cumulant plusieurs emplois avec ses études et en plus en décrochant une bourse...

On pourra objecter , puisque Ceres supplée Venus, que supplée dans son indigence de commande à ... ...Ah, mais là, ça va réalimenter le ouuiiiin ouuuiiinnn au lieu d'y suppléer rien n'est pire que d'aller fouiller dans les petits secrets de son partenaire pour se hérisser d'un monceau de doutes et d'hypothèses , qui si elles doivent être falsifiabilisées débouchent littéralement sur un pourrissement de la relation. En fait et Ceres et se sont donné le mot l'un ( qui charge à son tour ) pour faire du ouuuiiin ouuuiinnn à fond, et l'autre , pour avec déclencher une réaction uranienne !   passe commande à    ( et même payer un petit peu pour ce qu'elle a fait ).

Narumi dira de lui qu'il lui faisait pitié avec ses ouuuuiiiiin ouuuiiiinn, ben oui ! C'est ça le trait dominant de Nicolas Zepeda-contreras, pas la manipulation.   et   par leur discordance étant en opposition dans le thème n'ont jamais pu coopérer, quand    passe une commande à   , il reçoit une réponse ouuiiiiinn ouuiiiiin  ( c'est trop dur ) et quand   passe une commande ouuiiin ouuuiiiin à   , il n'y a pas de réponse, pourquoi elle ne m'aime pas ", gémissait-il après son départ, Nicolas Zepeda-contreras n'entend rien ! Jusqu'à l'explosion     ...

Ce serait difficile de lui faire comprendre qu'il était complètement à coté de la plaque sur un plan d'amour réciproque ( ça rappelle la pique d'Etienne Manteaux s'étonnant d'un "personne ne l'aime, Nicolas Zepeda-contreras ? " au vu du peu de témoin de personnalité en faveur de l'accusé ! En effet, c'est à craindre malgré les tumultueuses démonstrations qu'il reçoit sur une note très Ceres, d'ailleurs :  accuser toute la terre d'un lien brisé ) et que Narumi en avait ras le bol de sa fiole ?

Il apparait à la relecture des minutes du procès réalisées par le live de l'Est Républicain que c'est le psychiatre Dr Coutanceau qui a proposé à Nicolas Zepeda-contreras de réaliser un récit spontané par écrit qui date de septembre 2023. Je ne sais pas s'il s'agit d'un extrait ou d'un résumé, ça me parait court pour être l'intégral, le texte est cité en exergue d'un profilage psychiatrique de l'accusé lors d'une déposition aux assises.

Nicolas Zepeda-contreras a écrit:

« J’ai eu le temps de réfléchir à l’affaire. Le corps n’a pas été retrouvé, je regrette de n’avoir pas aidé l’enquête. Je suis accusé de la mort de la personne, j’ai la certitude que je n’ai pas participé à cette disparition. Le dossier est à charge contre moi, mal fait. Je clame mon innocence, et je réclame la vérité. La prison, ce n’est pas ma place, ce n’est pas juste. Je suis incapable de mener une enquête car je suis incarcéré. »

Le texte est bref,  laconique, il comporte 7 phrases. Il se présente au style indirect libre c'est-à-dire comme la contraction de pensées éparses lors d'une introspection sur

- un état ( j'ai eu le temps ... , je regrette... , j'ai la certitude..., mon innocence..., ma place,  je suis incapable..., ce n'est pas juste ) ,

- des actions ( de reflechir..., aidé l'enquête, je n'ai pas participé..., mal fait, je clame..., je réclame, ...de mener une enquête ) ,

- des situations ( affaire,  le corps,  je suis accusé,..., dossier, à charge contre moi, vérité, la prison, ce n'est pas ma place,  juste, je suis incarcéré )

et des évènements ( ...n'a pas été retrouvé, ...l'enquête, ...la mort de la personne, ...cette disparition ).

" Ce n'est pas ma place " peut s'entendre comme une situation, mais aussi comme un état ressenti , , il en est de même de " ce n'est pas juste " qui peut être à la fois un état ressenti et une situation. Mais " ma place " ferait penser plutôt à un état, et "juste" renvoyant à justice à une situation. L'adjectif " juste"  et l'expression " ce n'est pas ma place " sont les deux seuls cas qui mêlent le personnel "ce n'est pas juste ", " ma place " et l'impersonnel " ce n'est pas ma place ",  " juste " !.

Les éléments d'état et de situations trustent 6  et 9 occurrences ( total éléments passifs = 15 ) si on replace les termes " juste " comme une situation et " ma place " comme un état  tandis que les actions affichent 7 items contre 4 pour les évènements ( total éléments actifs= 11 ), impliquant un blocage de " l'actionnel " dans son ensemble, une stagnation écrasée par le contexte ( total éléments passifs = 15 contre  total éléments actifs= 11 ). Les éléments personnels sont au nombre de 6 + 7 = 13 tout comme les éléments impersonnels sont au nombre de 9 + 4 = 13, mettant à l'équilibre ce qui appartient à Nicolas Zepeda-contreras, le personnel, et ce qui ne lui appartient pas, l'impersonnel . En somme, Nicolas est à hauteur, par ses assises et socle, d'un bras de fer avec ce qui lui est reproché !

On peut qualifier ces 4 catégories les états, les actes, les situations et les événements de signes textuels incorporés au texte au-delà des significations propres des termes qu'elles contiennent. Mais si on voulait qualifier sémantiquement d'un mot d'un seul ces signes textuels en les généralisant par les termes que contiennent ces catégories, on aurait pour les états ; l'impuissance, pour les actions : le confinement, pour les situations : la judiciarisation et pour les événements : l'interrogation !

Aucun sens connoté dans tout le vocabulaire employé, neutre ou tout juste spécialisé ce qui a pour effet d'attester que le texte est de Nicolas Zepeda-contreras même, de façon même un peu excessive et façonné qu'on finit par en douter . A l'exception des deux occurrences appartenant en double qui ont un sens connoté les revoyant dans le champ personnel dans l'expression" ce n'est pas juste " et le champ impersonnel pour " ce n'est pas ma place " quelque peu subliminal, du coup !

Si on tente un tableau croisé de ces 4 catégories, et qu'on le décompose en une somme de deux tableaux rendant compte de leur nombre d'occursences, en ressort la prééminence des éléments de situations, donc du passif impersonnel, la judiciarisation, qui supplante le confinement, l'actif personnel,  lui-même se juchant au-dessus de l'impuissance, les éléments " passif personnel " , ces 3 éléments majorant l'actif impersonnel, l'interrogation ! Comme une sorte de chaine causale mais en nombre d'occurrences : c'est bien léché ! On est là dans les signes textuels; la façon dont le texte rend compte du réel !





On peut tenter de mesurer aussi l'influence des facteur passifs, le contexte de l'action en somme, et des facteurs actionnels indépendamment sur ce qui appartient à Nicolas Zepeda-contreras, le personnel ou ce qu'il ne lui appartient pas, l'impersonnel. En établissant un tableau théorique d'une influence qui serait nulle en faisant le produit des sommes marginales par ligne et colonne, rapportée au nombre total d'occurrences, la différence dans chaque case entre le tableau réel et ce tableau théorique d'absence de lien fait apparaitre le nombre 1,5, c'est-à-dire un écart du nombre d'occurrences par signes textuels retranscrits dans le texte et bouleversant le tableau théorique d'influence nulle pour mener au tableau réel.



Le khi² de Pearson donne alors la probabilité pour que cet écart soit ou non significatif d'une influence d'une colonne sur une ligne ! Dans ce texte, l'actionnel, actes et événements touchant Nicolas Zepeda-contreras n'explique pas avec un khi² calculé de 1,47  d'où avec une probabilité P comprise entre 0,20 et 0,30 de se tromper  l'interrogation qui se pose : à savoir qu'est devenue cette japonaise ? En revanche, avec une probabilité P de 3 chances sur 4 ( P étant à peu près égal à 0,25 ), ce sont l'état de l'accusé et la situation dans laquelle il est placé qui explique la judiciarisation, le dossier de 8000 actes, les renvois, les brouhaha etc Bien sûr, ce résultat est établi en nombre d'occurrences de chacune des catégories et est ce qu'en dit le texte !

Je voulais tenter ce petit exercice, car à la première lecture, ce texte apparait comme lisse et lénifiant, avec un rythme ternaire immédiatement perceptible dans la plupart des propositions toujours repris par un verbe introductif le plus souvent d'un état psychologique, puis d'un verbe traduisant une action pour se terminer par un objet posant l'événementiel. par exemple, dès la phrase introductive, qui se pose comme un pacte d'ailleurs avec le lecteur " J’ai eu le temps de réfléchir à l’affaire.. Je dis que c'est un pacte, car cette phrase tend un piège : au-delà de ses significations, le premier réflèxe est d'acquiescer car on pense aussitôt : ben oui, le gars est en taule, il a le temps, effectivement... ...et on gobe le contenu sémantique ! Sans plus d'esprit critique...évidemment qu'il y pense, nonobstant le facteur temps, il y pense en usant de toutes les armes à sa disposition pour s'en sortir depuis le 5 décembre 2016 au petit matin...

Autre effet de ce tambourinement anodin et scient qui endort un peu le lecteur, soin lui est laissé d'établir les liens logiques entre chaque proposition qu'il fera siens, du coup, par l'absence totale de connecteur entre elles, sauf dans la dernière phrase par un " car " sonnant comme une odieuse obstruction à un acte de foi ( mener l'enquête ) ! On reconnait d'ailleurs là, dans cet acte de foi, l'ubris et le monologue absurde chez Nicolas Zepeda-contreras de la fonction " parent donnant " ou " parent bienveillant " qu'il se propose de tenir dans ces circonstances, mais son intérêt réitéré ( pour tout autre chose que se dégager des griffes de la justice, hein, la grandeur du petit Nicolas ne lui autoriserait pas ce genre de choses ) dans ce final pour l'enquête dans ce propos, est aussi de reboucler sur son regret, c'est plus visible avec les connecteurs, raison même de leur absence ! et de décrire ainsi la cercle vicieux, dont encore une fois, il est la victime... ( ouuuuiinn, ouuuiiiiin )

Ce qu'il faudrait entendre, on y est poussé sauf à vouloir ingérer cette purée, c'est :

" J’ai eu le temps de réfléchir à l’affaire.  Car le corps n’a pas été retrouvé, je regrette donc de n’avoir pas aidé l’enquête. Du coup, Je suis accusé de la mort de la personne, alors que j’ai la certitude que je n’ai pas participé à cette disparition. Mais le dossier est à charge contre moi, mal fait. En revanche, je clame mon innocence, et plus je réclame la vérité. En effet, la prison, ce n’est pas ma place, car ce n’est pas juste. De fait, je suis incapable de mener une enquête car je suis incarcéré. "

Avec ce rebouclage au format " je voudrais bien, mais je peux point " très bonne du curé, on est au bord du renversement des rôles après que les signes textuels aient établi un parfait parallèle quantitatif entre les éléments personnels et impersonnels, c'est très bien joué, surtout qu'avant ce cercle vicieux, la faute originelle de l'action judiciaire est mise en exergue : pas de corps !

Bon, dans cette mise en ordre logique du texte avec ses connecteurs dont la tâche revient au lecteur, les acceptant d'autant plus qu'ils sont implicites et de facto tendent à être partagés sauf à n'y rien comprendre, se distingue le discours la façon d'énoncer en vis-à-vis des arguments présentés l'énoncé, , même s'ils sont plus ou moins branlants...  : même libre de ses mouvements, à condition même qu'il en ait quelque chose à carrer, Nicolas Zepeda-contreras n'aurait aucun moyen d'approcher d'une quelconque distance l'enquête : l'eût-il voulu qu'il aurait sauté dans le premier avion pour y participer dès l'étalage dans la presse du Chili de la disparition d'une étudiante japonaise dont il était épris ! Et aussi pour se disculper frontalement s'il sentait déjà la morsure du soupçon lui pincer les mollets...
Rappelons qu'il a fallu l'exploitation de la téléphonie, le flair de l'enquêteur chassant les lieux de vie d'une cité blottie dans le froid de décembre un dimanche soir,
et l'oeil de physionomiste d'un serveur pour dénicher l'oiseau rare... ...et un radar tronçon impitoyable et insensible aux effluves nacrées et au goût de nectar d'un amoureux transi caressant le doux rêve de retrouvailles célestes... ( oui, parce que j'écris ces lignes-ci lundi soir et que là, on se dit, encore un pas et il épouse une des soeurs de Narumi, par devoir sacré... )

De pensées éparses rassemblées dans un court mémo insipide, on a affaire maintenant à une espèce de machine de combat incriminant la justice allant contre son objet d'une incarcération . Moi, j'avoue que j'ai du mal avec cette présentation des choses et je vais donc m'arrêter là temporairement dans l'analyse textuelle, je perds en effet régulièrement au cours de la rédaction des posts ma neutralité tant est hypnotique ce Nicolas Zepeda-contreras dans sa façon de modeler le réel mais : fondre en catimini avec des moyens disproportionnés sur une cité à  laquelle il n'avait pas part et l'endeuiller dans un de ses fleurons universitaires qui garantissait et avenir et protection à une jeune étudiante ne sera pas avalé " car c'est indigeste " ah ah ah !

Alea jacta est ! Les 5 avocats ont délivré leurs 5 plaidoiries avec chacune son point de vue ! De formidables prises de paroles sûrement, des morceaux de rhétorique dont on n'a que les bribes sans doute, c'est dommage, médiatisées pour moi par le compte-rendu qu'en ont fait l'Est Républicain et France 3 Régions en live, consultés de façon intermittente. Je les relierai d'un bloc pour en apprécier tous les " raffinements ", c'est ma propre strate de norme de lecture car je suis sagittaire aussi ! Et je me suis aperçu d'ailleurs ce jour ou hier que très peu de degrés  ( 3 ° ) séparent mon   de celui de Nicolas Zepeda-contreras ( les cordonniers sont vraiment toujours les plus mal chaussés ).

Au titre des ressemblances, une primo-dominante   moins noire pour moi mais qui donne peut-être aussi ce caractère alambiqué et des phrases de 10 lignes d'écran à la syntaxe enchâssée qu'on m'a de tout temps beaucoup aussi critiquée : comme je l'ai dit,   n'est ni commandable, ni observable et c'est peine perdue de lui demander ce qu'il n'a pas ou de lui refuser ce qu'il a... ...je me ré-aperçois d'ailleurs que Nicolas Zepeda-contreras ET Narumi Kurosaki ont, tous deux un en seconde dominante pile sur le fond du ciel, à 3° pour l'un et moins d'une petite minute d'arc pour Narumi avec un thème du 23 juillet 1995 à Tokyo, 7h23 pour Narumi, heure donnée incidemment lors des audiences par l'une des deux soeurs de Narumi Kurosaki.

Ces deux   en seconde dominante, se sont bousculés, c'est sûr, et nul doute qu'ils soient allés très loin !

Mon   est à 5° de l'ASCendant et c'est peut-être cette ressemblance qui m'a beaucoup interpelé de cette affaire pour tenter par tous les moyens - et par tous les détours improbables - de percer le mystère des mobiles et de leur issue en laissant parler au fil des mots ce   . Les primo-dominantes de Nicolas Zepeda-contreras et de Narumi Kurosaki sont   pour l'un et   pour la seconde ! donnant par synastrie un alliage     , que j'ai traduit un jour en utilisant la tradition du Yi King  ( j'aurai l'occasion d'y revenir ) par l'hexagramme " ce qui s'attache, le feu " , particulièrement vivace voire violent et inflammable, aveuglant par sa lumière et inconditionnel dans sa réactivité, évoquant le passion irrémédiable qui a consumé ce couple !

Au chapitre de mon intérêt pour cette affaire, mis à part sa localisation bisontine, mais qui reste central dans cette sentence

Citation :

fondre en catimini avec des moyens disproportionnés sur une cité à  laquelle il n'avait pas part et l'endeuiller dans un de ses fleurons universitaires qui garantissait et avenir et protection à une jeune étudiante ne sera pas avalé "

,

j'ai moi-même essuyé les affres d'un largage en bonne et due forme... ...à un âge plus tardif, certes, et il faut savoir quelques petites choses là-dessus !

D'abord, c'est très venimeux, mais sans enjeu d'enfant dans le cas observé de Nicolas Zepeda-contreras, stérile de ne pas en prendre son parti, j'avais pris l'habitude de dire que, dans mon cas, si je n'en avais pas eu, mon prononcé aurait été " la porte est au bout du couloir " ! Reste que la question de Narumi Kurosaki enceinte a acquis une certitude qui a droit d'être citée et j'en ai déjà fait état sur le réveil brusque du quintette hyper-T de Nicolas Zepeda-contreras sur son flanc gauche avec   ,    et ! Cette calamiteuse, c'est à craindre, dénonciation pour l'interessé, mais pourtant totalement légitime de Narumi Kurosaki, a certainement joué mais à l'instant t, celui du crime cerné d'indices cruciaux patiemment reconstitués, Narumi ayant souhaité poursuivre ses études et n'en être empêchée ( et fait encore plus cuisant et parallèle, j'ai traversé au souvenir la même mésaventure que Nicolas zepeda-conrteras sans jamais m'en apercevoir quand j'ai évoqué ce possibe mobile ), Narumi Kurosaki et Nicolas Zepeda-contreras n'ont pas ou plus de progéniture en vue !

Le bout du couloir s'imposait donc ! mais avant de vouloir revenir sur le coté venimeux d'une séparation, c'est mon propos, ma réaction à moi, sur un désir d'avortement de mon ex avait été une immense bouffée de compassion et je l'avais pris dans mes bras pour la rassurer sur la souveraineté de son choix ( et pourtant, elle n'en menait pas large et cette peur panique m'avait déchiré ) ! Je dois dire que ce n'était pas l'avis de mon père, qui l'a su je ne sais comment, me fustigeant par la bande débordante d'un implicite de faire une croix sur une évolutive favorable et qui aurait dû être irrévocable dans son opportunité ! Ca rappelle d'ailleurs notre Nicoalas Zepeda-contreras qui ne sait comment annoncer sa rupture d'avec Narumi Kurosaki à sa famille !

Une séparation est venimeuse, oui, mais pas à un age si précoce dans sa détermination et encore moins criminelle, ( ce qui me parait alors indécent, mais c'est vrai que Nicolas Zepeda-contreras a un probleme avec le maintien d'une haute opinion de soi-mêmeme ), semble-t-il d'abord, car la règle, qui elle doit être rigide, c'est une flexibilité, dans la jeunesse, des appariements qui doivent être somme toute testés, ce qui ne garantit pas grand chose au final et au fil des évolutions de chacun des membres d'un couple, mais il faut savoir d'autres choses ; je vais le dire tout de go et froidement, si un     doit pousser à une issue criminelle, c'est une affaire entre hommes et si quelqu'un doit tomber dans l'affaire, c'est le vis-à-vis masculin dans un duel à la loyale à la marge, mais frontal, même si je sais que les duels sont parfaitement proscrits, ce qui détruit d'ailleurs un petit peu le mobile de " mâle dominant blessé "... . C'est vrai que c'est rarement ce qu'on observe et qui amène au fait que le féminicide est une lâcheté sans nom... ...en fait !

En conséquence, et avant de surmonter cette pulsion criminelle, par chance ou par contrôle, et c'est très bien ( mais c'est très dur ), il faut aussi savoir qu'on ne se bat alors pas que contre la perte de contrôle du couple, dans sa dignité même, encore formé par prégnance, mais aussi contre soi-même et je dirais même contre soi-même qu'on soupçonne par prévention pouvant déraper grave ! La lutte pour le maintien du couple, dans la part que l'on s'en attribue, et plus ou moins centrale selon chacun, est derechef une lutte contre soi-même et surtout de sa part potentiellement incontrôlable et inquiétante !

Et là, ou l'on bénéficie ( et j'en ai bénéficié, d'une possibilité de dire, non pas de conseil, mais d'une oreille ) ou, si l'on s'enferme, ou qu'on ne puisse traduire le flot de sentiments brimés dans l'occurrence en mots à flots continus , dans le premier cas, la crise peut être surmontée, ou dans le second, le pire peut advenir. Ce qui me fait dire que si Nicolas Zepeda-contreras a filé le couple Arthur Del Piccolo - Narumi Kurosaki, il avait le devoir d'être dans un contrôle, parvenu à maturité par un soutien, contre son rival ( et on sait qu'il a compulsé son scénario dans la solitude par caractère et formation en internat ), ou alors que cette première option, il ne l'envisageait pas, dans une forme de lâcheté clairement inique, c'est mon avis ( que cette lâcheté est inique ) et du coup de préméditation ! Ouvrant la porte à un règlement de compte intra-muros, sur le fil du rasoir d'une négociation potentiellement éruptive ou glaciale par sa froideur ou les deux dans l'ordre qu'on voudra !

Après, avec un dominant, on ne fait rien sous le coup de l'impulsion, ça, c'est certain, tout est secondaire, tout est soupesé, l'action est secrète et mûrement préparée sinon réfléchie... ...on peut craindre dans cette affaire la parfaite synchronisation avec le scénario de l'avocat général le poursuivant pour assassinat et demandant la perpétuité sans pouvoir recourir à une bousculade qui aurait dégénéré : l'impétrant, sous le joug de , en conscience devait s'il éprouvait ces pulsions se tenir à distance ! Or, il a fait tout le contraire et forcément, plus il s'approchait du but de son voyage, plus il devait être conscient de sa fatale évolutive...

Alors oui,

Citation :

Vous savez qu’il est coupable, vous condamnez.
Vous savez qu’il est innocent, vous acquittez.
Vous ne savez pas, vous acquittez. »

, mais s'il n'était pas dans l'optique de s'en prendre à son rival, il ne devait pas s'approcher, et s'il s'approchait, il devait faire voeu d'une parfaite capacité de contrôle sur lui-même et déplorer par avance la lâcheté d'un féminicide ( mais le mieux, c'est de ne pas s'approcher du bord du gouffre, le temps est un bon médecin ) et pis, s'il faillissait ( ou il faillait, bigre ! ) s'en rendre compte et rendre des comptes séance tenante, rien de tout cela n'a été fait ! Par conséquent la pugnacité et le mordant de l'avocat général, louable, même si le réquisitoire est terrible, est justifié ! Et dans " justifié ", il y a juste, balayant d'un coup, ce texte spontané si élaboré :

Citation :

" J’ai eu le temps de réfléchir à l’affaire.  Car le corps n’a pas été retrouvé, je regrette donc de n’avoir pas aidé l’enquête. Du coup, Je suis accusé de la mort de la personne, alors que j’ai la certitude que je n’ai pas participé à cette disparition. Mais le dossier est à charge contre moi et mal fait. En revanche, je clame mon innocence, et en sus je réclame la vérité. En effet, la prison, ce n’est pas ma place, car ce n’est pas juste. De fait, je suis incapable de mener une enquête car je suis incarcéré. "

Telle est mon opinion !

Citation :

Se taire, pour rester innocent

Nicolas Zepeda le répète sans cesse, il est « pragmatique et cérébral ». Peut-être a-t-il calculé, froidement, qu’il n’avait aucun intérêt comptable à admettre son crime ? Une peine de prison réduite d’une, deux, trois, cinq années, quel intérêt ? Parler, c’est admettre l’assassinat, mais aussi livrer les noirs secrets de la profanation du corps. C'est remettre au monde « sa » Narumi. Le verrou est double.

Se taire, c’est à l’inverse rester pour toujours innocent dans le regard de ses parents. Rester innocent, aussi, dans sa vie d’après, quand il sortira de prison... Car Nicolas Zepeda sortira. Rester innocent enfin pour lui-même. Garder le contrôle. Coûte que coûte.

Cette citation de cet article, faisant affiche d'un mouvement très yang et yin, pragmatique et cérébral, dira Nicolas Zepeda-contreras, au format existentialiste, Ëtre et Néant, sinon platonicien, illustre effectivement les 2 gains que Nicolas Zepeda-contreras tire de son positionnement vis-à-vis de son crime prémédité, l'assassinat de Narumi Kurosaki, citation qui clôt cette folle fuite en avant depuis le 5 décembre 2016 aux heures les plus sombres de la nuit bisontine et s'offre comme la froide conclusion d'une idylle débutée en février 2015 alors à Tsukuba au Japon !  

En terme d'années de prison, il peut s'attendre à voir sa peine de 28 années de réclusion réduite à peu près de moitié soit 15 ans à tirer en gros, en raison des remises de peine automatiques et de bonne conduite, il en a déjà fait plus de 3 depuis le 23 juillet 2020, il lui reste une petite douzaine d'années, pour une sortie mi 2035 à la veille de sa mi-décennie de la quarantaine ! Ces années de jeunesse pour sûr sont longues, et à la veille de ses 45 ans, on est plus tout à fait ce qu'on était à 30 ans, mais bon, il y a encore de beaux restes ! Il sera alors à 20 ans de cette fin d'études au Japon, ne resteront que quelques débris de souvenirs.

Evidemment, entre Tsukuba et un centre pénitentiaire en forme de morceau de béton perdu dans la lande, c'est un peu le passage de la lumière à l'ombre mais il peut trransmuer cette longue détention en quelque chose de bien, un travail spirituel, écrire des romans, apprendre des langues, lire surtout etc... il a largement le temps de faire une thèse en psychologie... ...l'ombre et la lumière sont encore là !

Beaucoup il a été glosé sur la forme particulière d'expression langagière de Nicolas Zepeda-contreras et la valeur de vérité improbable de ses propositions, et il apparaissait, au grand dam' du plus grand nombre, que la logique du tiers exclu n'y était guère représentée, on avait besoin d'un autre cadre... ...il était besoin de le relancer quand le questionneur se voulait bienveillant, tentant de tendre une oreille infaillible sur sa nouvelle réponse qui repoussait encore l'impossible dichotomie du jugement, l'avocat général pestait en ne jurant plus que par questions fermées,

Etienne Manteaux, avocat général, a écrit:

"C'est le moment de tout dire monsieur Zepeda. Vous avez fait six révélations nouvelles durant ce procès. Je vais vous poser des questions très précises car j'ai bien compris qu'avec vous, sur des questions ouvertes, c'est vous qui prenez la main"

Maitre Randall Schwerdorffer, inexpugnable dans son matérialisme, bloqua maint fois Zepeda dans son pré carré, ne parvenant jamais qu'au même inéluctable passif constat d'un choc des contraires épuisant : :

échange entre Me Randall Schwerdorffer et l'accusé a écrit:

Me Randall Schwerdorffer s’engage dans le sprint final, en revenant sur sa question initiale : « On a l’exploitation intégrale du téléphone portable de Narumi avant qu’elle soit morte, après qu’elle soit morte. Pourquoi, à aucun moment, les trois dernières années avant votre extradition, vous n’avez jamais tenté de la contacter d’une façon ou d’une autre ? »

Nicolas Zepeda ne varie pas. « C’est inexact. J’ai essayé de l’appeler par Line ». Dans la procédure, rien ne le prouve. Jamais le Chilien n’en a apporté la moindre preuve.
Nouveau bras fer. « Monsieur, vous êtes un menteur ». « Non ». « C’est le dossier qui le dit ». « Vous avez déjà posé cette question, je vous ai donné ma réponse ».

« Non, je n’ai pas eu de réponse, je n’ai un qu’un mensonge ». La confrontation est virile, mais stérile.

j'y voyais le parasitage de  par , donnée importante de son thème en raison de la valorisation des planètes en cause et leur dure opposition, l'accusé lui-même avoua, donnant indice d'une autre forme de pensée, une pensée " arborescente ".

En effet, la plurisémie du propos de Nicolas Zepeda-contreras invitait effectivement ses interlocuteurs à un choix douloureux et non fondé pour le circonscrire sémantiquement ( c'est tout de même dans un tribunal une élite de la compréhension fondée d'un propos ) car il semblait toujours suavement tendre des perches pour mieux faire glisser son vis-à-vis, d'où un immédiat mouvement de rétention, on avait l'impression de mouvements tactiques propres au jeu de go, invasifs et perdant des deux cotés dans leur réponse, on était irrésistiblement attiré par des réponses floues semblant receler une part de vérité, croyant toujours discerner une lueur dans la nuée ( un peu au format du héros de X-files, haletant, mais toujours égaré dans un épais brouillard dans sa quête ), mais reculant devant la béance de leur irrésolution et l'opacité du non-dit !

S'y ajoutait ce point d'interrogation constant d'un espèce de don de double-vu, interne et externe de l'intéressé, une capacité qui ne s'est jamais démentie à  ne jamais rentrer totalement à l'intérieur de soi par impuissance ou volonté, provoquant un sentiment d'absence et pourtant d'hyper-présence, et jaugeant et de l'extérieur et de l'intérieur, dans une perpétuelle dynamique, où Nicolas Zepeda-contreras restait insaisissable.

Féru d'apprentissage des langues, comme du français où il a conquis un bon niveau C1 en trois ans, brillant pour le journal Le Monde, fluide pour tous les observateurs, épris de langue asiatique sur laquelle il jeta son dévolu, conscient et soucieux de ses différents registres d'expression au point de faire traduire des messages pour dissimuler leur auteur, Nicolas Zepeda-contreras n'a -t-il pas voulu investir aussi leur logique interne, leur philosophie ultime pour absorber comme " une éponge " , confessa-t-il, la pensée y présidant, s'y engloutissant au final croyant parvenir à une langue fondamentale, totalisante et remplissant les fonctions assignées par l'objet de ses études, l'administration et la gestion entrepreneuriale des entreprises, dans un ubris de manipulation rejoignant une orientation de fond de son thème ?

C'est une question ! Une forme de perfectionnisme, soutenu par une intelligence reconnue profonde mais moins probante certes dans une acception étroitement classique, misant tout dans l'échange sur une approche irrévocable mais subtilement dissimulée par une autre logique et toujours déséquilibrant l'adversaire dans un dilemme piégé, une forme de dilemme des prisonniers ressortissant de la théorie de jeux ( objet avéré dans la direction d'entreprises ) ? N'aurait-il pas atteint dans ses études au Japon un degré de compréhension du substrat des langues asiatiques consignées dans un livre fascinant, " le livre des transformations ", promettant une lecture fluide, souple et pouvant perpétuellement évoluer de son rapport au monde et se poursuivre dans une négociation de tous les instants, et un jeu d'adversité toujours en mouvement et toujours remis sur le métier, comme celui du Samouraï, ludique et incisif ?

Ne faudrait-il pas au final convoquer François Julien, décryptant les arcanes de cette pensée, celle du Yi King, dans son livre " figures de l'immanence" ( et tous les autres qu'il a écrits )  ?

Je ne répondrai pas à la question ce soir, car comme Me Randall Schwerdorffer confessant n'avoir jamais vu quelqu'un aux assises mentir avec autant d'aplomb et reconnaissant un procès qui " l'a vidé " selon ses propres termes lors d'une séance de dédicace de son dernier livre " itinéraire d'un avocat hors norme ", je peine et m'épuise à résoudre la véritable énigme Nicolas Zepeda-contréras après l'énigme de la disparition finalement tranchée de Narumi Kurosaki mais je m'amuserai à aborder la courte déclaration spontanée écrite de Nicolas Zepeda-contreras sous cet éclairage très particulier avec l'ambition de valider cette thèse d'un esprit criminel guidé par une autre logique.

On pourra même tenter d'éclaircir cette fameuse phrase d'un hexagramme du Yi King, inintelligible sans son secours...

Citation :

Ciertamente, estoy muy lejos de ser quien me gustaría ser. Pero estoy “No soy un asesino. ¡No soy un asesino! ¡No maté a Narumi!