Nicolas Zepeda-Contreras

Citation :

...deviendrait une jupiter scorpion  et nous aurions donc un jupiter en force d'inhibition

, ai-je dit...

or le lecteur attentif note  :

Citation :

...à 'lautomne, balance , scorpion , sagittaire l'arc diurne en faiblesse, cette fois-ci décroit toujours, donc d'inhibition, et l'arc nocturne est en force, à contrario, d'excitation, car il croît.

Le   alors, F+ ou F- ? force d'excitation ou force d'inhibition ?

On pourrait dire ceci : la F+ ( force d'excitation ) est tellement excessive, mais à la fois disponible, mobile qu'elle peut et donne nettement l'impression  de ( et est utilisée pour ) faire de la F- ( force d'inhibition )

( on reviendra sur cette histoire de mobilité )

Ceci dit, on aimerait bien que dans le ciel, un petit quelquechose confere cette capacité de F+ agissant en direction de la F-, phénomene qui va se retrouver en plus à tous les signes intermédiaires, , , ...

Les , à l"instar des ( ou plutot les constituants de la personnalité situés dans ces zones zodiacales ) vont être soumis à de la F- faite avec de la F+ et les  et soumis à de la F+ faite avec de la F- .

Et c'est là que je me dis que mon détour plus ou moins opportun par l'analemme peut prendre sens :

Il se trouve que la composante (R, voir plus haut ) de l'équation du temps dite " Réduction à l'équateur " a ses min et max justement aux signes d'intersaisons ; Pour le signe du Taureau par exemple, après une periode ( depuis le 21 mars, début ) où le midi meriden du lieu ést en avance croissante sur l'heure civile ( autrement dit, le soleil parvient au plus haut du ciel du jour avant le midi de la montre ), on note au signe du une inflexion qui conduit mi- à une inversion du sens de cette avance, donc à sa diminution : on est d'ailleurs à l'heure où j'écris ces lignes à l'entrée de cette période :



On voit ci-dessus au travers de l'excellent gratuiciel de Olivier Ravet ( http://olravet.fr/ ) cette " avance " du meridien par rapport au jour solaire moyen qui placera le soleil - dans ( la petite boucle de ) l'analemme photographié à heure fixe  -un petit peu à droite ( ci-dessous ).



Dans le diagramme de l'obliquité ( ...de l'influence majoritaire ( ! ) de l'obliquité sur l'équation du temps ), on se trouve actuellement à +11.75 et des poussieres ( le soleil fin début   a déjà operé la moitié de son excursion de 23.5° vers le nord en déclinaison ) et si on considere les choses spatialement ( position du soleil ), on est dans la branche à droite de la boucle du haut...

Si on interprete cette inversion imminente du sens du soleil dans l'analemme ( ou de l'avance du meridien du lieu sur le midi civil si on veut considerer les choses temporellement ), il faut bien dire que le passage du soleil au meridien du lieu signe le milieu de l'arc diurne, mais par rapport à l'heure civile ( qui regle nos activités quotidennes ) ou par rapport aux heures de passages du soleil à  l'ASCendant-DEScendant, l'arc " matinal " du soleil augmente encore en durée au profit de l'arc diurne décroissant  ( autrement dit, l'heure de lever du soleil est un peu plus précoce qu'elle ne devrait du fait d'être au printemps avec des durées diurnes croissantes et l'heure de son coucher un peu moins tardive qu'elle ne devrait du même fait de l'allongement des jours ).

... et ce phénomène en voie d'amenuisement va s'inverser mi:taur:  ! ...avec une re-décroissance horaire ( relative à la croissance que devrait être celle de l'arc diurne sur nos montres ) matitudinale et une croissance horaire vesperale.

Le signe du est donc bien en F+, selon la doxa, c'est-à-dire, en force ( arc diurne dominant ) d'excitation ( croissant ), mais annonce une reprise, dans l'arc journalier du soleil, de l'arc décroissant journalier sur son arc croissant journalier : le point à considerer est le processus d'inversion, qui n'existera pas en par exemple et c'est cette inversion qui peut être sensible à un niveau " reflexologique " dans le ciel vecu !

Vécu reflexologique qui prendrait naissance d'ailleurs plus facilement en rapport aux heures de lever et coucher du soleil qu'en rapport du passage au meridien, quoique... ( ...là se joue peut-être le rapport entre gravité et lumiere dans " l'influence " astrologique ! mais c'est une autre histoire )  

Sous cet angle-là, le signe du Taureau serait celui où la force d'inhibition ( vue d'abord comme un semi-arc decroissant au niveau journalier ) va se rééquilibrer pour pousser vers une force d'excitation decroissante. Il y a une sorte de glissement entre une force d'excitation d'abord motrice vers une force d'inhibition qui le devient, on peut parler au sens large d'une " induction " de la force d'excitation sur la force d'inhibition, donc d'une induction " negative ".

Ouf, c'était pas gagné, hein, mais j'aime bien qu'on voie au moins une piste pour justifier du vocabulaire ou une doctrine !

A citer, cette page avec 2 renvois bas de page successifs vers une étude plus détaillée ou celle-ci

Celui-là ( d'analemme ) est vraiment trés beau...

Je ne suis pas mécontent d'avoir réussi, non sans mal, à trouver une justification plausible à cette inversion des forces d'excitation et d'inhibition aux signes dits intermédiaires, et dont l'inversion est de même sens et / de même. On va pouvoir embrayer sereinement sur les vitesses et "lenteurs" qui, après les forces, sont la deuxieme caracteristique que l'on assigne aux signes dans une perspective conditionaliste.

Nouveau défi, à l'issue incertaine...

Evidemment, si on veut donner une interprétation astrométrique à cette caracteristique vitesse/lenteur, la courbe C ( voir plus haut ) qui traduit l'excentricité de l'orbite de la terre autour du soleil et qui influe sur sa vitesse, titille.



L'excentricité dans le cas de ce .gif est trés exagrerée en c qui concerne la terre, mais ça va nous permettre de placer force et vitesse.

Notons tout de suite que le périhélie de la terre, le point de son orbite où la terre est la plus proche du soleil, a lieu début janvier et donc que la correction concernant la position temporelle du passage du soleil au meridien qu'entraine la variation de vitesse ( de la terre sur son orbite ) n'est pas exactement en phase avec la courbe d'obliquité ( " la Réduction à l'équateur " ).

On voit sur l'animation que la terre s'éloigne au plus loin du soleil ( aphélie ) et que sa vitesse selon une tangente à l'ellipse atteint alors son minimum, cette vitesse passant à son maximum au point opposé de l'ellipse; Entre l'aphélie et le perihélie, la vitesse change dans le sens d'une augmentation, mais cette augmentation est d'abord croissante jusqu'à mi-parcours, l'accéleration ( de la terre donc ) est alors maximum puis décroit jusqu'au périhélie.

De même sur le parcours de la trajectoire de la terre menant du perihélie à l'aphélie, la vitesse est décroissante avec un freinage maximum à mi-parcours qui décroît ensuite : ces deux mouvements,  d'accélération de l'aphélie au perihélie et de décelération du perihélie à l'aphélie etant dûs à l'attraction gravitationnelle du soleil.

Sur la courbe C ( rappelons-la ) ), ce qu'on voit, c'est donc l'accélération autrement dit, la variation de vitesse, de la terre et c'est bien cette variation de vitesse ( de la terre sur son orbite ) qui définit le rattrapage ( ou l'exces ) du plan meridien terrestre ( la terre tournant sur elle-même à vitesse constante ) pour se réaligner avec le soleil et qui donne la composante excentricité de l'analemme.



Oui, ben... ...nada, plutot compliqué de mettre en rapport, à priori, le mouvement keplerien de l'orbite de la terre autour du soleil et un mouvement oscillatoire harmonique qui était plutôt parlant, comme je l'avais esperé...

...après, on peut prendre la primitive de la sinusoïde des forces d'excitation/inhibition, basiquement, mais on est obligé de faire rentrer la croissance/décroissance de leur croissance, pour rendre compte des vitesses et lenteurs,  donc c'est vaguement redondant avec les forces... ... à moins d'exprimer vitesses et lenteurs d'une autre façon, plutot en terme de motricité et synergie, mais il faut que je regarde la validité de rapprocher mouvement harmonique et keplerien avant, bien que le signal soit la lumiere et que ça ne s'impose pas forcément...

je fournis la source de l'étude possible ou non de ce rapprochement, mais ça m'a l'air coton... :

http://materiel-physique.ens-lyon.fr/Logiciels/CD%20N%C2%B0%203%20BUP%20DOC%20V%204.0/Disk%201/TEXTES/1993/07510165.PDF

Je viens de voir que Patrice Guinard sur son site ( http://cura.free.fr/16zodi.html ) botte en touche pour ce qui est de distinguer forces et vitesses ( dans la qualification des energies zodiacales ), mais nous, on est opiniâtre, on va y aller ! !

...et je crois, y ayant reflechi, qu'on peut tirer plus de ces 3 graphiques :




La courbe d'excentricité traduit en effet l'accélération ( de la Terre ) sur le cycle de l'ellipse representant son orbite autour du soleil. Cette accélération est croissante des signes du au signe de la ( en fait, du au c'est la decélération de la terre qui est décroissante après avoir été maximum début  - alors même que sa vitesse décroit encore jusqu'à fin  - pour atteindre 0 ( la décélération donc l'accélération ) à l'aphélie ).




( Ces accélérations ou décélérations et vitesses s'entendent dans un repere " de Frenet ", lié au mobile, c'est-à-dire à la terre et donc en valeur scalaire avec un sens positif lié au sens de déplacement )


Si... ...la croissance de l'accélération se traduit par une excitation et sa décroissance des signes du   aux   par une inhibition, on retombe sur les caracteristiques d'excitation en vitesse ( rapide ou lente selon la doxa ) du   à la   et d'inhibition en vitesse - rapide ou lente de même - pour les quartes automnale et hivernale, donc de la   aux   .

Trés bien, mais quid de la rapidité ou lenteur ?... comment pourraient-elles se justifier qualitativement ?

Je propose d'appeler " Synergiques " les quartes où accélération et vitesse evoluent dans le même sens, c'est-à-dire augmentent ou diminuent ensemble et " Motrices ", les quartes où accélération et vitesse de la terre sur son orbite divergent, l'accélération augmentant alors que la vitesse diminue ( ou inversement ).





Pour la " synergie ", l'analogie est claire puisque l'accélération augmentant, la vitesse ( de la terre sur son orbite, rappelons-le ) qui en dépend directement au sens physique est appelée à continuer de croître; Pour la " motricité ", peut-être faudrait-t-il dire " mobilité " traduisant mieux la différentiation dans les sens d'évolution accélération/vitesse des deux quartes concernées ( printemps et automne, donc ) ... d'un autre coté, ces deux quartes - dites motrices - selon mon invention se terminent par des extremum en Vitesse..., la terre ayant acquis par rapport à son centre attracteur, le soleil, un maximum d'énergie cinétique donc de vitesse au perihélie et à l'aphélie un maximum d'énergie potentielle avec une vitesse minimale...

( dans le cas du mouvement sinusoïdal masse + ressort dans le champ de pesanteur, le terme de motricité était parlant car il correspondait à l'épuisement en somme de l'énergie cinétique du mobile masse et " du chargement " en energie potentielle - de pesanteur ou élastique dans le ressort - et donc l'aspect " moteur " du mobole massique- fournissant de l'energie - transparaissait mieux... )

Un autre site sympa avec plein d'analemmes et des animations graphiques interessantes

Donc, j'ai un net a-priori pour distinguer " vitesse " et " forces " d'excitation ( resp. d'inhibition ) et comme la principale raison des arcs diurnes et nocturnes des planetes est l'obliquité de l'axe des poles terrestres par rapport au plan ecliptique, il était in-fine tentant d'attribuer la caracteristique " vitesse " à la composante excentricité ( qui a quelque chose à voir avec la vitesse, celle de sa variation concernant la terre sur son orbite ) de l'équation du temps et par retour attribuer aussi la composante obliquité de l'équation du temps aux " forces " préalablement définies par les durées d'arc...

On pourrait presque se passer des arcs diurnes et nocturnes du soleil et ne garder que les caracteristiques de modification du jour solaire vrai en termes temporels au travers des deux composantes " excentricité " et " obliquité", " vitesse " et " forces " mises en parallèle si ce n'était que sans les arcs solaires, quelles seraient nos possibilités de " ressentir " le jour solaire vrai ?

Le rapprochement composante " obliquité " de l'équation du temps et " forces " reste à creuser,  d'une part, mais surtout juste avant de répondre à la question précedente, il faut bien se rendre compte qu'il existe nul analemme autre que pour le soleil et qu'en disant par exemple en , avec les définitions reflexologiques que je donne, ça ne veut strictement rien dire...

...seule la trajectoire de la terre et par suite la position du soleil en terme d'équation du temps est affectée par les signes reflexologiques tels que définis ! C'est un constat !

Par contre s'il existait une possibilité pour que nous ressentions les caracterisiques reflexologiques sans les arcs diurnes et nocturnes, il en irait tout autrement. En supposant par exemple, que la rotation de la terre, elle-même lancée sur son orbité ( avec l'inclinaison qui va bien ) donne lieu aux passages aux quatres angles du meridien d'un observateur lambda à son ressenti d'une variation de vitesse, on aurait un signal absolu, un excitant absolu en langage pavlovien, mis en rapport d'ordinaire avec les arcs diurnes et nocturnes solaires !

...arcs diurnes qui donneraient lieu à un conditionnement incontournable et impliquant tout le vivant, et dès lors, les arcs diurnes et nocturnes du signal lumineux des planetes du systeme solaire genereraient par conditionnement ( solaire en l'occurence d'où le titre d'un ouvrage celebre de JP Nicola ) un rappel des signaux absolus concernant la periode de l'année où ils ont semblables lorsqu'ils sont solaires !

Finalement, le zodiaque serait purement terrestre, lié à un ressenti gravitationnel ( à éclaircir ) mis en relation avec des arcs solaires, des durées d'éclairement de jour de façon incidente, le tout par notre condition solaire et déclenchant des reflexes conditionnels en rapport avec les excitants absolus quand sont mises en jeu les durées diurnes/nocturnes du planétaire choisi...

Je vous l'avais dit que ça allait décoiffer sur le zodiaque reflexologique, mais avant de poursuivre, on peut marquer une pause ( sans oublier toutefois les questions qui découlent de ce qui precède ) parce que c'est un peu prise de tête, tout de même...

2 découvertes :
Ca va plomber l'atmosphère, mais j'ai appris que la nuit du 4 au 5 décembre, c'est aussi celle du décès de Mozart, à Vienne, en 1791... https://www.forumopera.com/5-decembre-1791-mozart-passe-de-la-vie-a-la-legende/

On peut se rememorer à cette occasion l'affaire Narumi Kurozaki dans sa triste cruauté ( absurdité ? ) au travers de ces deux videos :

https://fb.watch/kjUfSyELG4/ ...c'est sur facebook !

Et en anglais sous-titré ( c'est possble par reglage, mais qu'en anglais, ce qui soulage déjà pas mal l'effort de traduction )

Pas impossible, tout ça...



Et puis recemment, je faisais le theme astral d'une ancienne professeur d'histoire qui m'a marqué, aujourd'hui decédée, et je cherchais à placer les planetes au mieux dans les maisons, donc à déterminer une heure de naissance pour que le theme colle au mieux à mes souvenirs et je suis tombé sur un ascendant   ce qui donne   comme " maitre d'ascendant " ( selon la tradition la plus tradi ) or ce maitre d'ascendant est en sagittaire, tout comme la de Nicolas Zepeda-Contreras qui serait ( par pure hypothese ) ascendant  : en gros, limité à ce maitre d'ascendant, il pourrait y avoir des similitudes eventuelles de caracteres et je vous propose de vous en donner lecture :

" Vénusien du Sagittaire par ascendant Taureau :

Tempérament :
Caractère puissant et opiniâtre reposant sur le courage, le sens du devoir et la poursuite d'un idéal humain forcené pouvant dériver sur l'intolérance, l'esprit de caste, le manque de souplesse, ou simplement sur une naïveté, un entêtement à conduire sa vie tel qu'on l'entend, le natif n'ayant pas de possibilité de remise en question. Esprit toutefois lucide, soif de connaissance, de la reflexion, attrait du lointain, recherche d'évasion sur le plan spirituel, influence morale d'un des parents bien souvent négative, le natif s'instaurant une conformité par crainte d'illégalité, d'insécurité, etc. . Loyauté, générosité, courage et popularité. Crédibilité et considération.

[ je mets en gras les points déjà rencontrés et cités qui sont en conformité dans ce texte ]

Impact social :
Signature encourageant beaucoup les etudes supérieures, les professions libérales et indépendantes, domaine intellectuel ou scientifique. Régit également les métiers où l'on enseigne, où l'on guérit, calme, sécurise ou protège . Favorise aussi les occupations liées à l'étranger, aux voyages, aux transports, ou aux échanges internationaux. Pour une femme, amour cruel ou impossible. Pour un homme, amour avec une étrangère. Conjoint instable. Ennuis financiers à la maturité, risque de procès. Réussite differée souvent en seconde partie de vie. Avantage considérablement legs et héritages.

Physique :
Pour une femme, déreglements glandulaires fréquents. Pour un homme, sensibilité du foie, du pancréas. Semble favoriser les problemes de taille ou de poids. Hypertension, stress et passages névrotiques. Magnétisme. "

J'ai laissé quelques points en suspend :

Precedemment : " Si... ...la croissance de l'accélération se traduit par une excitation et sa décroissance des signes du  balance aux  poissons par une inhibition "...

Pour les forces d'excitation ( resp d'inhibition ), ( fin de page1 ), une " croissance " ( resp. une décroissance ) de l'arc diurne ( soleil, planete... ) en durée se traduisait par une réponse d' excitation ( resp. d'inhibition ), reflexe absolu  pour le soleil, reflexe conditionnel pour les planetes donc.

Pour les vitesses et " lenteurs " (terme ici nébuleux ) renommées en Motricité et Synergie, une variation de vitesse croissante, autrement dit une accélération ( resp. une variation de vitesse décroissante i-e un freinage ) traduisent sur le plan de l'analemme du soleil un reflexe absolu d'excitation ( resp. un reflexe absolu d' inhibition ), et au plan des planetes dont les arcs croissent ( ou décroissent ) en durée un reflexe conditionnel cette fois-ci d'excitation ( ou d'inihibition ). C'est l'association, par le biais des arcs croissants et décroissants du soleil, aux arcs croissants et décroissants des planetes, qui déclenche les reflexes conditionnels ( induisant des réponses identiques à celles que produit " l'état " solaire - la position du   dans l'analemme selon un plan perpendiculaire à sa déclinaison -  et in-fine pour des raisons de jour solaire vrai terrestre -cf les deux composantes de l'équation du temps - ).

Il y a déjà une cohérence sur le plan de l'association des termes de " croissance " à l'excitation et de la " décroissance " à l'inhibition à la fois pour les " forces " et pour les " vitesses " ( renommée blabla mais dénotant sa variation ).

Les reflexes absolus sont donc positionnés comme une réponse au jour solaire vrai, d'une part, et d'autre part " forces " autant que " vitesse " ( renommée blabla mais dénotant sa variation ) agissent de concert pour forger ce reflexe absolu. Mais comment ça marche ?

Si on disait que c'est la variation de vitesse de la terre sur son orbite qui était ressentie directement, on serait marron pour les " forces ", il faut introduire la vitesse de rotation de la terre dans ce " ressenti "... ...or effectivement, le passage aux angles ( on va dire ASCendant/DEScendant/Milieu du Ciel/Fond du ciel dans une premiere approche ) du meridien du gugus posé sur sa latitude terrestre - rotation que l'on sait rigoureusement constante du fait de l'enorme moment d'inertie de la terre en rotation sur l'axe des poles - impacte de façon quantitativement significative ( et ce pour deux raisons, externe et interne ) une variation de vitesse " ressentie "...

Externe : A une vitesse donnée de la révolution de la terre en orbite autour du soleil ( et qui est la fondamentale de ce que ressentent ses corps à sa surface ), il faut ajouter ( ou retrancher ) la vitesse de rotation tangentielle terrestre concernant un corps placé à sa surface à une latitude donnée tantot s'ajoutant à la vitesse orbitale ( ou se retranchant ) sur une periode de rotation de la terre sur elle-même avec des extremum variables selon quoi, eh bien, selon le jour solaire vrai...

Pourquoi ces extrema ( si on veut respecter la déclinaison latine ) sont-ils importants : eh bien parce que ce n'est pas la vitesse qui est ressentie par un corps terrestre, mais sa variation : classiquement, mis à part d'eventuelles  et de plus en plus tenues vibrations, dans un train en translation ( rectiligne uniforme blabla ) , on ne ressent pas la vitesse, puisque notre " quantité de mouvement " alors est constante, ce qu'on ressent par contre drastiquement, c'est la moindre de ses variations à cette vitesse ( accélération ou décélération ); si le train freine, on dit qu'on doit lutter contre une " force d'inertie " qui n'est autre que la quantité de mouvement  acquise qui varie ou autrement dit une décélération du train qui se tranmet par nos appuis à notre masse et que l'on doit alors compenser ( en se cramponant, en se flechissant, en rétablissant l'équilibre par des mouvements internes au corps, en se contractant... ah tiens, l'inhibition... ).

Interne : Avant de dire que ces extrema dépendent du jour solaire vrai, donc des composantes excentricité ( " vitesse " ) et obliquité du " vehicule " terrestre en rotation rigoureusement constante sur lui-même, question : peut-on nier dans l'évolution humaine l'importance primordiale et même primale de ces reflexes compensatoires pour l'équilibre dans la motricité du corps et de l' adaptation hyper-fine de l'organisme aux moindres variations d'équilibre dans cette motricité ?

En prenant le premier site venu, voici l'état de l'art de l'adaptation de notre organisme à la fois aux contraintes externes et au but assigné, l'équilibre dans la motricité : https://www.hear-it.org/fr/l-oreille-interne-1

Le substrat, le reflexe absolu que constituent les composantes excentricité et obliquité de l'analemme jouant sur le jour solaire vrai détermine notre ressenti en terme d'accélération ( ou décélération ) due à la rotation de la terre sur elle-même ( en tangentiel et linéaire à une latitude terrestre donnée ) relativement à la fondamentale  de vitesse qui est celle de sa vitesse à ce moment-là sur son orbite...

...et quantitativement, ce n'est pas rien ! ( on y viendra )

La vitesse d'un point de la surface terrestre ( celui ou ceux qu'on occupe par exemple ) est plus basse du lever du jour à la tombée de la nuit et plus haute de la tombée de la nuit au petit matin ( vitesse = vitesse orbitale autour du soleil +/- vitesse " surfacique ", donc vitesse linéaire tangentielle d'un corps à sa surface )  et pour ce qui est de l'accélération/décélération, cette vitesse décroit du passage du soleil au fond du ciel pour faire court au milieu du ciel pour faire encore plus court et croit de même du passage du soleil au meridien du lieu de nos corps à l'antémeridien...

...je ne voudrais pas détricoter le " signal astrologique " en seulement un post, mais la modulation d' accélération avec pour porteuse la rotation terrestre induite par la durée du jour solaire vrai ( une modulation de phase, donc ) me parait une piste sérieuse au regard de notre constitution corporelle. ( et puis, je ne voudrais pas non plus avoir immédiatement tous les rationalistes sur le dos si je valide quantitativement mes dires et hypothèses, non plus ! Ce que je ferai néanmoins )

" Le rapprochement composante " obliquité " de l'équation du temps et " forces " reste à creuser "  a été mis en suspend...

Après ce qui vient d'être dit, la composante obliquité influant majoritairement sur la durée du jour solaire vrai, qui module notre ressenti  accélération/décéleration sur la periode d'une rotation terrestre la fait rentrer de plein droit dans le signal astrologique lié au zodiaque !

Après, on pourrait s'interroger sur le choix du vocable " force "  ! et au regard de celui de " vitesse " pour caracteriser les signes zodiacaux sous leur angle reflexologique.

A priori, c'est plutot une question litteraire, mais la forme renseigne néanmoins sur le fond, donc interrogeons-nous !

Tout tient, dans le signal zodiacal, finalement à une rotation de la terre dans son plan équatorial envoyée sur une trajectoire ellipsoïdale à force centrale ( conservative blabla ) dans le plan ecliptique, l'angle de ces deux plans étant justement l'obliquité. Donc, que l'obliquité soit dite " force " en cela qu'à contrario, l'excentricité soit due à la trajectoire de la révolution de la terre autour du soleil en forme d'ellipse et aussi à vitesse variable du fait de la force centrale ( à l'intérieur de l'ellipse ) exercée par l'attracteur,  variable en 1/r²  ne me gene pas.

A contrario du contrario, au sens disons allégorique, l'obliquité est une force pour le signal astrologique.    

Imaginons que l'obliquité soit nulle : on en aurait pas moins l'excentricité, mais pas de relais de reflexe conditionnel puisque la déclinaison du soleil n'existerait pas, et une influence planétaire mise à mal...

Imaginons que cette obliquité soit d'un angle de 90° ( axe des poles terrestres sur l'écliptique ), donc là, pas de variation en durée du jour solaire vrai, pas de modulation de frequence ( j'ai dit phase, tout à l'heure ?... ...non c'est " modulation de fréquence ", scuzi' ) , mais une modulation d'accélération en amplitude ( ça, je crois que ça va nous amener aux " phases " du zodiaque reflexologique... ...mais avant on va jouer un peu avec ce qu'on en sait déjà )... ...avec des arcs diurnes, donc un reflexe conditionnel, variants de 0 à 24h oui, ça pourrait le faire, bien que les signes zodiacaux fussent ( devinssent ) alors trés tranchés... ...bon, on va pas faire d'ingenierie planétaire... ( par contre, il faut que je révise mes subjonctif... )

Ok, donc, sur le plan du signal astrologique, l'obliquité est une force au sens littéraire, mais détermine ( surtout ? ) aussi l'existence d'un signal conditionnel ( les durées d'arcs ) réinvestissable sur le planétaire.

Mais ce qui me gene, c'est le rapport de dérivation qui existe entre " force " et " vitesse " et que je peine à integrer, sans jeu de mot, quant à la dénomination de " force " pour l'obliquité... ... en fait, c'est ça le fond de ma question ! De plus , " excentricité " assimilée à la vitesse de reflexes conditionnels et " obliquité " à leur force s'ajoutent, hein, pour fabriquer le jour solaire vrai et ne sont pas dans un rapport de dérivation...

Bon j'ai laissé reposer cette question et je crois que j'ai trouvé la réponse...

...et je vous livre cette réponse en vous posant une question ( ça devient compliqué, là, non ? ) façon " quelle est la couleur du cheval blanc d'henri IV ? " ( ah ben, non, ça va être simple )  : combien de fois la terre fait-elle de rotations sur elle-même au cours d'une année, c'est-à-dire dans la periode de temps de sa révolution ?

( je précise qu'on néglige la giration inverse du géoïde, j'adore ce terme qui pose son pédant - la terre en langage courant - c'est-à-dire la precession des équinoxes )

Combien alors ?  Autant qu'il y a de jours dans une année ? Ca semblerait logique... donc 365.25 déduction faite des années bissextiles ?

Perdu... ( ou gagné le cas échéant )

Non, le nombre exact de rotations de la terre au cours de sa révolution est de 366.25, car ayant fait une révolution entiere, eh bien la terre, notre bonne vieille terre, combien déja ?, 4,3 milliards d'année, ( tiens, c'est pas bizarre ça, de mesurer l'age de la terre avec elle-même comme instrument de mesure ? Bon, on va pas pinailler, je m'égare... Ca fait un peu l'affreux probleme de zero dans la question " en quelle année est né le Christ ? ", mais je continue à m'égarer)... oui, donc, notre bonne vieille terre, ayant fait une révolution entière autour du soleil a fait aussi sur elle-même un tour de plus et donc 365.25 + 1 tour sur elle-même...

Voilà la clef, comme on dit dans les problemes d'echec ( le jeu )  ! Enfin, j'espere...

En fait, la question est double :

pourquoi JP Nicola, qui a mis en rapport le zodiaque et la théorie des reflexes pavloviens ( qui ne l'étaient pss encore ) a employer le terme de " force " affreusement redondants avec ceux de " vitesse " au point que Patrice Guinard ait botté en touche ? ( et ne se serait-il pas planté en associant mouvement keplerien et mouvement harmonique - parce que en harmonique, je vous la fais en un post l'explication du syntagme " force " )

Et pourquoi j'associe - et que je doive me justifier vis-à-vis de moi-même- composante " obliquité " de l'analemme solaire et force ?

Citation :

Voilà la clef, comme on dit dans les problemes d'echec ( le jeu )  ! Enfin, j'espere...

Que voilà un rapport pédagogique deletère ! Le gars dit - j'ai la clef, on s'apprête à trouver un appui salvateur sur sa vision et qu'est-ce qu'il vous dit ? il dit - enfin, j'espere... : il vous tend une chaise pour vous asseoir et la dérobe aussitôt...

Non, la doxa en la matière, c'est d'affirmer au plus haut sa certitude, irrévocable, inoxydable, il faut lever le menton et assener, menacer sourdement pour ceux qui auraient la comprenotte trop lente ou retorse, en un mot, il faut en imposer... ...écraser, sortir la grosse machine à la romaine, claquer du talon, tancer, quite à envoyer tout le monde dans le mur, après nous le déluge !, le rendement à court terme comptant seul...

Non, moi, je tatonne, je tends la perche aux embruns du doute, je ne cherche pas à imposer une vérité en béton armé, je n'endosse pas les habits du moine, je tente de justifier, attitude pédagogique prudente laissant un libre choix, mais le plus souvent ravagée par les affranchis que je crée, soudainement perdus mais vengeurs pour avoir le plus souvent été traités à la dure, méfiants ( - comment, on pourrait être libre ? " ) ou trouvant l'occasion de leur revanche, et qui vont se rallier, par dépit de se trouver seul face à eux-mêmes, à ceux qui décrieront - engoncés qu'ils sont dans leur interêts ( de classe ? ) - le félon, le briseur de domination, le petit bras, celui qui ne " merite " surement pas être de leur " ordre ", celui à qui lui confier quelque chose serait " donner de la confiture aux cochons "...

Les premiers me rappellent cette chanson de Graeme Allwright :



Alors, c'est surement dû dans mon cas à un     en maison VII, sérieusement affligé d'un carré à  une   en III et en opposition à     en I :

Ma belle primo-dominante, promise au meilleure avenir, devrait s'exprimer en   en Force d'inhibition, Synergie d'excitation si elle avait sa place de façon adaptée, c'est-à-dire déployer sa fonction planétaire de perception du " voile caché ", de sensibilité aux signaux fins, à l'invisible se nourrissant de marquer son territoire, en rejetant l'imposture, combativement face aux empecheurs d'être soi ( Force d'inhibition ) et constructivement, patiemment, batir des edifices intellectuels ( Synergie d'excitation ) mettant à jour la complexité, la cohérence cachée des choses, l'insondable de nos destins croisés et ce en VII, de façon émancipée et relationnellement ouverte...

Déjà, on sent que la fonction plutonienne, representante du flou impeccable, de la réponse au moins secondaire, décalée, inclassable voire marginale peinera à puiser en une logique, un destin millimetré, une carrière coherente dans la durée, l'energie de la   est " naturellement " en bisbille avec   qui, plus souvent qu'à son tour enverra tout bouler, provoquera des ruptures irrémédiables ( F- ) corsées de sinistres abandons en rase campagne, en freinant des 4 fers, en renoncant à tout, au besoin par une politique de terre brulée et en cramant tous ses vaisseaux... ...Guinard met d'ailleurs en exil en  !

Il y trouvera plus facilement une energie à sa demesure en faiblesse d'excitation en étant hermetiquement étanche, donnant le change, s'accomodant d'expédients, fuyant pour se proteger, semblant s'accomoder du pire, du sordide, de l'impasse et j'm'en foutiste jusqu'au bout de tous les renoncements et des pires trahisons à soi. En motricité d'inhibition instable ( nouveau terme plutot qu' "inadapté " ), la compromission, le faux-terrain d'entente, le pacte relationnel biaisé, la planche pourrie faisant salacement un plaisir masochiste au funanbule, la main tendue même pleine de venin au besoin, le déni absolue du déni de sa déloyauté fondamentale seront toujours les dentellières de tous ses rendez-vous manqués...

Dit-on, un carré peut s'amadouer, se fluidifier, s'organiser en duo alternatifs, mais cette carrée ( en chute en selon Guinard ) ne peut, las, qu'attiser les chateaux de cartes, les pretentions de soulevages de montagnes en carton-pâte... est le bras armé de nos participations, de l'implication, de l'engagement, La F+V- qui l'alimente lui donne les moyens d'être un modele de chateaux en espagne irréalisables, d'errements sans fin, d'illusions congénitales car c'est plus surement la faiblesse d'inhibition et la synergie d'excitation instable qui nourriront en trompe l'oeil des plans fumeux de portage à autrui, une vacuité confinant au non-être, et un cruel manque de tenue, de concentration et de volontarisme...

...Lacombe Lucien même ne serait pas loin si , l'idéaliste en soif d'absolu juqu'au viol en opposition avait la moindre chance de retourner la situation, fermant, qu'il soit adapté ( Force d'inhibition, Synergie d'inhibition ) ou inadapté ( faiblesse d'excitation, motricité d'excitation instable ) toute porte de sortie à la définition même d'une excellence !

Donc, voilà, avant de passer à la suite, je voulais faire du noir, je note d'ailleurs que c'est le clan des dans les exemples concrets déjà cités, Nicolas Zepeda-Contreras, ma prof d'histoire et moi... ...et donner un exemple de confrontation aux energies zodiacales conditionaliste sans pudeur et avec toute la froideur patentée quand une fois regardée en face d'un plutonien !

L'astrologie conditionaliste n'est pas guimauve et même si j'ai forcé le trait pour l'affirmer, on voit qu'elle ne se dérobe pas !

La dualité immanente aux interprétations en forces et faiblesse, d'excitation ou d'inhibition, permet d'élargir - froidement - peut-on dire la pallette des possibles et le choix est laissé à celui qui interprête de placer le curseur selon sa sensibilité, sa volonté de déminer ou d'ouvrir des champs du possible pour orienter vers un avenir meilleur, eviter le pire si besoin ( et c'est peut-être moins rare ) et à travers la dynamique du thème ( de l'action conjointe des planètes ) de trouver un équilibre global satisfaisant, c'est-à-dire à la fois stable et remplissant le champ des besoins visés.

C'est certainement un savoir qui aurait été utile, en temps utile, à Nicolas Zepeda-Contreras pour mettre le doigt sur des faiblesses latentes ou même simplement tester ou placer des contre-feu à temps au regard de risques potentiels d'implosion. Gouverner, au sens cybernétique, même si le terme est tombé en désuetude, c'est prévoir et le role de l'astrologue, c'est justement d'embrasser le champ des possibles, de faire des choix les plus justes possibles en termes de bénéfice/risques - terme devenu à la mode - et de trouver un point d'équilibre stable, serein et efficace.

Et c'est parce qu'elle n'est pas guimauve et qu'elle ne se dérobe pas qu'elle est trés peu estimée, étant jugée froide, sans transcendance tirée du chapeau, appuyant là où ça fait mal plutôt que flatter le consultant en lui racontant un conte de fée, ce qui n'exclut ni la pédagogie, ni la stratégie ou le tact par sa souplesse et surtout son niveau extremement elevé de généralisation.

Il nous restera à voir, après le couple Forces/Vitesses les ramifications des energies zodiacales en termes de phases, elles-mêmes adaptées ou inadaptées et en termes de types d'énergie d'excitation ou d'inhibition, qu'on peut encore affiner et enrichir l'interpretation des alimentations dont se nourrissent les planetes. Je renvoie au document de reference en la matière http://www.astroariana.com/Le-zodiaque-reflexologique-humain.html#des-reflexes-pavloviens-zodiaque-reflexologique-3 pour une explication concise et au plus synthétique de ce champ de connaissance !

Mon exposé reprend l'essentiel des définitions de ce document mais je les détache en fait des critiques de typologie qui peuvent leur être faites ( à tort selon R Pellard qui renvoie à la scientificité de leur origine et au caractere seulement second de leur généralisation en typologie ) et je leur redonne la dimension astrométrique qui leur revient en faisant intervenir la gravité d'une part en redonnant au conditionnement solaire sa place centrale en tant qu'excitant absolu et en placant le reste des planetes sur un plan second - conditionnel - dépendant du premier. Au prix d'une complexité peut-être un peu plus grande toute proportion gardée et qui a aussi deux conséquences :

- une dépendance moindre aux zodiaques reflexologiques locaux puisque les composantes obliquité/excentricité sont indépendantes de la déclinaison selon la latitude ( déjà qu'on peine à domifier aux poles, un zodiaque au dessus de l'arc polaire inexistant fait non seulement tache, mais en plus alimente l'hostilité des thuriféraires des influences étoilées situées aux confins de l'univers... ...sur lesquelles ils assoient parfois leur gout immoderé et leur recyclage ad nauseam de thèses éculées au travers de leur extrémisme complotiste... ...et ça compte aussi pour moi ! )

- La seconde conséquence est de constamment renforcer l'excitant conditionnel solaire non seulement pour sa place premiere et indispensable pour tout le vivant, mais aussi en tant qu'unique producteur de lumiere si on exclut les confins étoilés ( voir supra ) et d'éviter de sortir Laborit du chapeau pour expliquer un zodiaque subrepticement noologique pour l'occasion qui détruit tout l'édifice à mon sens ( et qui m'a toujours choqué dans le document précité ). On evite aussi la multiplication des zodiaques selon des durées d'arc propres de planetes en raison de leur inclinaison sur l'écliptiques pour certaines d'entre elles qui mettait un dernier clou dans le cerceuil !

Pour le moment, j'essaie d'asseoir une interprétation du couple Forces/Vitesse sur le plan astrométrique de façon à enraciner et à donner de l'épaisseur à ces notions et hypothétiquement les mettre en rapport l'une avec l'autre.

Citation :

je peine à integrer, sans jeu de mot, quant à la dénomination de " force " pour l'obliquité... ... en fait, c'est ça le fond de ma question !

Citation :

En fait, la question est double :

pourquoi JP Nicola, qui a mis en rapport le zodiaque et la théorie des reflexes pavloviens ( qui ne l'étaient pss encore ) a employer le terme de " force " affreusement redondants avec ceux de " vitesse " au point que Patrice Guinard ait botté en touche ? ( et ne se serait-il pas planté en associant mouvement keplerien et mouvement harmonique - parce que en harmonique, je vous la fais en un post l'explication du syntagme " force " )

Et pourquoi j'associe - et que je doive me justifier vis-à-vis de moi-même- composante " obliquité " de l'analemme solaire et force ?

Alors, cette clé ?

Je rappelle que j'ai associé la composante excentricité de l'analemme à la Vitesse des reflexes d'excitation/inhibition pavlovo-conditionaliste et qu'il s'agit de relier la Force de ces mêmes réflexes à sa composante obliquité...

schéma 1  :



Cette ellipse traduit la course de la terre en orbite autour du soleil et l'évolution des parametres vitesse et accélération successivement depuis l'équinoxe de printemps, donc à 0° .

Cette courbe est importante car on va considerer dans le shéma qui suit les mêmes vitesse et accélération d'un point à la surface de la terre en n'en déduisant que leur composante selon la direction du déplacement de la terre : on dira qu'on observe le resultat de ces deux parametres vitesse/accélération dans un referentiel lié à la trajectoire de la terre, donc à une seule dimension, pour un point en surface de la terre en parametrisant ( mentalement car le schéma fera aussi état des vitesses/accélérations en termes de vecteurs ) ces vitesse et accélération selon le temps.

Schéma 2 :



En orange, on a donc la vitesse " linéaire " ( entre guillemêts car on est sur une ellipse orbitale ) d'un point à la surface de la Terre et l'accélération ressentie ( comme dit dans les posts précedents ). A noter une nuance qu'on va aborder plus tard mais qui n'impacte pas le raisonnement, la rotation de la terre se faisant dans le plan équatorial, on devra introduire la projection du cercle représenté en vert sur le plan de l'écliptique ( sur le plan qui contient le vecteur vitesse orbitale Terre ) déphasé de 23.5° comme on le sait, et en toute rigueur, le cercle vert sera une ellipse.

Sur la premiere quarte de la révolution de la Terre autour du soleil ( schéma 1 ), de 0° puisqu'on est au moment de l'équinoxe de printemps à fin ( jusqu'au soltice d'été, schéma 1 ),le soleil va parcourir la quarte 1 ( schéma 2 ). Notons aussi que le vecteur vitesse orbitale Terre fait de même . Et bien sûr les extrema en vitesse et accélération : en somme le referentiel fait un tour complet dans le sens horaire au cours de l'année, et comme les points de la surface de la Terre tourne dans le sens anti-horaire, un tour de plus est réalisé au cours de l'année par la Terre. C'est l'âme de l'analemme en obliquité ! ( Souvenons-nous ,néanmoins que la rotation de la terre se fait dans le plan équatorial alors que la trajectoire Terre se fait dans un plan écliptique contenant Terre, Soleil et vecteur vitesse orbitale Terre. )

A référentiel rotation de la Terre fixe ( schéma 3 ), il faut ajouter à chaque tour du geoïde un delta angle rendu variable ( et uniquement, le soleil ne retrogradant jamais sur le fond étoilé ) in fine par la composante obliquité. C'est comme si la rotation à vitesse constante d'un tour de la Terre se poursuivait et se terminait un peu plus loin. On peut donc projeter le zodiaque sur le cercle de rotation de la Terre et ensuite déterminer la valeur de ce delta angle dans les signes

schéma 3 :



Sur la quarte 4, lorsque notre point fictif se déplace jusqu'à fin    l'accélération est croissante partant de 0 ( il suffit de regarder la projection sur l'axe de la vitesse orbitale Terre des vecteurs rouges ) donc en dominance croissante, on parle de F+ car effectivement, la Force, ici d'excitation car croissante n'est que la traduction de l'accélération sur une masse ( notre corps ).

( avertissement :  Posons qu'on annule ici en la rendant mentalement constante la vitesse orbitale Terre variable pour observer independamment la composante obliquité )
Au même moment, la vitesse constante de la rotation de la Terre mais dans le plan équatorial fait décrire, à un plan meridien de la Terre et sur le plan équatorial, pour des degrés constants sur le plan de l'écliptique, des intervalles ( temporels ) successivement passants par leur valeur d'extremum à 0°   décroissants de 0  à 45° du parcours pour atteindre une valeur nulle mi- , puis croissants jusqu'à un autre extremum fin   : donc le midi meridien subit une avance journalière mais de moins en moins entre début   et mi-  et le soleil analemmique sera décalé vers le couchant ( cf cartographié sur l'un des 3 diagrammes " obliquité " à heure fixe ), proportionnellement, puis à mi- le meridien du lieu reviendra en arrière sous le coup de la croissance  des intervalles projetés sur l"équatoriale se poursuivant jusqu'à un maximum fin  , le soleil croisera alors le meridien de moins en moins loin temporellement du midi de la montre , le midi meridien subissant une avance décroissante jusqu'à 0, ramenant finalement le soleil vers la position mediane de l'analemme fin   .

Donc retenons le lien entre accélération ressentie et midi solaire vrai/analemme...

Sur la quarte 3 ( schéma 3 ), l'accélération dominante est décroissante, le soleil parcourt alors la quarte 2 ( schéma 2 ), les projetés des intervalles egaux de l'écliptique sur l'équatoriale vont être les symetriques de ce qui s'est passé lors de la quarte 4, d'abord maximum debut , ils vont tendre vers 0 mi- pour retrouver un minimum fin   .

On peut généraliser pour les autres quartes en montrant le résultat sur un graphique tout en tentant d'interpreter le phénomène sous-jacent à ces avances/retards en obliquité.

schéma 4



Je n'ai jamais fait de trigonométrie sur une sphere, mais je crois qu'ici, en se servant des infinitesimaux pour s'en abstraire ( de la sphère ) d'une part et d'autre part en faisant une approximation sur la courbe qu'y décrit l'eccliptique, il faut sortir ici les équations pour éclaircir l'action de l'obliquité...

Le probleme est le suivant : il faut comparer des intervalles egaux ( spatiaux ), de petits déplacements, de petits segments, autrement dit des infinitésimaux à la surface d'une sphère selon un cercle incliné à 23.5° par rapport au plan équatorial ( donc sur le cercle ecliptique ) aux mêmes segments obtenus dans des intervalles de temps égaux sur l'équateur au cours de la rotation constante terrestre.

Dabord, le tracé de l'écliptique a été assimilé à une courbe sinusoïdale f(x)=23.5°sin(x), c'est la courbe verte. En toute rigueur, il faudrait faire de la trigonométrie sphérique. Ensuite pour apprécier quels intervalles ( spatiaux ) on obtient sur l'équatoriale pour des intervalles constants sur l'écliptique et les plus petits possibles ( pour pouvoir utiliser la trigo euclidienne ), on approxime la courbe verte par des petits triangles rectangles dont l'hypothénuse dh tangente cette courbe sur l'équatoriale obtenue et a pour pente celle de la courbe verte en sinus, donc un cosinus,, sa derivée r(x)=23.5°cos(x) ( courbe orange ).

Dans un triangle rectangle  , on a cos ( pente hypothénuse ) = coté adjacent ( dx ) / dh (hypothénuse )  

pente hypothénuse = 23.5°cos x donc


mais le dx est à une certaine latitude équatoriale variable de la courbe verte puisqu'il est placé juste sous la courbe. On sait que sur l'équateur, du fait de la sphéricité de la terre, ce dx prendra une valeur plus ou moins amplifiée en raison de la valeur de la courbe en sinus ( dit autrement, la vitesse tangentielle ou la circonference de la terre varie en latitude à sa surface, elle est toujours plus grande à l'équateur ). La proportion entre dx et sa valeur projetée sur l'équatoriale est donc déja de 1 auquel s'ajoute le grandissement 1 - cos(23.5°sin(x)) : [ début , sin(x) = 0, cos( 0 ) = 1, 1 -1 = 0, le grandissement entre dx et  dx-sur-l'équatoriale est simplement de 1, la base dx du triangle étant posée sur l'équateur ; fin   le grandissement 1 - cos( 23.5°sin( pi/2 )) = 1 - cos(23.5° * 1) = 1 - 0.917 = 0.083 auquel il faut ajouter 1 ]


en rouge, le grandissement
en bleu, le dx

Finalement, la quarte 3 est la symetrique de la quarte 4, et la periode de la courbe dx/dh c'est-à-dire celle de croissance de l'avance ou du retard du jour solaire vrai sur la montre, étant moitié de celle de l'eccliptique, il y a aussi une symetrie sur la demi-année, donc des quartes 4/3 et 2/1.

Bon, concernant la courbe bleu, on voit début    ( p a des valeurs négatives par rapport a sa moyenne que j'ai ajustée à l'écliptique en hauteur pour 45° ) des intervalle dh - qu'on peut traduire aussi en temporel - négatifs  mais décroissants en valeur absolue ( croissance positive donc ), le dx est négatif, mais tend vers 0, c'est-à-dire qu'il produit des intervalles d'avance en durée du midi solaire décroissants jusqu'à 0 mi-  : le jour solaire vrai déja plus court que le jour sideral s'achemine vers son maximum à mi- où il sera au plus court que le jour sideral de 24h puis des dx devenant positifs chaque jour diminuant l'avance du midi solaire et croissent vers leur maximum jusqu'à fin   au moment, 21 juin, où le soleil se réaligne avec le midi solaire...

Bon, la courbe des dx /dh à l'air juste, on peut pour s'en convaincre l'integrer, ce qui la déphase de +pi/4 (vu que sa periode n'est que de pi ), donc des jours solaires vrais de début- à fin   plus longs que le jour sidéral ( quand on fait la photo de l'analemme à midi montre, le soleil est encore sur le levant et ne croisera le meridien qu'un peu plus tard ) , vrai !, des jours solaires vrais plus courts de début   à fin   que les jours sideraux, des jours solaires vrais plus longs de début à fin    et des jours solaires plus courts par rapport au jours sideraux de début   à fin   , et c'est gagné... ...cette courbe est la vrai courbe de l'analemme ( en obliquité ) !


c'est sa dérivée qui est agissante tout comme l'est l' accélération ( la force à proportion de masse près ) à la vitesse et en ce sens la dénomination de Force pour la composante obliquité peut prendre sens, rejoindre la variation de vitesse ( l'accélération ) qui caracterise la composante vitesse et se composant donc avec pour former l'analemme l'une et l'autre, Vitesse et Force conditionnaliste, de même dimension se composant..

On peut noter que sur la courbe dx/dh, sa croissance est une excitation et sa décroissance une inhibition, je produis le schéma avec indication des quartes, des Forces et sa primitive, la composante obliquité de l'analemme :


schéma 5 :

Sur le precedent schéma, l'emploi du terme " accélération " en obliquité est peu clair, ce que j'ai voulu dire en dissociant la hauteur des deux fleches est que l'on voit sur la courbe de vitesse en obliquité - la fonction p =  dx/dh -  sa croissance , dénotant donc sa dérivée : donc justement son accélération positive ( entre début   et fin   ) qui donc débouche sur l'appélation de F + ... ( accélération étant assimilée à force )

Citation :

c'est sa dérivée ( à dx/dh ) qui est agissante tout comme l'est l' accélération ( la force à proportion de masse près ) à la Vitesse conditionaliste et en ce sens la dénomination de Force pour la composante obliquité peut prendre sens, rejoindre la variation de vitesse ( l'accélération ) qui caracterise la composante Vitesse conditionaliste et se composant donc avec pour former l'analemme l'une et l'autre, Vitesse et Force conditionnaliste, de même dimension se composant ( car dimensionnellement cohérente ) ..

Avec ces quelques ajouts, l'avant-dernier paragraphe du post précedent devient peut-être plus clair. Je dis pourquoi les conditionalistes accolent Force et Vitesse, je dis que c'est légitime d'un point de vue sémantique et dimensionellement d'un point de vue physique...bon, il me tardait de poster, j'en avais un petit peu ras la caisse...

...post trés difficile tout de même...

Une petite erreur sans trop d'importance concernant le rapport du dx au dx-sur-l'équatoriale, en toute rigueur, il faudrait ajouter à 1 non pas 1 - cos( 23.5 sin x ), mais prendre l'inverse de cos( 23.5° sin x ), du fait que c'est l'inverse qui est vrai, c'est lorsque l'on s'eleve en latitude qu'il faut minorer circonférence ou vitesse à cette latitude par le cos de cette latitude. L'erreur est infime pour 23.5° de latitude équatoriale et vu les faibles variation du cosinus, l'inverse de 0.917 etant 1.078 et le calcul barbare utiisé ayant donné 1.083... donc je laisse... ( on donnera son expression exacte quand j'aurai levé l'indétermination sur la courbe ecliptique en maitrisant la trigonométrie sphérique   )


Bien ! Outre de donner sens ( au deux sens du mot, car s'il y a un versant signal, il y a aussi un versant symbole,  un " ressenti " , un excitant absolu pour l'individu ) aux Forces et Vitesses conditionalistes, ce dernier schéma permet aussi d'éclairer les termes de Vitesse et Lenteur concernant la vitesse des réactions reflexes qu'elles suscitent : la vitesse de réactions aura lieu justement sur des jours solaires vrais plus courts et les " lenteurs ", terme honni et hermétique qu'il était, sur des jours solaires vrais plus longs que le sidéral...

Une autre chose : il y a une objection qui pourrait être faite de voir un excitant absolu, et dans la Vitesse, et dans la Force : puisque je parle de modulation ressentie, selon l'égalité vit.  = vitesse orbitale Terre + projection de la vitesse sur l'axe déplacement Terre, pour la vitesse tout est clair, il y a à la fois une variation de vitesse orbitale et un retard/une avance à rotation Terre constante au passage dans l'axe de déplacement ( et de l'axe orthogonal ), donc un conditionnement.

Mais pour la Force, la trajectoire d'une ellipse est ellipsoïdale, par définition, sa direction est donnée pour chaque moment de son parcours et on ne voit pas qu'un passage plus tardif ou plus précoce du méridien au soleil puisse moduler quoi que ce soit en terme d'accélération ressentie. En fait si ! , l'angle dans le plan ecliptique entre deux directions correspondants au passage d'un méridien quelconque ( celui de l'observateur, par exemple ) d'un jour sur l'autre du vecteur vitesse orbitale est fixé en raison de la trajectoire propre de l'ellipse et de la vitesse de la terre ( composante excentricité ) à ce moment-là, mais le point d'application du vecteur vitesse orbitale Terre appartient à l'écliptique, le terre tournant à vitesse constante sur l'équateur incliné d'un angle de 23.5°, donc ce qui se passe pour le soleil lui aussi sur l'écliptique par définition, se produit pour un autre point la parcourant de l'écliptique, en l'occurence, le point d'application du vecteur vitesse orbitale Terre.

Bref, les Forces existent bien comme excitant absolu tout commes les Vitesses !

Il y a donc 3 facteurs qui interviennent dans la modulation de la porteuse qui est la durée de rotation terrestre :
- un angle donné par la géométrie de l'ellipse
- un angle donné par la composante excentricité
- et un angle donné par la composante obliquité.

Peut-être pourrait-on mettre en rapport les différents types d'excitation/inhibition ( cf document de reference ) avec les quartes angulaires du vecteur vitesse orbitale Terre et selon quels criteres ? ( à débattre... )

Citation :

Bref, les Forces existent bien comme excitant absolu tout commes les Vitesses !

Avant de revenir sur le schéma global de fonctionnement en tenant compte du modele pavlovien, et présentement en conclure sur l'emploi des termes de Forces et vitesse dans leur rapport de dérivation ( je ne lache rien, hein !?... ) , je voudrais signaler une chose : la rotation équatoriale de la terre projetée sur le plan de
l'écliptique - qui donne une ellipse en fait qu'on a laissé de coté pour le moment ( et qu'on va utiliser pour expliquer les " phases " ) pour considerer un cercle ( schéma 2 et 3 )  - laisse de coté une troisieme direction à variation sinusoïdale, celle du mouvement d'un observateur au dessus et en dessous de l'écliptique au cours d'un jour terrestre et orthogonal aux deux autres, situés dans le plan ecliptique. Et ce mouvement est ressenti - donc constitue un excitant absolu -  dans sa composante accélération. Et c'est interessant car la direction de ce mouvement étant orthogonale aux deux autres, ceux du cercle, donc les axes vitesse orbitale Terre et son orthogonal, toutes deux sur le plan écliptique, les vitesses et c'est ce qui nous interesse les accélérations ( car ressenties ) sont déphasées de pi/2, un quart de tour, on peut le verifier aisement sur les schémas 2 et 3 en imaginant un boule par exemple, trempant dans l'eau donc la surface est l'éccliptique, cette boule tournant avec des poles inclinés de 23.5° sur cette surface : un observateur où qu'il soit placé ( sauf aux poles ), mais prenons-le sur l'équateur, aura un mouvement déphasé d'un quart de tour selon l'axe profondeur/hauteur sur la surface d'eau versus dans le plan de la surface.

Par exemple, quand la vitesse est croissante dans le plan, ( de début à fin  sur les schémas 2 et 3 ), la vitesse en profondeur/hauteur sur la surface d'eau finit sa décroissance sur la premiere quarte et commence sa croissance sur la seconde . De même, la croissance de l'accélération - et c 'est ce qui nous interesse - de la composante profondeur/hauteur , ( car ressentie ) est toujours à cheval sur ses deux quartes vitesse décroissante à vitesse croissante ( tout comme dans le plan ), autrement dit l'accélération profondeur/hauteur est ( concomittante à ) la vitesse dans le plan... et, circulant sur une sphere en 3D, en fait, on ressent aussi ou plutot on a un excitant absolu pour la vitesse dans le plan... ...donc on distingue trés bien, en fait, les quartes de rotation dans le plan de l'écliptique selon leur composantes vitesse/accélération cqfd !

Distinguant les quartes en rotation, on peut trés bien, les considerant comme un excitant absolu, reveiller la composante vitesse , l'accélération en révolution jouant comme excitant conditionnel  : par exemple sur la premiere quarte de croissance accélération au cours de la révolution de la terre  autour du soleil. De  début à fin   donc ... et partant de là, on a un moyen de réagir à la croissance de Vitesse de révolution comme réponse à un reflexe conditionnel , donc de croire sentir la composante excentricité.

Et cette Vitesse, cette excentricité , ( qui donnait déjà lieu à ses reflexes de vitesse/lenteur selon la Force ) est déphasé de +pi/2 par rapport à l'excitant absolu, le rotation de la Terre, c'est-à-dire la composante obliquité ayant renforcé le reflexe croissance de la vitesse de révolution.

Autrement dit, ce qui est ressenti par reflexe conditionnel et traduit en reflexes de Vitesses conditionalistes sur le plan de la révolution est en retard temporellement, ou en avance spatialement, peu importe, mais dans un rapport d'intégration, car déphasé de +pi/2 par rapport à la Force conditionaliste, composante obliquité due à la rotation de la Terre :



quartes par quartes et les termes ont été choisis à propos ! !

Voilà le schéma en 3 temps des reflexe pavloviens : pour construire une réponse ( un reflexe ) conditionnelle, il faut déjà un reflexe absolu déclenché par un excitant absolu, ensuite associer cet excitant absolu à un excitant conditionnel au cours d'un apprentissage et la présence de l'excitant absolu déclenche bien sûr le reflexe absolu et finalement l'excitant conditionnel seul déclenchera le reflexe absolu de façon uniquement conditionnelle sans le support de l'excitant absolu et est renommé reflexe conditionnel ...

exemple : à l'époque où les trains étaient à compartiments, on pouvait se retrouver placé contre la fenêtre avec trés peu de champ de vision donnant sur l'autre coté du wagon. Un train arrivant en gare par exemple, coté fenêtre dans le sens inverse du sien à l'arrêt, et freinant pour s'arreter donnait un curieux effet : au moment du dernier hoquet grinçant de la machine concurrente freinant, notre champ de vision limité par la force des choses aux wagons défilants de ce train, on avait une irrésistible envie de se retenir corporellement alors même qu'on savait n'avoir pas démarré puisqu'on percevait nettement que le mouvement concirrent était un freinage ( et pas l'accélération liée au démarrage ) .

Et finalement, on se retrouvait quand même trés surpris, le train concurrent arreté, de n'avoir ressenti aucune secousse, mais le reflexe, suscitant même le doute, avait joué. ici, l'excitant absolu est le freinage auquel on a été habitué dans un train, accompagné de son reflexe absolu : assurer notre équilibre (instinctivement, si on est debout par exemple, on élargit le dit " polygone de sustention " en plaçant un pied à l'endroit adéquat ). L'excitant conditionnel est le champ de vision que l'on a dénotant un freinage ( mais qui n'est pas le notre dans ce cas de figure ) et enfin le reflexe conditionnel joue à l'identique du reflexe absolu alors même que le mouvement n'est que relatif et nous informe faussement !

Si le train concurrent redémarrait, le notre toujours à l'arrêt, un long moment de doute indicernable testait la validité de notre réponse conditionnelle avec même un choc de deception ( presque physique ayant déjà integré intellectuellement la variation de quantité de mouvement ) lorsque l'extrémité du convoi concurrent laissait subitement apparaitre notre train toujours à l'arrêt.

En récrivant cette experience ferroviaire selon la dynamique de Pavlov, on a :

freinage  -> reflexe d' équilibrage
freinage + défilement du quai -> reflexe d'équilibrage
défilement du quai ( ici un repere pris pour immobile , mais qui ne l'est pas )-> reflexe conditionné d'équilibrage

Il faut construire ici le schéma global d'interaction entre les excitants absolus ( donc les accélérations ) et les relfexes absolus d'excitation ou d'inhibition :

Le mieux est de construire patiemment le double mouvement orbital et de rotation de la terre au cours de l'année :
d'abord on va considerer une orbite ( autour du soleil donc ) qui serait parfaitement circulaire, la terre se mouvant à vitesse constante et avec un angle d'obliquité nul.

Dans ce cas, d'un jour sur l'autre, le delta en rotation de la terre pour réaligner un meridien quelconque ( prenons celui de l'observateur ) ou à la direction du déplacement de la terre sur son orbite, ou à la direction du soleil ( qui est perpendiculaire à celle du déplacement de la terre sur son orbite pour un cercle ) est constant. Donc, dans ce cas de figure, la vitesse orbitale constante est modulée par une composante vitesse variable selon une periode rigoureusement fixe.

L'excitant absolu est une sinusoïde en accélération de periode la durée de rotation terrestre ( 23h 56 mn 4.1 s ) + la durée pour ramener le meridien sur la direction du déplacement ( +4 mn soit les 360° que la terre fait sur elle-même en une rotation divisé par ~24h - 23h 56 mn 4.1s exactement - = 15° par heure donc 1° toutes les 4 mn, - ce qui nous fait dire que la terre tourne en 24 h jour solaire moyen - et justement, il a à peu près un degré à rattraper soit 360° d'orbite divisé par 365.25 jour en durée ). donc une periode constante dans ce cas de figure.

La pulsation de vitesse selon l'axe de déplacement est ressentie alors par ses accélérations et ses freinages. car ceux-ci ont des minima/maxima au passage dans l'axe du déplacement du méridien et des zeros à son passage à l'orthogonal de ce déplacement ( shéma 2 et 3 ). C'est une sorte de referentiel de phase qui est posé par cette modulation constante de vitesse par la rotation terrestre selon l'axe de déplacement. Cependant, l'observateur subit une autre accélération due à la rotation terrestre, selon l'orthogonale à la premiere, qu'il cale trés logiquement sur le premier referentiel. ( et pourquoi pas l'inverse au fait ? eh bien parce qu'en fait, la vitesse orbitale reellement est variable et impose le ressenti d'une direction originelle... ).

On peut verifier que selon l'orthogonal au déplacement de la terre, la vitesse a ses minima/maxima sur l'axe de déplacement de la terre ( on prend un axe orthogonal positif tourné vers le soleil de façon à former finalement un trièdre direct pour ces mouvements en 3D ) et ses zeros logiquement sur l'othogonal. Tout comme la vitesse est déphasée de +pi/2 de la précedente - celle dans l'axe de déplacement - , l'accélération est déphasée de même d'un quart de tour dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et on peut verifier que cette accélération décroissante se conjugue avec la vitesse décroissante dans l'axe de déplacement ( ce qui est logique puisqu'on a comblé en déphasant de +pi/2 le retard de pi/2 que l'accélération a par définition sur la vitesse ).

Autrement dit, accélération et vitesse dans l'axe du déplacement sont des excitants absolus...

Bon, on va garder la vitesse orbitale constante, mais on va changer la forme de la trajectoire pour prendre une ellipse dont le soleil serait au centre, l'obliquité reste nulle.

Dans ces conditions, on va avoir une variation de l'angle du vecteur vitesse orbitale terre selon la position de la terre sur l"ellipse. Donc en dehors de l'excentricité propre à une vitesse variable de la vitesse orbitale terre et qui mesure en plus l'angle de rotation de la terre pour ramener un meridien donné sur le soleil, on a déjà un déphasage variable du referentiel rotation et une premiere composante de modulation d'accélération en fréquence.

Sur la premiere quarte, de début   jusqu'à fin   ( en réalité on sait que le perihélie de l'ellipse n'est pas tout a fait centré sur le soltice tout comme l'équinoxe n'est pas tout a fait le moment où la terre est sur la ligne du petit axe de l'ellipse , mais il n'y a pas de raison de ne pas supposer le contraire avec un soleil central et une vitesse orbitale constante ), cet angle ( tangent à l'éllipse ) subit une variation cumulée, totalisant 90° sur une quarte, partant de zero degré ( la tangente est alors parallèle au grand axe de l'ellipse ), croissante d'abord faiblement puis de plus en plus rapidement.

Bon, on sait ou pas, que l'orthogonal à la tangente à la trajectoire d'une ellipse est la bissectrice des deux segments reliant un point de l'ellipse ( où se trouve donc la terre ) aux deux foyers de l'ellipse, dont l'un de ses foyers est occupé par le soleil. Aux solstices,  ces deux segments étant sur la même droite, l'angle est nul, la bissectrice est cette droite et l'orthogonale à la trajectoire pointant sur le soleil aussi. Aux équinoxes,  la bissectrice coupent en deux l'angle du sommet d'un triangle équilatere dont les 2 autres sommets sont les foyers de l'ellipse, cette bissectrice coupe donc en son milieu le coté opposé à ce sommet et le milieu du segment dont les extrémités sont les deux foyers est dans ce cas particuliers ( soleil central ) , le soleil !

En fait, ce qu'il faudrait quantifier, c'est la variation d'angle selon la position de la terre sur une quarte de la tangente lorsque la terre se déplace de dteta sur l'éllipse. En tirer la fonction selon teta et la representer, on aurait alors le déphasage du referentiel dans le cas de figure, soleil central, vitesse de la terre constante sur une ellipse !



A teta = 0, la position du point M reperé par un " rayon " ( variable en norme ) vecteur d'origine le soleil et pointant sur la terre, est


, à  teta + dteta,

donc

Les différences de cos et de sin sur dteta sont les dérivées de ces mêmes cos et sin, donc

                                 
                                  avec dx = a.[- sin (teta + pi/2 ).dteta] et
                                          dy =  b.[cos (teta + pi/2 ).dteta]

dy/dx est la tangente de l'angle entre dx et dy

 comme dteta/dteta = 1              


et




On a en violet sur le parcours de l'éllipse des angles prédéfinis ( de la tangente à la trajectoire et de son orthogonal ) qui définiront les lieux des extrema/minima en accélération lors de la rotation de la terre donc déjà une augmentation ( ou diminution ) de phase donc une modulation de fréquence. C'est le referentiel orthogonal centré sur la terre qui se déphase changeant le lieu des extrema en accélération et produisant une part de la modulation de frequence d'accélération.

L'orthogonale à la tangente en un point de l'éllipse se calcule aussi et définit les extrema en vitesse en tout point de l'ellipse, donc la position du referentiel et la variation de sa position définissant une modulation du signal vitesse pour un observateur à la surface du globe.

Prochaine étape : on integre l'obliquité de la terre dans son mouvement à vitesse constante autour du soleil.

Le sujet est dense et les pistes ouvertes nombreuses, j'ai donc un peu marqué le pas...

De plus, je marie astrométrie ( l'analemme notamment, truc anciennement connu déjà de Ptolémée ) et théories ( sommairement ) sur le conditionnement, donc c'est ardu... et aride aussi sans doute !

Concernant l'affaire de base à laquelle donnent lieu ces développements ( sans vraiment de logique éprouvée qui lie cette premiere à ces derniers ), j'ai revisité une page ( torride ! ) qui concerne l'après-midi de la huitième journée des débats judiciaires du proces en premiere instance d'une part et d'autre part, j'ai appris que le procès en appel se déroulerait à Vesoul du 4 au 20 décembre 2023 !

Au sujet de ce second point, je me suis enquis ( le genre de verbe pronominal qui demande d'aller vérifier sa conjugaison sur le site idoine le plus proche... ) des influences planétaires du moment, et il apparaît que là où   ( 28° Capricorne 21' 55" R, pour Rétrograde ) déployait sa conjonction sur le noeud Nord ( 28° Capricorne 51' 04" ) du thème de l'interessé à 16h40 le 24 juillet 2020, heure et jour où nicolas Zepeda-contreras franchit les portes du palais de Justice de Besançon pour se voir notifier son inculpation dans l'affaire narumi Kurozaki, c'est   qui trouvait à s'employer au même degré ( et à la même minute, mazette...28° Capricorne 21' 53" ) sur la période du premier procès, date d'ouverture 10h le 29 mars 2022 , et après une breve eclipse en Verseau du même   , c'est encore   ayant rétrogradé en Capricorne et repassé dans le sens direct qui oeuvrera à nouveau sur le noeud Nord ( 28° Capricorne 35' 29" ) pour une heure de début du procès en appel à Vesoul prise arbitrairement à 10h aussi !

Les noeuds lunaires ne sont absolument pas reconnus dans l'école conditionaliste, il faut le dire, mais ça ne laisse pas d'interpeler tout de même. Ces points mathématiques ne correspondent pas à un objet planétaire, ils sont , avec son opposé le noeud Sud, le point de l'orbite lunaire qui coincide avec l'intersection ( une droite reliant le centre du geoïde et ce point donc ) du plan de l'orbite terrestre ( l'écliptique donc ) et du plan de l'orbite lunaire, le noeud Nord étant celui des points qui fait passer l'orbite lunaire au-dessus de l'écliptique  (et la conception opposée pour le noeud Sud ).

Ces points ont donné lieu à toutes sortes d'interprétations enrichies par le fait que leur proximité joue un rôle dans les eclipses liant Lune, la terre et le Soleil, les noms mythologiques mêmes témoignent quand ils sont nommés tête et queue du Dragon de leur enracinement dans tout un tas d'interprétations fantasmatiques et qui renvoient au fond à l'impact d'un phénomène astronomique longtemps mal compris, on peut le supposer sans peine, et partant inquiétant dans les temps anciens.

Je dis " dans les temps anciens ", il faudrait dire " trés trés anciens ", car une machine remontant au Ier siècle avant JC prouve sans l'ombre d'un doute que les cycles qui président aux éclipses étaient maitrisés au point de donner lieu à une version mécanique d'un algoritme mettant en oeuvre ces cycles et permettant de prévoir les dates d'éclipses ! ! C'est la bien-connue machine d'anticythère dont on peut trouver aussi un echo sur ce site ( dont l'excellence par ailleurs est notoire ).

Bon, sur ces noeuds lunaires, on peine à comprendre leur role, tout ce qu'on peut dire, c'est que la Lune est dans le coup, d'une maniere ou d'une autre, mais il faut affirmer que leur influence n'est pas neutre, transités ou en transit ! Et, dans cet esprit, je me soustrais totalement au traitement qu'en donne R Pellard dans cet article, ayant constaté maint fois leur implication dans des evenements graves. C'est donc une enigme à élucider...

Pour prendre un exemple, j'ai à titre personnel, le 28 aout 1983 13h, eu un trés grave accident d'escalade en la matière d'une chute quasi-vertigneuse ( ~10 m ) alors que j'évoluais en " solo intégral " sur la lame de calcaire du mont Saint-Julien à Buis-les-Baronnies,




une affaire un peu désarmante, car me retrouvant seul pour le dernier jour de vacances, je m'exercais à faire des traversées à une hauteur raisonnable du sol en cas de chute et étant passé dans le feuillage d'un arbre collé à la paroi, je n'ai pas pris conscience que le sol se dérobait au-delà, et puis ayant fait alors un déplacement latéral qui n'était, à l'examen, pas réversible en fonction de la configuration des prises, j'ai pris du temps à la recherche de la meilleure porte de sortie...

...en somme un choix à faire entre une desescalade ( opération à risque car les prises ne sont alors pas à hauteur d'yeux ), ou alors prendre encore de l'altitude, car apparaissait une vire étroite vers le haut qui pouvait m'offrir un point de sécurité ( mais avec le risque de devoir necessairement appeler du secours, or il apparaissait rare à ce moment de la journée, il n'y avait apparemment personne en vue ), ou encore poursuivre donc latéralement, à une hauteur à risque et malheureusement sans prise évidente, car apparaissait une fissure assez large sur la gauche ,mais dont le fond m'était masqué, qui reconduisait au sol. Et ce qui me faisait hesiter à donc poursuivre horizontalement, c'est qu' il fallait que je fasse un leger jeté suivi d' un verrouillage immédiat sur ce que je trouverais dans la fissure rocheuse... ( les fissures sont commodes pour cela car on peut verrouiller le poing, mais c'était quand même aléatoire, je ne me souviens plus si j'avais tranché, mais cette solution emportait ma faveur... .. mais c'était peut-être la plus mauvaise solution )

...l'urgence était de toute façon de reposer mon bras droit avant toute autre tentative, car lui seul maintenait depuis un bon moment, que j'avais consacré à l'examen de mes solutions, tout mon poids sur un becquet, une sorte de proéminence de la roche arrondie et inconfortable puisqu'on doit l'enserrer fortement de ses doigts. L'opération consistait à me hisser suffisamment sur mon bras droit tant qu'il le pouvait encore pour suppléer ma main droite par ma main et bras gauches, détendre le bras droit ( en fait restaurer la circulation sanguine mise à mal par la position du bras au-dessus de la tête ) et reprendre un peu de pof ( sorte de poudre anti-transpiration pour avoir des prises de main nettes et franches ).

Donc, je me suis hissé, malgré l'effort de surcroit, avec une extreme lenteur, sans aucun dv/dt donc, aucun surcroît de force de traction plus que necéssaire, car les " experts " dont je me revendiquais en toute modestie, savent que parfois, en calcaire, ces becquets, ces proéminences de rocher peuvent présenter une fissure à leur attache à la paroi ( qui peut en outre être corrodée par les infiltrations d'eau ), et donc qu'il faut plaquer le poignet pour tracter de la façon la plus perpendiculaire possible et eviter de l'arracher en ne donnant aucun a-coup supplémentaire plus que nécessaire...

... et puis, au cours de la traction, le becquet, mon seul appui a cedé dans un bruit de tonnerre comme un coup de canon ! Je n'ai donc pas eu le temps de mettre en oeuvre l'une de mes solutions !

La suite est tout aussi ubuesque car le sauvetage de la situation tient tout simplement du miracle !

Il faut dire en un que d'abord, je n'ai rien compris, je ne comprenais pas que je tombais, il faut le temps de " réaliser " comme on dit improprement. C'est là que je me dis que je devais être trés sûr de moi et que je maitrisais, quelques instants plus tôt, la situation ! Puis, on capte, c'est pas le meilleur moment, car chutant la tête en arrière, la mort est certaine... ( en vrai, on se dit " là, je suis foutu ", c'est ce qu'il se passe dans ces cas-là )

Ce site donne pour la hauteur et la gravité du lieu le temps qu'on a pour reflechir aux solutions restantes et la vitesse d'écrasement au sol :  pour 10m, c'est 1, 43 secondes et la vitesse finale est de 14 m par secondes, soit 50, 4 km/h... ... c'est énorme pour toute cervicale et en cas de choc cranien avec une base rocheuse ( en fait, de fines lames de calcaire travaillées par l'érosion hydraulique ) ...rendant toute chance de survie quasi-nulle !

Petite parenthèse astrologique, le noeud Sud lunaire du moment, retrograde, est pile ( 3 seconde d'arc ) sur mercure d'un amas natal trés serré de mon thème comprenant aussi mars et ce même mars éclipsé  ( dit casimi ) par le Soleil, photo :



Au même moment, Uranus fait carré ( carré de chez carré, 24" d'arc ) à la Lune noire et à mon ASCendant ( 8' 7" d'arc ), eh oui, ma Lune noire est à l'ASCendant, legerement au dessus dite " en maison XII " ! Le soleil passe sur mon ASCendant à ce moment-là ( 42' 39" d'arc ) donc sur ma Lune noire ( moyenne, 34' 57" d'arc ) et est donc celestement carré à Uranus du moment ( 34' 33" d'arc ), le même Uranus étant opposé à ma part de fortune ( 47' 47" d'arc, j'ai un carré assez severe entre   et   ce qui fait par calcul de la part de fortune un carré de la part de fortune à l'ASCendant ). Sur mercure natal d'autre part, comme je l'ai déjà dit , j'ai donc ce noeud Sud lunaire du moment mais donc aussi sur   ( 47' 16"" d'arc ) et   ( 45' 16"" d'arc ), bref, les aspects ne dépassent jamais le demi-degré d'arc...

Si on va sur des orbes à peine plus larges, de l'ordre du degré, le couple   /   conjoints est opposé à la   au celeste,   et conjoints ( tiens, ces deux-là ! ) s'opposent à   ( le centaure ) au celeste posé sur ma part de fortune qui me sauve sans doute car nous allons en venir à l' issue des faits... et last but not least la Lune noire du moment est sur mon noeud Sud natal ( donc aspects réciproques de la Lune noire et des noeuds lunaires par l'entremise du soleil pour l'un des aspects )



=> Donc, juste avant de décrire le miracle, on peut comprendre sur un plan personnel, que j'aie du mal à souscrire à une non-influence des points mathématiques que sont les noeuds lunaires et la lune noire, vous en conviendrez... ... on peut eventuellement penser à des points relais qui convoient les influences planétaires, c'est à creuser, des circuits courts en somme .

Et le miracle, c'est qu'une longue branche d'arbre toute seche, totalement esseulée, plantée perpendiculairement à la paroi à peu près à 3 metres de hauteur, d'une largeur à peu pres constante d'un bras, mais encore suffisamment souple malgré sa secheresse apparente, et dure comme de la pierre, m'a saisi dessous les omoplates, m'a fait pivoter à plat dos  ( on se souvient que j'avais la tête en bas ) en se pliant, puis a remonté vers ma nuque et l'arrière du crane ( laissant supposer que mon centre de gravité et ma position oblique étaient calés pour maintenir suffisamment longtemps cette branche à un point d'appui vers les omoplates propre à me re-renverser d'une manière continuée vers un plat dos ) ET cette branche remontant en glissant vers la nuque et l'arrière du crane a permis en les choquant l'une et l'autre et en les relevant  vers le haut avant de se détendre ( je me souviens du coup derrière la nuque ), au moment même de l'arrivée au sol, de sauver cette nuque et arrière du crane de la primauté d'un choc direct et intégral au sol... ...c'est tout le corps qui a touché en premier le sol et non, étant relevée, la tête !

Revers du mouvement de pivotement causé par la branche, une jambe entrainée par son inertie, s'est glissé sous mon torse au moment de l'impact me faisant cabrer à mort ma colonne vertébrale, mais là encore, la sauvant par là-même en encaissant le choc et par la cambrure forcée : au final, c'est le genou ( la rotule exactement ) et une jambe et les cotes qui ont touché, la tête et la colonne étant somme toute preservées...

donc, rotule cassée ( fracture ouverte ), jambe plus ou moins déchiquetée par le sol rocheux, un pied cassé ( plusieurs phalanges,  l'astragale et les deux malléoles pour la jambe droite glissée sous le corps ), quelques cotes cassées, le bassin aussi sans doute tordu par le femur de la jambe glissée dessous, une legere fracture du crane ( du fait de la branche qui est repartie comme une fronde et, malgré tout en raison du reliquat d'impact sur un sol rocheux ), une fracture-tassement malgré tout d'une lombaire à cause de la cambrure excessive plus quelques fractures des doigts de la main droite car je tenais toujours le becquet, ce bout de rocher qui les a écrasés betement au sol ! Mais la vie sauve... ( et 4 mois d'hospitalisation quand même... ...bouzillant etudes et plus encore, notamment exemption de l'armée car je devais me faire operer pour l'astragale et que ça tombait en plein dedans, je n'ai pu qu'esquisser quelques pas de course qu'une bonne année après...)

Des 3 solutions qui s'offraient à moi, je ne saurai jamais si oui ou non, cette quatrième n'était pas en fait le moindre mal et donc la meilleure... serais-je parvenu à cette vire ( de toute façon trés étroite et ne laissant peut-être pas place à une position de repos ) avec ce becquet foireux et ma position dans une chute aurait-elle été la même ? Que valait le jeté dans la fissure invisible quant à son fond, mais semblant gluante dans ses levres ? Quid d'une desescalade qui demandait des qualités encore supérieures et trés difficile psychologiquement à soutenir ?

J'ai tendance à penser qu'au celeste,   sur   natal, le centaure qui vous veut du bien mais où le sang coule quand même, s'est opposé à la délibération qui s'operait avec   ( adapté soumis : vers la vire   adapté rebelle  : le jeté ) et a remporté le match, j'ai tendance à penser que , le non choix en somme (    ) conjoint la transmission, en victime (   , ma planete aveugle ), du jeu des forces en présence (    ) à l'invisible ( , ma planete dominante ) a remporté le match sur la    ( l'enfant libre loufoque tenté par la desescalade ).

On voit pas cette bonne vieille branche esseulée, dessechée, moribonde mais qui a encore la vigueur de sauver une vie et la ravir in extremis à Hades, si ce n'est peut-être Demeter ( Ceres ) conjoint au celeste avec mon noeud Sud natal... ...mais oui ! !

Ce qu'on peut en déduire au final, c'est que soit l'astrologie, c'est-à-dire le logos appliqué à la lecture d'une carte du ciel a une fichue capacité a représenter les faits, signant par là notre capacité symbolique à mettre en rapport la matière, le reel, l'étendue, l'Existence, la grandeur, la substance, l'actuel ( le grand "e" , E ) - et l'esprit, le virtuel, la pensée, la Représentation, le concept,  l'essence, le potentiel  ( le grand "r" , R ) - soit il y a vraiment un lien intime entre les deux - le grand "t" ( T ) ...

...bon, je me suis écarté passablement du sujet, mais ça fait du bien, des fois, de se laisser aller à une forme de fatalité rationnelle dans le désordre du monde... ... ce qui est dévolu peut-être à l'astrologie, qui sait ? Et on peut remarquer aussi une surprenante fraicheur de netteté de tels souvenirs marquants malgré une distance de bientôt quarante années... ...raisons peut-être de cette remontée d'ombre, n'est-ce pas, monsieur Jung !

Et on se souviendra de regarder les aspects du moment pour donner piece aux astralités allouées au theme natal ! ( axe des noeuds et   en aspect à mon ). Après, je me dis aussi qu'il ne faut pas négliger des opérateurs astrologiques que l'astrologie conditionaliste, sans les refuter, tente d'oublier, mais que la tradition semble avoir averé.

Bien sûr, il faut avoir conscience que cet exposé est de l'ordre du témoignage, car non reproductible et contingent à  une expérience personnelle, particulière,  il ne ressort pas d'une expérimentation pour en dégager d'eventuelles variables voire une loi : c'est ce qui sépare encore l'astrologie d'une science verifiable.

La carte de droite est celle employée généralement pour étudier les evenements qui touchent la France, c'est exactement les positions des opérateurs planétaires lors de la fondation de la Veme République, le 28 sept.1958 à 18h Paris. ( critère : le résultat du référendum du 28 septembre 1958 proposé sous la présidence de la République de René Coty et du gouvernement dirigé par Charles de Gaulle qui a acté la création et l'existence de la 5e République ).

La carte de gauche est celle d'Annecy pour le 8 juin 2023 à 9h40. Je pense que l'espece de Big bang au niveau émotionnel ne peut échapper à personne, en l'espece un énorme retentissement collectif à un déchainement d'irrationnalité, d'égocentrisme XXXL et de violence abjecte et un heurt frontal à notre Conception culturelle absolument ahurissant. On semblait sevré d'horreurs sanglantes et de défis à l'imaginable, mais là, on est servi...

C'est pour cela d'ailleurs que j'ai voulu comparer le moment à carrement la carte ( astrologique ) de la France, car là, le National est touché et qu'on va et on est necessairement vers et à un tournant... ...moi, je suis horrifié ! On assure même plus la simple sécurité aux étrangers qui visitent notre pays, je suis désolé de le dire !

Mais là n'est pas le propos en l'occurence, le propos est le sujet des noeuds lunaires que j'abordais hier ! On ne sait pas ce qu'ils sont, comme je l'ai dit hier, mais ils sont toujours dans les sales coups, à l'instar de la Lune Noire malgré les véhémentes protestations et l'ironie un peu ridicule de R Pellard !

Le noeud Sud du moment est en Scorpion pile sur   de la France,   étant identifiée comme le pole des remontée de l'invisible, de la transcendance ( ) vers le vécu ( ). Or, la revendication est clairement religieuse, énoncée, même si sujette à interrogations !

La Lune noire du moment vient de passer sur   de la France,   ayant le même niveau source que   et porte vers le niveau but R, la réduction à l'unique, la réduction ad hemoglobinum pour résoudre les problématiques complexes auxquelles était soumis l'assaillant !

A noter que Athena Pallas, la guerrière éprise de droiture, de justice, ( en objet ) est pile sur  
Se surajoutant au transit de Lune noire sur , on ne peut pas eviter de faire le rapprochement entre le héros Henri et Athena Pallas

Face au déni de justice ( ressenti, éprouvé par l'interessé hein !? ) qui pourrait, sous le format vengeance contre une décision liée au droit d'asile, être le mobile et expliquer le comportement criminel observé ! ( hormis le fait qu'il faut être sacrement gonflé pour faire payer à d'innocents innocents, pour le coup, ses déboires existentiels et ses pérégrinations en pays étrangers... ), Athena Pallas s'interpose. La problématique religieuse portant sur est aussi reposée par le parcours particulier et la démarche d' ensemble du même Henri, guidé par la Transcendance.
   

Citation :

Le sujet est dense et les pistes ouvertes nombreuses, j'ai donc un peu marqué le pas...

...et j'ai bien fait, car je m'aperçois que, dans le traitement du signal obliquité, dont j'ai déjà parlé et que je m'appréte à ré-examiner...

...Rappel :

Citation :

Prochaine étape : on integre l'obliquité de la terre dans son mouvement à vitesse constante autour du soleil.

...que s'est glissé non pas une confusion, mais un amalgame entre...

...l'analemme solaire, concernant l'influence exercée par l'obliquité ( influence pour une part seulement, car il y a aussi la vitesse propre de la terre dans sa révolution qu'on examinera sous la dénomination de composante excentricité quand pour terminer on déplacera la position du soleil à un foyer de l'éllipse ), analemme solaire que l'on observe de façon astrométrique par la position du soleil en longitude ecliptique dite aussi heure sidérale et qu'on décompose en composante obliquité et composante excentricité ; On s'occupe seulement, ici de la composante obliquité...

...et le signal analemmique qu'il faut comprendre à ce stade comme un dx/dh ( donc la portion de déplacement, un dx, sur l'ecliptique pour un dh en rotation terrestre ) dépendant de x, donc de la position zodiacale ( en rapport à la déclinaison solaire : le referentiel est le zodiaque des déclinaisons ) du geoïde !

Le premier, l'analemme solaire dans sa composante obliquité se comprend comme le surcroît ( ou le défaut ) angulaire en rotation terrestre pour ramener le soleil en coincidence à l'un de ses méridiens choisi parce qu'on choisit comme point de reference le Soleil !

Le second, le signal alammenique, lui, s'entend comme le surcroît ou le défaut angulaire propre à ramener la direction du déplacement ( qui a changé, qui est différente ) de la terre sur le meridien consideré au cours d'une période de la rotation terrestre !

Et si c'est important de bien distinguer les deux, c'est parce que, à l'équinoxe de printemps par exemple, la terre est au point gamma de l'écliptique, donc origine du zodiaque, le zero ( et le soleil est sur l"équateur celeste/terrestre ) et que donc, le dx/dh possede sa valeur propre dépendante de cette position zodiacale du géoïde ( en fait,  du soleil ), mais qu'au même moment, le point d'application du vecteur déplacement de la terre a une position  ( en retard d'une quadrature ) qu'on peut qualifier de solsticiale hivernale ! !


( voir cette page pour faire varier la date )

Patatras, l'affreux amalgame semble faire s'écrouler, sur la première demi- quarte par exemple de à mi- , l'edifice d'un retard angulaire du soleil ( ou d'une avance du midi solaire sur la montre ) qui doit mainenant être en coïncidence avec un signal alamménique qui lui,  il suffit de le vérifier de début   à mi- sur le schéma suivant pour la correspondance, est exactement en opposition de phase...



...Or, à l'examen ( j'ai un peu angoissé ), il n'en est rien... ( et c'est même constructif pour éclaircir quel est le signal ressenti )

...en effet, quel est le ressenti du recepteur humain ? On l'a vu, c'est le dv/dt, autrement dit l'accélération ou la dérivée de la vitesse ! Pour une raison de variation de " la quantité de mouvement " qui nous impose un rééquiibrage corporel même si, si petit, il est imperceptible à nos sens, leur partie consciente plus exactement ! Et, lors du déphasage du vecteur déplacement de la terre sur l'écliptique ( on reste par exemple de début à mi- ), qu'induit le déplacement de la terre sur l'écliptique ( outre que variable en direction, on l'a vu sur le dernier post consacré au sujet ), qu'est ce que produit ce déphasage ? Il produit une avance de phase dx/dh positive décroissante ( voir de début à mi- ) !

Autrement dit, le passage par zero de l'accélération tangentielle ressenti aura lieu un peu plus tôt au cours de la rotation du meridien où est l'observateur ( c'est le principe de la modulation de fréquence, - c'est comme si la vitesse angulaire du signal modulé, donc de la rotation de la terre, augmentait - ). et on module précisement un signal dv/dt, un signal accélération... ...un signal modulant décroissant ( positif de début   jusqu'à mi-    tendant vers 0, voir derniere quarte du schéma précedent ), se traduit par des pentes plus raide du dit signal, autrement dit, à proportion angulaire, une croissance de l'accélération ressentie, donc, homothétique à ce qu'on observe pour la composante obliquité de l'analemme solaire de début   à mi- en l'espece !

On peut le dire autrement : pour augmenter un dv/dt, on peut soit augmenter la vitesse, soit diminuer la periode, c'est à dire, le dt pour un signal périodique or, on est bien sur un signal périodique concernant la rotation de la terre, à ceci près qu'il est constant mais qu'on fait varier le referentiel de phase...

En somme, finalement, la modulation de frequence induite par l'avance ou le retard de phase du vecteur déplacement de la terre provoque un signal d'accélération ressentie en opposition de phase avec icelui et c'était d'ailleurs attendu : la théorie du conditionnement ne pouvant être démentie et dès lors qu'est consistante l'hypothèse du signal analemmique. En effet, l'analemme solaire dans sa composante obliquité était cohérent avec le jeu des Forces d'excitation et des Forces d'inhibition telles que rapprochées de la courbe dite de lemniscate de Bernouilli de cette composante obliquité,


on voit maintenant que, du statut d'excitant absolu de cette lemniscate, ce n'est qu'un excitant conditionnel ( en opposition de phase avec le signal analemmique ) qui découle certes aussi mécaniquement de l'excitant absolu que constitue le signal analemmnique de l'avance ou retard de phase du vecteur déplacement de la terre !

Le fait de l'opposition de phase susévoqué qui dément la difficulté de la quadrature entre l'analemme solaire et le signal analemmique bien terrestre joue presque ici comme une validation du signal analemmique par la cohérence de l'enchainement des causes... ...il suffisait de lever le paradoxe, qui devait l'être necessairement, de la conviction de la coherence liant signal analemnique et les avancées qui le precedaient ! Bien qu'en logique pure, l'hypothese inductive du signal analemmique n'impliquant pas de contradiction avec l'analemme solaire et son rapprochement avec les Forces conditionalistes n'implique pas l'existence du signal analemmique ; mais il en va de même de l'hypothese de " l'attraction des graves " de Newton, toute proportion gardées bien sur ( restons modeste   ), même si les observations de Kepler peuvent en être déduites, cela ne pose pas son existence... ...ça reste une théorie commode, mais vraie tant que non démentie ( par une contradiction entre les faits observés et la théorie, même si, souvent, on observe plus  ce que l'on sait - par théorie - que ce qu'on voit... ).

Evidemment, le retard de quadrature menant à une opposition de phase entre le signal analemmique et l'analemme solaire ( donc le double ) dans leur composante obliquité ne doit pas étonner puisque la quadrature ( les quatre phases de l'éllipse d révolution est de periode double du second.

J'ai cherché quel signal, dans la nature, pouvait, modulé en fréquence, conduire à une modification d'amplitude, il est question d'énergétique, j'y viendrai, ça peut être interessant pour caracteriser ce cas particulier de modulation.

Voici, placées dans une lemniscate de Bernouilli, les planètes du thème de Nicolas Zepeda-contreras, laissant apparaître de façon synthétique le jeu des Forces d'excitation et des Forces d'inhibition. Les zones grisées correspondent aux signes du zodiaque où les forces s'inversent, en somme et on y reviendra.

On constate que toutes les planetes ayant un niveau source et/ou un niveau but T ( pour Transcendance ) sont exclusivement contraintes par la Force d'inhibition et que par conséquent, aucune des planetes puisant en Force d'excitation ont un niveau source ou but T. A contrario, la boucle R/E  et la fonction lunaire même sont exclusivement alimentées par la Force d'excitation.



Le quatuor non-tT, , , , , dénommé "Représentation Existence", le niveau de nos modeles allié à celui de notre vivre, un savoir-vivre en somme, et leur commande/observabilité réciproques fonctionnent de concert sous l'impulsion de la Force d'excitation, tandis que les deux niveaux T ( grand t ) et t (petit t ) rassemblés dans un ensemble appelé Hyper-T est sous contrainte de la Force d'inhibition !

Il y a une ligne de scission, trés nette qui généralise celle qui pose question au niveau petit r entre et , se prolonge même aux planetes Ceres et dont j'ai fait les parts sombres de  et  et qui oppose frontalement la Force d'excitation et celle d'inhibition . Si on se rapporte à ce qu'en dit le site Astroariana, , il y a à la fois sous le controle exclusif de la Force d'excitation un aspect fonctionnel bien huilé , moteur, extraverti, mais superficiel et fonctionnant un peu à vide.

La force d'inhibition, par contre, isole et gere de façon exclusive les niveaux T ( grand t ) et t ( petit t ) et leur confere une gestion hyper-personnelle, non-partagée, sous l'égide du rapport de soi à soi en excluant toute contamination. Le grand t, ( T ), la transcendance extensive est sommairement, le sens du religieux, la sensibilité aux signaux fins, à la transcendance et au sens caché des choses tandis que le petit t , t , la transcendance intensive truste l'esprit critique et les capacités d'analyse !

En somme, le mystere de ce qui meut, au plus profond de soi ( ), la certitude d'agir en conformité avec son être, en dépit de tout, ( ) et leur affirmation tranchante si necessaire ( ) sont assumés, aprement protegés et défendus et sont par ailleurs reconfirmés par la conscience et de sa virtuosité ( ) et de sa capacité stratégique ( ). Donc, un alliage particulierement coriace, résistant et faisant un rempart particlulierement hermétique à la négociation de ces niveaux de fonctionnement psychique où oeuvre la Force d'inhibition !

On a pu noter lors du procès, la detresse en somme de sa principale avocate de la défense, qui in fine, après avoir tendu la perche à Nicolas Zepeda-contreras pour un autre narratif, en toute fin de proces en faveur des victimes, l'interessée et ses proches, s'est à la fois plainte et s'est effrayée pour son client de l'espece de solitude absolue dans laquelle il devait être dans l'hypothèse d'un déni du crime ! Témoignage particulierement éloquent de l'expression de ce quintette , , , , en Force d'inhibition à mon sens !

La non-opérabilité entre le visage social et l'intériorisation de modeles d'une part et les motivations non-apparentes mais confirmées intérieurement par la prestance et la construction intellectuelle d'une part et d'autre part l'aspect scindé de ces deux pans psychiques sont patents au moins à un niveau astrologique. D'où, on peut le déduire, ce blocage, y compris pour l'interessé où il s'est débattu et cette impasse à un niveau judiciaire qu'on a pu, l'un et l'autre, observer de façon navrante et navrée pour toute l'assistance et le corps judiciaire, préjudicable même à toute espoir de ré-insertion !

A cette opposition entre Force d'excitation et Force d'inhibition délimitant les fonctions planétaires de façon à la fois caricaturale et marquante, il faut ajouter le type de Force d'inhibition hyper-réprésentée, la force d'inhibition dite extinctive trustant le quintette Hyper-T en contrepoint de la Force d'excitation dite associative regroupant la majorité des planetes du quatuor R, E  ( sauf   ) ! Mais en force d'excitation dépense se débat avec en force d'inhibition bloquante faisant écho à un niveau personnel, à l'opposition extinctif/associatif dans le rapport à l'autre.

Les types d'excitation et d'inhibition feront l'objet du prochain post, on les placera d'ailleurs dans le même format de lemniscate que pour le theme des forces de Nicolas Zepeda-contreras !

On ne sait pas à l'heure actuelle quelle est l'origine de l'explosion qui a soufflé un immeuble du Veme arrondissement de Paris, mais ce matin, j'avais regardé l'heure exacte du solstice d'été et j'avais trouvé 16h 57 mn 48 s.

D'après Laurent Nuniez qui a été trés précis lors de son intervention dans les medias, l'explosion est intervenue à 16 h 55...

L'explosion, hasard pour le moins curieux, est donc intervenue pile sur le soltice d'été...



Ca veut rien dire de précis sur un plan astrologique, mais cette synchronicité est vraiment étrange !

in site astroariana - le zodiaque reflexologique humain

Il a beaucoup été reproché à Nicolas Zepeda-contreras de sembler ne jamais répondre de façon directe aux questions posées lors de son proces ou dans ses entrevues avec des experts chargés de décrypter son comportement et à lire ces minutes du proces ou ces relations où ses interlocuteurs ont eu sempiternellement à le ramener à la question, en caracterisant souvent son attitude dans l'espoir vain de controler l'échange ou y voyant parfois une attitude déliberée cachant peut-être une stratégie de dissimulation, on est frappé de la correspondance  avec la description de la Force d'inhibition différentielle où le dominant de Nicolas Zepeda-contreras puise son energie !

On pourrait faire une compilation de tous ces moments d'apesanteur où Nicolas Zepeda-contreras part dans une sorte d'algorithme un peu sophistiqué et où l'on peine à voir le rapport avec la question, ce qui en la circonstance, agaçaient ses interlocuteurs se sentant en proie à une tentative de manipulation, mais je vous renvoie simplement à la couverture du proces du journal local [ il faut aller en page 3 pour l"ouverture, les articles étant classés en ordre temporel décroissant ].

Or, ce n'est pas du tout à dessein, constat qu'ont fini par admettre amèrement tous ceux qui y ont été confrontés, que Nicolas Zepeda-contreras compile un contexte divergent qui déroute son interlocuteur, c'est sa manière, c'est son positionnement pour établir un lien avec le reel... ...et    est litteralement corseté dans ses liens à tous les autres niveaux du RET par des planetes non-dominantes ( sauf   , sous-dominant ) en Force d'inhibition extinctive :



Rendons à R Pellard ce qui est à R Pellard, ces courtes descriptions sont excellentes, on voit litteralement le moteur combattant de Nicolas Zepeda-contreras : pour ses réponses aux sollicitations qui lui sont faites, et à l'aide du quintette hyper-T de son thème,  protegé par cette garde rapprochée en , il peut déployer un narratif, même dans la situation critique d'une cour d'Assises, où l'insondable le dispute à des discriminations dont l'aspect opératoire échappe completement à ses vis-à-vis...

Ces remarques transparaissent dans le compte-rendu d'un psychiatre et d'une psychologue qui ont tenté de dresser un portrait psychique de Nicolas Zepeda-contreras.

Avec les types d''excitations et d'inhibitions de l'astrologie conditionnaliste, on est dans l'univers du " 8 " : 4 types d'excitations et 4 typre d'inihibitions qui se répondent dialectiquement selon qu'ils sont en forces ou faiblesses probables selon " la qualité " de la planete considerée ( rang de dominance, aspects consonnants et/ou dissonants auxquels elle est confrontée et bien sûr, ce que l'interessé a fait, par ses experiences et habileté, de ces fonctions planétaires ).

On peut remarquer que quand Nicolas Zepeda-contreras est rappelé à l'ordre sur des réponses qui sement avec une certaine ardeur l'alambiqué et l'ambiguïté ( ce sont les mots de la psychologue, je crois ) , et est acculé, le soufflé retombe completement, il fait une réponse seche, courte, sans épaisseur, au cordeau et qu'on comprend bien qu'il la dédaigne voire qu'il méprise la personne qui l'a contraint à la faire ! Il coupe le contact... ... c'est symptomatique d'un cerné par le quintette de planetes en Force d'inhibition extinctive , ce même   , placé dans une quarte en Force d'excitation associative qui alimente à contrario, car placé dans un signe intermédiaire ( ) la Force d'inhibition différentielle ( la F+ fait de la F- ) étant l'unique planete à pouvoir animer les débats.

en somme est surprotegé, sa force est sa protection, permettant à Nicolas Zepeda-contreras de rester de marbre au besoin, inaccessible lui dit-on alors à l'empathie, mais sa faiblesse est de rester emprisonné, dépendant aussi de l'autre, coupant tout contact avec son interiorité et ce n'est pas sans rapport avec la symbolique de Ceres qui, on s'en souvient,  était trés présente dans le theme du moment des faits ! ( Ceres en opposition à lui-même et faisant un carré trés précis à   ) 

Au moment précis où il coupe le contact, il fait tourner son quatuor qui semble le debecter, en somme, à la fois facile, sans surprise, où il doit mimer le Parent bienveillant (   hyper-solticiale , délirante et la rapprochant, s'il la vit, de Ceres Surprotecteur-Sauveteur ) et se conformer à son conditionnement Adapté soumis. En principe, dans ce registre, il est trés bon ( 2 planetes dominantes,   en  Force d'excitation depense



et   en Force d'excitation débloquante ) ,



mais finalement, on a le sentiment que cela lui semble plat, inconsistant, semblant preferer une défaite au sommet du Soi, du fait de l'incompréhension qu'il suscite qu'une victoire en rase campagne, en tentant d'être accessible sous un   signant une adhésion d'enfant de choeur, mais qui lui parait faux...

...en somme, il faudrait se demander pourquoi ce quintette hyper-T a plus de poids que le quatuor Representation-Existence ! ( L'amas planétaire dans un seul signe, le et presque une seule maison sont des pistes ). Ou pointer une blessure d'enfance ( évoquée par la psychologue ), un rapport particulier avec un parent dominant ( évoqué ) , ou une participation consciente à un modele hyper-T ( religieux ou esotérique ? ) de façon tout-à -fait personnelle... ou les trois...



On commence un petit peu à maitriser les différents types d'excitation ou d'inhibition selon les quartes,  on voit rapidement dans la lemniscate l'antinomie d'une part entre Excitation et Inhibition, depense et associativité d'un coté et blocage/extinction de l'autre et on dicerne aussi partageant entre le haut et le bas cette opposition, une experience vécue en Soi ou au contraire dans le non-Soi, l' Autre, dans le rapport à autrui : Une ligne de partage entre esthétique ( le rapport de Soi à Soi ) et ethique ( le rapport à Autrui ) !

Chaque signe d'intersaison a son contre-pied du fait de leur induction positive ou négative ( positive -> tend vers l'excitation , négative -> tend vers l'inhibition ), la dépense devient récupération, retenue, limite cocotte-minute dans la quarte de printemps, l'associativité se convertit en differentialité, c'est la savonnette qui coupe les cheveux en quatre dans celle d'automne, et pour l'inhibition, le blocage sourd en déblocage en été, frontalement, c'est le rouleau-compresseur,  ( de chez CAT, noir et orange... ) quand, toujours par contre-pied quoique plus discret, l'extinctivité en hiver se meut en récréativité, l'amusement naïf, les blagues idiotes, tout semblant fait comme à l'exercice, sans rime ni raison...  Enfin, par symétrie centrale dans la lemniscate, on derive les faiblesses des Forces sans coup férir !



Alors, evidemment, on reste pantois d'une telle irruption symbolique pour des excitations et inhibitions que j'avais  présentées jusqu'à présent sous un éclairage astrométrique, releguant les hauteurs solaires au rang d'excitant conditionnel, on peine à nouer ces symboles à une quelconque cause déterministe, à des faits physiques, et on court le risque de s'enfoncer dans les brumes de la lemniscate qui n'est pas une courbe ordinaire, loin s'en faut ! Pour R Pellard, les niveaux de complexité tissent le lien entre les types de réflexes de Pavlov et la roue du zodiaque illustrées par les hauteurs solaires. Bon, j'ai cherché et finalement on ne soupconnera pas JP Nicola de s'être éclaté les fonctions elliptiques ( allez au sommaire en bas de page, ce site est fabuleux ) dans la tronche...

...non, c'est beaucoup plus simple !

Une des phrases les plus incroyables qu'a prononcé Nicolas Zepeda-contreras au cours de son procès ( et à plusieurs reprises, me semble-t-il avec des variantes mineures ) est celle-ci :

- je ne suis pas celui que je voulais être, mais je n'ai pas tué Narumi "


C'est renversant ! ! Voyons-en les significations :

Bon d'abord, balayons la valeur de vérité de chacune des assertions, notamment la seconde, car, après l'appel de sa condamnation en premiere instance, tout justiciable est présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité soit prononcée par un tribulal compétent. Nicolas Zepeda-contreras bénéficie, il faut le rappeler et je le rappelle, de la présomption d'innocence.

La premiere est posée comme une affirmation sur lui-même, la seule valeur de vérité qu'on peut lui donner, c'est qu'il se juge de cette façon-là, à tort ou à raison ! Et elle se présente comme l'emergence d'un jugement sur lui-même qui ne lui était pas demandé ( comme souvent, on l'a vu plus haut ).

Mais quel est le rapport au vrai, et ce n'est pas apparent, c'est peu de le dire, en premiere analyse, entre ces deux assertions ? Que faut-il entendre ? Est-ce, première interprétation :

" bien que je sois pas celui que je voulais, je n'ai pas tué Narumi " autrement dit, " le fait que je ne sois pas celui que je voulais aurait pu ( ou pourrait encore dans l'absolu ) justifier que j'aie tué Narumi " ???

C'est assez dingue ! Quelque part, dans cette acception, l'être ne se partage pas, ne se négocie pas, être soi passe par la négation de l'autre, négation au moins de l'ordre du droit absolu du " tu " sur autrui ! donc du reformatage intellectuel sur qui est " tu " ? Ca, c'est le témoignage d'une version trés idéaliste, dans le sens de pouvoir absolu de l'esprit, dans le sens aussi de la prééminence de la conscience, de ce qu'est le reel ! Dans cette conception, c'est non seulement l'esprit qui a le dernier mot, mais encore qui crée la réalité selon une conviction intime pré-existente en somme et inviolable, donc pour ainsi dire d'ordre théologique ! Et y compris sur d'autres êtres ! ! C'est aussi le démenti absolu à ce qu'est un tribunal de Justice, c'est hallucinant !

Une seconde interprétation pourrait être : " Tout différent de celui que je voulais être ( donc le pire du pire pour moi ), néanmoins ( ce qui est beaucoup plus faible ) je n'ai pas tué Narumi.

Là, la premiere assertion joue comme un argument, on pourrait presque entendre " En dépit du fait que je ne soie pas celui que je voulais être ( sous-entendu " comprenez que c'est le fond de l'abîme pour moi " ), je n'ai pas tué Narumi  ( dont la mort supposée n'est qu'un épiphénomène au regard de l'autre culpabilité ) ! Donc déjà un aveu du rapport de hierarchie entre les deux faits, au bénéfice de la valeur suprême de son interiorité à soi, et finalement un déni définitif à toute négociation sur ce plan ( en plaçant la mort d'autrui comme de rang inférieur )  , voire à toute existence des mêmes droits à l'autre ! C'est la définition de l'absolutisme !

Le pire est que cette version est contradictoire en soi, dire " comprenez que j'ai fait pire, je ne suis pas celui que je voulais être , cependant, et en dépit d'une culpabilité plus grande que j'ose avouer, ( donc j'en avouerais une plus faible... ), j'énonce que je n'ai pas tué Narumi ( donc, qui peut le plus peut le moins, et si je n'avoue pas, c'est forcément que je n'ai pas tué Narumi, cqfd ! ... ...mais, bordel, les faits de ne pas être qui on voulait et celui de tuer sont absolument indépendants, on ne peut pas les lier causalement, ils ne peuvent l'être que si quelqu'un, pour une raison x, considere qu'il peuvent l'être de façon biaisée !

Et malheureusement, la raison x, c'est le droit absolu sur Autrui au bénéfice de son intériorité, c'est l'expression la plus pure de la transcendance de la transcendance, la fonction plutonienne ! Même en dépit de soi...  : ..." c'est pas moi qui l'a tuée " ! Presque un aveu !

On pourrait aussi entendre, en troisieme interprétation : version grand A : " je ne suis pas qui je voulais être aujourd'hui ( Narumi est disparue, je ne suis plus avec ), mais je n'ai pas tué Narumi " ou version grand B : " je ne suis pas qui je voulais être ( être avec Narumi ), mais je n'ai pas tué Narumi " et la différence entre ces deux versions est l'irreversibilité ( version B ) de la chose ! Or, " je ne suis pas qui je voulais être ( sous-entendu version petit a : " je ne le veux plus " ou version petit b : " il n'est plus possible de l'être ", deux versions du fait de l'emploi de l'imparfait tout different de ce qu'aurait signifié " je ne suis pas qui je veux être "  laissant la place à sa possibilité, à son eventualité à l'avenir ) sous-entend l'irreversibilité version petit b...  ...mais comment le sait-il ? Reste qu'il ne le veuille plus, version petit a ! Ah bon ??

" mais moi aussi, je veux savoir où est Narumi " a-t-il crié à la cour...

Donc, " je ne suis pas qui je voulais être, ( être avec Narumi ), il n'est plus possible de l'être, mais je n'ai pas tué Narumi ", contradictoire donc ! !

Quatrième interpretation : " j'énonce qu'une des conditions pour être qui je voulais être ( pour me respecter ) était de tuer Narumi, or je ne suis pas celui que je voulais être, donc je n'ai pas tué narumi " ! Bon, là, c'est confondant au sens propre ! Sur un plan idéel, pour me respecter je devais, sur le plan des faits, j'ai renoncé ! oui, mais le seul fait de mettre au moins sur un plan d'égalité ces deux plans signe la prééminence, la demesure d'ego que représente pour lui le fait de ne pas être celui qu'il voulait être au regard d'un meurtre et seme l'effroi !
Même dire déjà par exemple, " je ne suis pas qui je voulais être, mais comme j'ai des valeurs, je n'ai pas tué Narumi  " serait déjà inquiétant au niveau pulsionnel !

Cinquieme interprétation : Pire en disant " je ne suis pas celui que je voulais être ne signifie pas que j'ai tué Narumi ", c'est dire par contraposée tuer Narumi, c'est être celui que je voulais être " ! Là, c'est l'affirmation brut de la suprématie de l'être sur toute autre considération  de la fonction plutonienne en Force d'inhibition differentielle, l'énoncé est par finesse sa contraposée,  protegée par la Force d'inhibition extinctive, toute autre considération passant à la trappe !

Bon, pour conclure, cette phrase signe aussi la dépendance dans laquelle  Nicolas Zepeda-contreras se trouvait vis-à-vis de Narumi, lui faisant placer sa relation au niveau d'une question de vie ou de mort de l'être! De l'opérabilité entre le plan d'expression sociale de Nicolas Zepeda-contreras et son plan d'expression psychique.

En fait, la raison pour laquelle je m'interroge sur cette phrase qui ne passe pas est que je m'interrogeais plus generalement sur le zodiaque reflexologique local ( Santiago du Chili ) qui ferait pivoter les valeurs planétaires de la lemniscate d'un demi-tour afin de lever le doute et en analysant un exemple du discours tenu par Nicolas Zepeda-contreras !   se retrouverait en   ( Force d'excitation débloquante ) et le reste du quintette tT,   ,   ,   ,   passerait en   ( Force  d'Excitation Dépense !  et plus surement du fait que ces planetes sont non-dominantes en faiblesse d'inhibition exctinctive ). En fait, toute l'Inhibition passe en Excitation et vice-versa, c'est-à-dire que le quatuor Représentation Existence passe en Force d'Inhibition ! Photo :

Or, ce n'est pas du tout ce que l'on voit : le quintette tT n'est pas en faiblesse d'inhibition extinctive, il est en Force ( en faiblesse d'excitation depense en fait, il agit par inertie, en se posant comme un préalable de type information et non energie ! D'autre part, Il assurerait sinon une inter-oprerabilité du T avec les autres niveaux de façon constamment présente et multiple, par essai/erreur.   , on l'a vu dans les diverses interprétations, ne renverse pas la table ( Force d'Excitation débloquante ), il prend la couleur des murs, il joue sur des propos plurisémiques, il est bunkerisé et dépendant.

De toute façon, le zodiaque analemmique que j'étudie, se passe completement du type de conditionnement solaire, septentrional ou austral puisqu'il concerne la circulation de la terre dans sa révolution autour du soleil et dans sa rotation propre et qu'il relegue en somme le signal solaire au rang d'excitant conditionnel ! !

Bon, mais c'est important de verifier que les premisses qu'on tire de l'analyse astrologique soit falsifiables par les faits observés : si le langage ( astrologique ) entretient un flou que peut endosser toute situation ( en l'occurence une individualité ), les énoncés ne sont pas falsifiables ( en capacité d'être démentis ) et en conséquence, à priori, leur valeur de vérité ne peut être établie donc sortent de facto du champ de l'analyse scientifique !

Inquiétante, la derniere parole laissée à l'accusé lors du proces a été la reprise de la phrase sur laquelle j'ai porté critique, legerment modifiée  :

- je ne suis pas parfait, mais je n'ai pas tué Narumi  "

encore un peu décalée puisque quelle attention peut-il croire que l'on porte à son eventuelle perfection ou imperfection au regard de l'enjeu de la mort d'une jeune fille en liberté qui avait obtenue une bourse pour excellence par son pays d'origine et qui découvrait à 20 ans l'autre bout du monde ? A mon sens, il fallait bien masquer l'etendue des significations de l'original !

La photo de l'article précedent du theme en Obliquité de Nicolas Zepeda-contreras en zodiaque reflexologique local à Santiago du Chili

Un mot sur et qui constituent le point d'achoppement du thème et qui fait basculer le destin de Nicolas Zepeda-contreras !

On a vu qu'il était le point d'expression au point de friction T ( grand t ) et r ( petit r ) d'une division plus large entre le quntette hyper-T en Force d'Inhibition ( quasi-monolithique en Extinctif ) et le quattuor Représentation-Existence réparti en Force d'Excitation Associative ( , ), Dépense ( ) et Débloquante en induction pour la dernière ( )  ! En somme, l'ensemble de ces deux plaques tectoniques du thème, Excitation et Inhibition, contribuent sous la poussée à ce qu'il y ait une brusque détente de tensions accumulées et c'est au niveau de et que ça a pu ceder !

La   en Force d'Excitation Débloquante, est comme un rouleau-compresseur qui sait, en toutes circonstances accorder la médiatisation du vécu aux injonctions rR ( , venant de soi ou celles qu'on s'impose sous pression de l'environnement ), en en ajustant les points d'accord, les points forts, et servie par un   en Force d'Excitation Dépense ! D'où une image particulierement positive de quelqu'un qui se donne, conscient de sa valeur ajoutée, épousant avec frénésie les stéréotypes de son milieu et de son époque, prêt à donner de sa personne et reconnu comme tel à lire les témoignages de personnalité le concernant ! Pour simplifier, le gars a tout pour lui, n'a jamais déçu, il a remporté tous les défis d'adaptation qui lui étaient demandés avec brio et ses premieres armes faites, l'avenir s'annonce radieux !

Se détache en effet du portrait de proches ou d'amis qui en ont rendu compte à la barre l'image de quelqu'un dans l'écoute, sociable, responsable, serviable et respectueux ! Impressionnant !

Le quattuor Représentation-Existence marche à plein : Le est sous-dominant, il emmagasine les preuves de succès, renforce l'ego, traduit avec le sens de la collaboration ( Force d'Excitation Associative ou faiblesse d'Inhibition Extinctive, donc même peut-être par excès, teinté de naiveté, sans frein, ) ce qui est attendu en terme d'investissement, de rapports aux choses, et ce va être à la hauteur !

Si on peut esquisser une critique, c'est en rapport au signe d'induction de : en effet, le souci de souscrire et de ne pas décevoir, de constamment devoir renforcer une image solaire de lui-même en leger retrait, la crainte en somme de ne pas être reconnu peut eventuellement lui faire prendre des raccourcis sur la nature de sa prestation dans sa médiatisation; Il est emporté par son élan dans une espece d'urgence à faire coller l'offre à la demande ! C'est le fait de l'induction positive du signe du qui favorise par contre-réaction les réactions d'Excitation en bloquant ce qui peut les mettre à mal et cette Force d'Inhibition Bloquante qui appartient à toute la quarte d'été ne s'embarasse pas de détails, elle accomplit sa mission qui est de " bloquer " toute dérive, tout attermoiement, toute réorientation pour liberer la force d'Excitation vers ce qui occupe le sujet et necessite son attention, au prix de " certains arrangements avec la réalité ", on peut le supposer !

D'où une éfficacité globale dans ce que Nicolas Zepeda-contreras entreprend ! Et une personnalité qui semble ne pas poser probleme, c'est ce qu'il ressort des témoignages ! On se laisse un peu endormir, on peut le craindre aussi  alors que le feu couve sous la lave ! Voire même, on craint de gratter l'écorce dans une sorte de facilité et de crainte de marcher sur la queue du chat qui dort !

Après, derrière, aux aventuriers qui ne se laisserait pas désarmer attend le quintette hyper-T : Nicolas Zepeda-contreras est rodé, il sait offrir à la fois une introspection opaque, maitrisée, semblant au fait de sa propre complexité mais ne se démasquant pas reellement, passer commande à son va relever du parcours du combattant, et il y a peu de chance que le niveau de relation privée de l'interlocuteur puisse passer la rampe pour déminer les faux-fuyants, retrouver son orientation avant que Nicolas Zepeda-contreras fasse jouer l'une ou l'autre de ses planetes en Force d'Inhibition Extinctive, et laissant de fait la commande sur le carreau !

Le , où s'exprime , c'est impressionnant, ça vous renvoie une balle de fond de cour qui vous cloue sur place ! Ca se ferme comme une huitre, ça vous glace, ça vous dépece, ça vous foudroie dans le déni, c'est plein de remous contenus qui vous morfondent dans le remord, le contre-pied est immédiat, il était jusque-là imprevisible, les murs vous abandonnent, le sol se dérobe sous vos pieds, d'un claquement de doigt, ou de langue, toute objection est balayée et vous êtes rendu à votre insignifiance... ...et l'interlocuteur s'éfface, le contact est rompu ! En Force et Synergie d'Inhibition, avec   vous être mortellement touché et vous n'y reviendrez plus ! est exaltée dans ce signe et le maximum d'écart de dominance entre elle et avec qui elle partage le niveau but r ( petit r ) , au regard des couples - et   - , les deux autres candidats à un point de rupture dans la tension des deux plaques tectoniques évoquées, la désigne comme dangereuse !

D'ailleurs, les points de rupture t-R, donc - et - ont pu être effectifs et s'être déjà produits au moment des faits !

Concernant le premier,  le t-R, à plein a pu produire ses effets l'éventualité,  évoquée au procès, d'une grossesse de Narumi qui aurait ( ? ) été dénoncée, là, le quintette hyper -T s'emballe, il est touché sur ses deux flans, le T ( grand t ) parce qu'il heurte frontalement les convictions religieuses de Nicolas Zepeda-contreras, et le t, car, si l'on suppose une construction, une intentionnalité de Nicolas Zepeda-contreras pour mettre un frein au projets français de Narumi, la claque tactique court-circuite la stratégie d'emprise ! Nicolas Zepeda-contreras a d'ailleurs fait un bref séjour en clinique psychiatrique à son retour du Japon attribué à un " choc culturel inversé "... ( C'est vrai que ces ERASMUS sont trés valorisants sur ce qu'il revele de capacité d'adaptation, et recherchés sur un CV, mais en retour, les chocs linguistique surtout et de facto culturel sont particulierment déstabilisants et rompent les meilleures défenses ), à contrario, le " choc culturel inversé " joue plutot comme un onguent, un caisson de décompression qui vous reveille sans coup férir, en se frottant à nouveau à ses codes culturels interiorisés, un mort, donc je n'en crois pas un mot !

le R ( grand r ) restant faible chez Nicolas Zepeda-contreras , on a vu que et et et même Ceres sont en chute dans son thème et compensé ordlinairement par un t enraciné dans   et   ( en domicile ) et surcompensé par   dominante, on l'a vu ! Donc, à partir de là, si on accorde crédit à   ( Force d'inhibition bloquante ) secondant   , le relai se met en place, le harcelement va devenir la donnée dominante de la relation et harcelement il y a eu, notamment surveillance des reseaux, injonctions, menaces... ...à lire les minutes du proces ! Le quintette hyper-T gagne en force !

Pour le P, ( grand p ), là, il ne faut pas chercher bien loin pour se rendre compte que le nouveau petit ami Arthur del Piccolo a durement éprouvé un duo - dominant, mais radicalement opposé quand à l'orientation à donner aux evenements autant parce qu'en Force d'Inhibition, Synergie d'Inhibition (    ) pour le premier et en Force d'Excitation, Motricité d'Excitation (    ) pour l'autre membre du couple que parce qu'en aspect d'opposition dans le thème ! Le P ( grand P ) , la dominance, qu'ont relevé le psychiatre et la psychologue, qui apparaît trés forte dans le thème de Nicolas au bargraph, si il lui est porté atteinte et menace de disloquer à son tour qui le quintette hyper-T qui le quattuor Représentation-Existence, la réaction de défense va être fulgurante...

... le flan - menacera à son tour de rupture signant l'affaissement complet du quattuor Représentation-Existence discredité par l'injustice de ce qu'il avait à offrir versant - Ceres, aveuglé de s'être fait surpassé versant et finalement provoquant l'emergence erruptive d'un venant regler ses comptes dans la fureur de l'amertume d'avoir toujours été dans les clous , en bon enfant adapté soumis, avec !

C'est un scénario, l'affaissement du quattuor, mais le dilemme de qui s'affaisse du quattuor ou du quintette n'est pas entierement résolu, car s'il est acquis que maintenant Nicolas Zepeda va activer son E ( grand e ), celui-ci s'appuie autant sinon plus sur le quattuor que le quintette ! Là, c'est chaotique, mais au vrai en ( Force d'Inhibition Bloquante ), sous-dominante, desequilibre le rapport de force en faveur du quintette, là où Ceres ( en Force d'Excitation Associative ) est sous-dominante aussi...

..au final, ce sont les transits qui auront raison ou non de ce basculement du dstin sur le fil du rasoir ! L'examen des phases des planetes impliqués dans le plan de rupture va aussi nous en dire plus !