L'amour (: extraits de posts)

Ah...l'Amour !
Bah, ...peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !
"[...], j'ai des exemples..., tous les pronostics sont toujours déjoués en la matiere !
Ils sont nombreux, les imprudents penseurs, à s'etre cassé les dents sur ce mystere, qui defie nos idéologies occidentales de main-mise sur notre temps et nos destinées. L'Amour est un invariant des philosophies, des mythologie et des religions, car, là, se cache le grand secret qui cachete notre créance et l'aveu que nous sommes agis !
Je note que les mathématiciens se tiennent soigneusement à l'écart et que les plus grands talents, Stendhal, par exemple, qui tenta de le formaliser, n'en ont été que d'adroits partitionnistes.
Il ne reste qu'à se demander si le chef de file de la "bande au professeur Nimbus", pour citer Brassens dans sa chanson au Dieu Pan, en usa ou en abusa !



[...]La question du fatalisme est omnipresente dans l'astrologie. Chacun y va de ses convictions. Moi, j'aime bien me sentir libre, mais je suis pessimiste au fond et je pense que le destin a le dernier mot ! (Je tire cette conviction du "Don Juan" de Moliere !)
Bon, ceci dit, ce n'est pas une raison pour baisser les bras, car il nous inssufle peut-etre aussi la révolte, le cran, la fermeté face au marchandages et bradages !
J'ai moi aussi eu des trous béants dans ma vie affective, et crois-moi, je n'ai jamais eu à coeur de "forcer" le destin ! Car, c'est pete-gueule d'etre à coté de ses pompes !
Certains diront que ce n'est pas une attitude active ! C'est vrai que pour faire des rencontres, il faut se mettre en condition, faire des soirées, faire défiler le paysage, user parfois de ruse (pas trop !) en donnant suite à une idéologie "entreprenante", faire sentir que l'on a fait voeu de soulever des montagnes, et en montrer l'effort et les doutes, mais au fond, l'essentiel n'est pas là !
Passer la rencontre, il y a cette émotion qui font que deux etres se choisissent et s'élisent !
Mais surtout pas de plans, il faut qu'il y ait un courant d'energie qui nous transporte, une transcendance à cherir comme une fleur fragile (cf la rose du Petit Prince ) d'ou ma boutade : "Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !" Et cette ivresse, ce desir, le jour ou on ne l'a plus, c'est la fin !
La vrai ! (voir la chanson de Piaf "sans l'amour, on est rien du tout" ou qqchose du genre, et elle savait de quoi elle parlait ! )

Alcyli